allouti

bonjour, merci

si g bien compris le voile périphérique va joué le rôle de longrine et travaillera à la traction entre autres

MR KSAM, Bonjour La définition des diaphragmes s'applique a tout type de plancher que se soit plancher corps creux ou dalle pleine ou autres . Quant au deuxième point concernant le chargement surfacique avec définition de bardage, cette démarche est correcte, plus particulièrement pour les plancