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Bonjour, Effectivement en multipliant par la longueur tu l'auras en kN/m. Mais , en général pour un mur, il vaut mieux considérer une largeur de 1m pour le 2d. Cordialement1 point
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Bonjour , tu peux considérer cette pression (h 8m) comme uniformément répartie sur le mur entier. Vérification à la flexion composée. Cordialement1 point
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Version version 09 décembre 2019
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Bonjour, Dans la lignée du sujet traité efficacement par monsieur BELLAMINE sur ce forum, voici un guide pratique pour étayer son "cours" . Ce document se veut résolument pratique pour résoudre et traiter les cas qui se présentent. Pour bien comprendre la théorie sous jacente et les subtilités, je vous encourage à parcourir et surtout participer par des questions au sujet de monsieur @BELLAMINE, Vous trouverez dans cette section téléchargement côté outils informatiques, l'utilitaire que j'ai développé et que j'utilise pour procéder aux calculs des coefficients de GMB. Bonne lecture... Je vous encourage à faire les calculs également car on retient mieux en pratiquant !Gratuit1 point -
Bonjour, avec Billy : votre membrure flambe horizontalement. Comme c'est une passerelle et j'ai l'impression que la hauteur de votre membrure haute est la lisse du garde corps, c'est donc difficile de rigidifier horizontalement, sauf à transformer la passerelle en saut de haie. Vous pouvez par contre rigidifier les montants de garde corps avec la traverse qui est dans la circulation (celle en bleu), afin d'avoir un portique semi rigide en U qui vous tiendra la lisse haute du garde corps. Il faudra surement lancer un calcul avancé dans Robot (analyse p-delta et flambement) pour être sûr que la lisse haute ne flambe pas. Votre passerelle doit absolument être contreventée (diagonale en lien de tous vos profils en bleu). Voilà pour les pistes à explorer pour garder cette géométrie. https://www.landmarkpro.com.au/wp-content/uploads/Bridges-Steel-Truss-Logan.jpg Sinon, vous passez la hauteur de la lise à +2.50m et vous la stabilisez horizontalement avec des traverses. Si la portée est minime (ça a l'air d'être le cas) : profil bas calculé en flexion et pas de calcul en poutre treillis. Le garde corps est simple fixé latéralement ou sur le dessus. https://www.techni-contact.com/ressources/images/produits/zoom/1086553-3.jpg Cordialement.1 point
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Bonjour, Au sujet des relâchements, vous devez avoir trop de relâchements. Regardez pour ne pas relâcher la direction Rx local de vos barres Regardez aussi du côté des appuis, en bloquant la rotation Rz repère global de vos appuis. Sous charge gravitaire, votre membrure supérieure est comprimée, sur 30 m, votre élancement est de 786. C'est beaucoup trop. Il ne faudrait pas dépasser 210- 250. Il vous faut augmenter la section et/ou ajouter des maintiens anti flambement dans le sens horizontal (exemple croix) Sur votre membrure inférieur, vous avez considéré ces maintiens au droit des solives de votre passerelle. Pour pouvoir le faire, il faut que ces points là soit des points durs. C'est à dire les relier à des points rigides de votre structure : vos appuis. Il vous faut donc ajouter un système de croix / butons BZK1 point
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Bonjour, Ce n'est pas du tout un problème : ça montre juste que pour ces modes le fonctionnement selon X est indépendant de celui selon Y (pas de mode de torsion) et réciproquement. Si le premier mode selon Y arrive aussi "tard" c'est simplement par ce que la rigidité selon Y est différente Cordialement.1 point
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Bonjour, Un dallage de 11cm ne sera pas justifiable pour des charges importantes. Ce type de dallage correspond à une utilisation de type habitation ou bureaux avec des charges inférieures à 1t/m² ou 1t ponctuelle. Il faudra probablement envisager des fondations sous la structure métallique. Bon courage.1 point
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Bonjour , pour la dalle et le radier, vous pouvez les modéliser sur un logiciel de calcul. Pour le radier, vous avez une dalle sur sol élastique vous avez besoin de la raideur du dol. Cordialement1 point
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Bonjour 1. Une section de poteau de 40x40 pour un batiment de R+11 me parait insuffisant donc à mon avis ce n'est pas un poteau structurel portant , et dans ce cas les armatures disposés serait les aciers minimales et il vaut 1% de la section du béton donc suffisant donc il yaura aucun probleme . et donc la solution serait de demander à ton BET si ce poteau est structurel portant 2. au cas où le poteau est structurel portant 12T14=18,46cm² exécuté et ce qui est prévu c'est 4T16+8T14=20,3cm² et donc la difference de section vaut 1,84cm² soit 10% plus ou moins , a mon avis on peut le solutionner sans problème il suffit de verifier la resistance du béton prévu à le comparer avec la vraie résistance du beton obténu sur le chantier à 28jours jusque meme à 90 jours , exemple si le BET avait prévu un C25(resistance de 25Mpa à 28 jours) et que sur le chantier le beton coulé pour cet élément à 28 jours ou jusque 90 jours te donne 30 Mpa un petit calcul suffit et ce 10% des sections d'acier pérdu sera compensé par le gain de la resistance réelle du béton éxécuté sur le site pour cet element(resistance compris entre 28jours et 90 jours)1 point
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Généralement au niveau des vides sanitaires, les poteaux sont moins sollicités vu l'existence des voiles, un minimum règlementaire devra suffire. néanmoins une vérification de la part de l'ingénieur est recommandée.1 point
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Il suffisait de la part du B ET d’indiquer 12 HA16 sur ses plans. Simplifier évite ce genre d'erreur.1 point
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Bonjour, Vérifier la nécessité de cette section d'armature totale (armature minimale sismique ?) si la section est liées à un calcul en flexion composée mettant en traction une partie des armatures alors ces aciers sont nécessaires. En revanche, si c'est simplement une clause d'armature minimale (1% de la section de béton à l'EC8 en classe DCM par exemple entraine une section minimale de 40x40x0.%=16cm² qui est obtenu avec 12 HA14=18.47cm²) alors la section mise en place est peut être justifiable. L'écart entre les 2 ferraillage est relativement faible : en affinant le calcul et en modifiant éventuellement la classe de béton... A vérifier. Cordialement.1 point
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Bnjr .je voudrais savoir comment calculer ou bien dimensionner les cornière qui confinement les poteaux en béton dans le renforcement par gainage dans les bâtiment .et aussi quant est ce qu'on utilise cette technique (dans quel cas )1 point
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Version 1.0.0
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il existe très peu de littérature relative tant au métier de plafonneur en général qu’à l’exercice même de ce métier. C’est la raison pour laquelle cet ouvrage a été conçu dans une double optique: permettre d’une part, de dispenser une formation de qualité, à l’école comme en centre de formation, et d’autre part, de répondre au besoin croissant de perfectionnement ressenti par les professionnels actifs dans ce métier.Gratuit1 point -
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Bonjour, Il faut comprendre ce qu'est un mode et une masse modale. Eventuellement également comprendre ce qu'est un spectre de dimensionnement (différent d'un accélérogramme). A partir de là vous aurez la plupart des réponses à vos questions. Pour un bâtiment complexe, il y a plusieurs modes de résonnances correspondant à une proportion de la masse totale du bâtiment sollicité qui entraine une réaction : effort tranchant horizontal au sol. Les logiciels calculent les modes importants (qui sollicitent chacun un % de masse du bâtiment). Lorsque la somme des masses dans une direction atteint 90% de la masse totale du bâtiment, on considère que le calcule est suffisant (le nombre de modes restants ne sollicitera que les 10% restants). A chaque fréquence modale calculée, correspondant une accélération sismique horizontale à prendre en compte : cette valeur, tirée de la règlementation, correspond au "spectre" de calcul. Voir le sujet : Lorsque le calcul modale est réalisé, le calcul est fait du mode le plus lent vent le mode le plus rapide. Tous les modes sont des modes de résonnance, d'une partie au moins du bâtiment. Par conséquent l'affirmation : "si on dépasse le 33Hz, il y'aura un risque de résonance du bâtiment" : n'a aucun sens car il y a possibilité de résonnance du bâtiment (ou en tout cas d'une partie) à chaque valeur de mode calculé. "si on dépasse 33 Hz, il y'aura un risque de cisaillement du bâtiment à cause de la grande rigidité du bâtiment" : ben non. Il faut distinguer 2 cas : les 90% de masse ne sont pas atteints mais on a un % de masse non négligeable sollicité (idéalement proche de 90%), on majore alors les efforts trouvés en fonction de la mase "manquante" voir règlementation. Les efforts sont calculés en conséquence et l'ingénieur les prend en compte dans son calcul. on n'a aucune masse sollicitée avant 33Hz : cas jamais vu en ce qui me concerne, je ne suis pas sûr que ce cas existe dans la vie réelle. Pour solliciter ce type de bâtiment, il faudrait un séisme qui ait un accélérogramme se trouvant dans cette plage de fréquence. Le calcul montre que, au delà de 35Hz (fréquence de coupure), la valeur de déplacement relatif d'un oscillateur simple est nulle (page 5 et 6 de https://code-aster.org/V2/doc/v9/fr/man_r/r4/r4.05.03.pdf). La fréquence de coupure à 33Hz vient probablement de là. Cependant la fréquence de coupure a été supprimée de pratiquement toutes les règlementations. Plus d'informations : https://e-cours.univ-paris1.fr/modules/uved/risques-naturels/html/2/21/211/2111.html Un excellent ouvrage sur le sujet, toutes règlementations confondues : Analyse et dimensionnement sismique de Pierino LESTUZZI aux éditions ellipses. Cordialement.1 point
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Parce qu'il vaut mieux éditer un post que le sujet, je reprends le contenu des ressources documentaires. Quelques ressources documentaires sur le net : Réparation d'ouvrages : Le guide STRRES : http://www.strres.org/presentation_des_guides_strres-224fr.php - Réparation et renforcement des ouvrages en béton, maçonnerie, métal - réparation et consolidations des sols et fondations - les réparations des équipements d'ouvrage (étanchéité, joint dilatation, garde corps, appareils d'appuis) Les guides Reco STRRES : reconnaissances préalables aux renforcements avec les mêmes thématiques (béton maçonnerie, métal, fondation, équipement) : http://www.strres.org/les_recos-strres-220fr.php Charpente métallique : Un très bon site : https://coursconstructionacier.fr/ Avec regroupement de références documentaires en charpente (publication CNC2M, CTICM, PACTE, Access steel etc...) : https://coursconstructionacier.fr/home/references/documents-externes/ et beaucoup d'autres choses. Un autre beaucoup plus foulli : https://btscm.fr/dicocm/ Charpente bois : Un site que j'aime bien : https://www.lairdubois.fr/pas-a-pas/489-notions-de-base-de-charpente-pour-lair-du-bois.html CEREMA (comprenant SETRA, DTRF (documentation technique routiere Francaise), et autres) : https://www.cerema.fr/fr/centre-ressources/boutique https://dtrf.cerema.fr/ Il faut créer un compte, mais beaucoup d'ouvrages sont gratuits en téléchargement, par exemple : Conception et réalisation des terrassements : méthodes d'essais : https://www.cerema.fr/fr/centre-ressources/boutique/conception-realisation-terrassements-methodes-essais?v=5627 Géotechnique : https://www.cfms-sols.org/recommandations https://www.geotechnique-journal.org/ Les fascicules du CCTG : https://www.fntp.fr/infodoc/innovation-technique/referentiels-techniques-et-normalisation/fascicules-du-cctg-travaux (BAEL et BPEL, fascicule 74 sur les réservoirs mis à jour) Béton : l'ouvrage de l'Adets : https://www.adets.fr/actualites-sur-le-treillis-soude-adets/livre-utilisation-du-treillis-soude-sous-eurocodes EGFBTP : https://www.egfbtp.com avec les fichiers excel de calcul de M. Thonier : https://www.egfbtp.com/programmes-de-calcul-2/ Egalement sur le site https://www.egfbtp.com/normalisation-et-reglementation/ CERIB : https://www.cerib.com/innovation/etudes-et-projets https://calculocivil.com/ : des outils de calcul et du rappel de règlementation Génie civil : Association française de génie civil : https://www.afgc.asso.fr/. Ouvrages payants sauf pour les abonnés (l'adhésion est payante à priori). Le guide (Gratuit et évolutif) de modélisation éléments finis de l'AFGC :https://wiki.afgc.asso.fr/ Diagnostic des ouvrages d'art : Auscultation sur prélèvement, auscultation du matériau en place, auscultation de la structure : fiches pour chaque méthode. https://cahier-interactif-auscultation-ouvrages-art.univ-gustave-eiffel.fr/ J'éditerai le post en fonction des autres éléments au fur et à mesure. Je vous encourage à faire la même chose. Bonne lecture1 point
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Merci belle initiative. Effectivement https://coursconstructionacier.fr/ est un super site pour la charpente métallique. L'accès au site du CTICM demande de créer un identifiant pour se connecter, mais l'accès est gratuit. Un autre bon site piloté par le CTICM également : https://metaletech.com/ Cordialement, BZK1 point
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Salut, Il faut faire la distinction entre le prescellé et l'ancrage après prise du béton. En général, on fait une plaque avec des plats (tiges) métalliques en queux de poisson scellé dans le béton frais. Sur cette plaque on soude une cornière par exemple. L'autre cas c'est l'ancrage chimique dans le béton dur. Pour cela, il y a le logiciel hilti gratuit sur le net , ou bien comme cité plus haut, idea , mais ce dernier n'est pas bon marché. Idea vérifie le cône avec la même théorie que hilti. (La meilleure c'est le pré-scellé) Cordialement.1 point
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je vous conseille d'utiliser le logiciel IDEA StatiCa. il pourra vous calculer ce genre d'assemblage.1 point
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Bonjour, Seconde tentative :Cimfeu1.0.6.zip Bonjour, Il va probablement te falloir un windows 7 pour l'installer. Tu pourras éventuellement passer par une machine virtuelle (type vmware par exemple). En fichier iso (que tu peux graver, ouvrir ou décompresser avec 7zip ou winrar ou autre). Bon courage. PS : A tout ceux qui téléchargent le fichier, un petit merci ne mange pas de pain (clique sur le coeur en bas à droite du post).1 point
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Bonjour, Très souvent, un corbeau est une console courte. Une console courte est déterminée simplement selon des critères géométriques (voir eurocode ou BAEL). Un corbeau est un élément saillant de poteau ou de mur. Vous pouvez avoir par exemple une console courte en continuité d'une poutre en béton, on ne parlera pas dans ce cas de corbeau. Cordialement.1 point
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La charge semble être la totale, donc à diviser par le linéaire pour avoir la charge par ml. Effectivement il y a pas mal de problème sur cette poutre. Elle semble sous-dimensionnée, il faut vérifier la flèche de la poutre et c'est clair que ça doit pas passer car 8 HA16 en bas d'une poutre 20x40h c'est énorme. Il faut vérifier les crosses sur appuis, vérifier les chapeaux et leurs ancrages, etc. La poutre est un élément BA complexe en terme de ferraillage et de vérifications. Effectivement il faut voir avec un pro pour dimensionner cette poutre correctement1 point
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Bonjour, Merci M.FRIDJALI pour votre réponse. Si on prévoit l'utilisation d'un double chainage et longrine cela va t il résoudre le probléme??1 point
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bonjour, la plus-value est un coût supplémentaire que l'on paye lorsqu'il y a modification prévisible de caractéristiques d'un ouvrage. dans votre cas ça voudrait dire que si pour des raisons techniques le maître de l(ouvrage demande à remplacer le b"ton figurant dans le BPU et Le DQE on payera à l'entreprise , en plus du prix mentionné une somme préalablement fixée si le béton prévu est remplacé par n béton contenant l'adjuvant mentionné et dosé à 450 kg / m3. la plus-value ne s'appliquera qu'aux quantités de béton "modifie". les quantités de béton réalisées conformément au prix défini dans le BPU seront payées au prix normal OuAllah ou A3lam A+1 point
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Les types de questions techniques pour une entreprise c'est comme : - C'est quoi la durée pou le décoffrage de chaque élément porteur (plancher, voile...) ; - On fait quoi pour résoudre le problème de la ségrégation ; - Les nouveautés dans le RPS2011 ; - Comment réalise-t-on un planning des travaux ; - Différence entre CCTG et CCTP ; - Avez vous une idée sur la rotation des banches ; - Les marchés publics, genre c'est quoi les modes de passation d'un marché, c'est quoi un avenant... ? .... Pour un BET, ils vont te poser des questions sur le dimensionnement, généralement si tu es débutant tu vas passer par une période d'essai pour s'avoir est ce que tu es capable de dimensionner un bâtiment ou non.1 point
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Bonjour, pour que out le monde puisse en profiter voici la norme en question. A+ P18-540.PDF1 point
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Bonjour, Ci-joint un exemple de calcul d'un chemin de roulement selon l'EC. https://www.dropbox.com/s/isqcypaw86htl9y/exemple de calcule pont roulant.pdf?dl=0 Cordialement,1 point
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Pourriez-vous insérer le plan de disposition de ces pieux par rapport au radier? Il y a deux cas qui se présentent : Si le pieu se trouve par exemple sous un poteau : Le radier n'a pas vraiment un rôle structurel, car les efforts vont cheminer directement du poteau vers les pieux. On pourra se contenter de l'épaisseur minimale réglementaire. Dans le cas contraire, les efforts vont transiter des poteaux vers le radier puis vers les pieux. Le radier doit être dimensionné classiquement selon les efforts qu'il reçoit (car il doit être en mesure de les faire transférer aux pieux).1 point
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Slt tout le monde, j'ai besoin du logiciel Autodesk expert 2010, j'ai essayé de le télécharger mais j'ai pas pu, je vous demande si vous avez des liens utils.. merci..1 point
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ok merci, alors la contrainte de rupture est celle brute donnée par les formules de contrainte du sol avec les différent essais géotechniques : essais au labo, essais penetrometrique et essais pressiometrique.1 point
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Pour compléter les propos de Mr Guisset, je rajouterais les éléments suivants: 5 - L'Eurocode est née d'un consensus entre tous les pays européens.Les Français étaient opposés à l'introduction d'un calcul de fissures dans le règlement béton armé. Cela existait dans l'ancien règlement français de béton armé (CCBA68) et cela avait laissé de trés mauvais souvenirs dans les bureaux d'étude.En effet, il suffisait de mesurer la fissure sur chantier et si elle dépassait la valeur calculée, la responsabilité du BE était automatiquement engagée.Or, la production d'une fissure est un processus extrèmement complexe ou de nombreux éléments peuvent intervenir. C'est la raison pour laquelle ce calcul n'apparaissait plus dans les règles BAEL. Aussi, les Français ont insisté pour que le calcul de cette fissure soit conventionnelle et non opposable sur chantier. Ainsi, un BE n'aura plus sa responasbilité engagée si la fissure sur chantier dépasse celle calculée. Sa seule responsabilité sera simplement engagé en cas d'erreur de calcul. 4 - Dites vous bien que le calcul de la flèche nuisible est aussi un calcul conventionnel. Cela est bien précisé en préambule dans les Recommandations Professionnelles.Vous ne pouvez pas mesurer la flèche sur un plancher de bâtiment et la comparer au calcul de la flèche nuisible. Cela n'a pas de sens.Il est bien précisé que si votre calcul de flèche nuisible donne un résultat inférieur à la limité autorisé, vous ne connaitrez pas de désordre sur votre chantier, rien de plus. 4 - enfin pour répondre aussi à votre question, on doit rentrer dans la valeur de P la valeur Ψ2.Q, la partie quasi-permanente de la charge d'exploitation. C'est vrai que ce n'est pas dit explicitement dans les reco mais Mr Paillé en parle dans son bouquin et c'est logique. 3 - Votre raisonnement sur le 3 ne correspond pas à la logique des recommandations qui s'attache surtout à l'ordre de mise en charge de la structure. Donc le type de combinaison est peu important, l'important est de savoir quand et comment la structure est mise en charge. Voilà,j'espère que j'ai pas dit trop de bétises Bon courage avec l'eurocode.1 point
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Bonjour, mes réponses aux questions : 1/ car l'ELS CAR est ce qui est le plus élevé en restant en ELS 2/ CAR : caractéristique ; QP: quasi permanent; il s'agit des combinaisons , voir EC0 art 6.5.3.(2) La combinaison caractéristique est normalement utilisée pour des états-limites irréversibles. La combinaison quasi-permanente est normalement utilisée pour des effets à long terme et l'aspect de la structure. 3/ voir réponse en vert précédente 4/ car les surcharges Q (ou du moins une partie) ne sont pas considérées comme de longue durée d'application et donc ne sont pas influencées par le fluage 5/ bonne question ! en fait, même si elles facilitent le calcul, les formules du genre σ s < 1 000 w max ne sont pas toujours valables et ne font pas l'objet d'un consensus européen... Salutations, Laurent Guisset1 point
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voici un exemple de calcul de ferraillage (semelle , poteau .....) feuille de calcul ferraillage.rar1 point
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Salut. A toutes fins utiles pour d'autres collègues, pour résoudre le problème posé au début de cette discussion, il suffit de sélectionner toutes les poutres, réinitialiser l'attribut portée de nu a la valeur zéro. Bien a vous L'import de la dalle a partir de l'outil pline ne marche pas avec moi, de même que celle des poutres courbes."diviser( l'arc) en plusieurs éléments", est ce a dire, en plusieurs poutres droites pour former l'arc? dans ce cas ne se pose t'il pas un probleme de stabilite. A l'attente de ton opinion. Cdlt1 point
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bonjour, concernant le liernage,en effet il réduit la flexion dans l'axe faible,et travaille en traction,mais attention,le liernage n'est pas unecondition de non déversement des pannes,il faut que le liernage ait une section plus importante,car il travaille en compression soit un effort de contreflambement de 2%('voir additif 80),dans ce cas il faut calculer ces points en compression,et doit être disposer au droit de la semelle inférieure(section du liernage soit par tube carré,cornière) cordialement gérard demeusy1 point
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Salam a tous, Bien sûr qu'on peut construire sur un sol en présence de nappe phréatique Abdallah. Dans tout projet, il faut bien mener une étude géotechnique, qui peut être par la suite compléter par une compagne géotechnique complémentaire ciblée. D'après les données que tu a présenté, il faut bien être précis sur la surface de ton projet et le nombre et le type des essais effectués, la litho stratigraphie, et les caractéristiques mécaniques des différentes couches. Donc, si tu peux nous fournir plus de renseignement à ce sujet. Suite à la présence d'eau, il faut faire attention: - à bien connaitre le débit de cette nappe phréatique et quelle type d'équipement nécessite pour la rabattre (si ça s'avère nécessaire); - veiller à ce qu'on ne dépasse pas le gradiant hydraulique critique (en cours et après construction de l'ouvrage) pour assurer la stabilité du béton coulé et du massif de sol en place à long terme sans création de cavité; - faire une étancheité de la partie de l'ouvrage en contact du sol (ne pas transformer, d'après, le sous sol en bassin ou le rendre inaccessible comme si le cas pour certains ouvrages en quelque pays du monde); - vérifier la stabilité à court et à long terme de ta fondation; - il faut mieux pousser la compagne géotechnique par un essai de Pénétromètre statique avec mesure de la pression interstitielle poussé à 20m; - au refus mécanique irronée des essais SPT ou PD suite à la rencontre des niveaux d'eaux (on confend le refus mécanique de ces essais généralement suite à la rencontre de la nappe--> c'est un signal de la présence d'eau à ce niveau et non pas d'une bonne résistance mécanique); - porter une grande attention au retrait et au gonflement, mais ton sol ne présente aucun risque de gonflement si tu nous ne donne pas la litho stratigraphie. Ta question touche le géotechnicen qui doit bien savoir recommander et interpréter les essais géotechniques nécessaires, bien que l'entrepreneur qui est sensé d'être bien équipé techniquement et technologiquement pour exécuter l'oeuvre. Alors si tu peux cibler plus ta question, avec des détails litho stratigraphique et mécanique, ca sera bien qu'on avance. et bonne chance.1 point
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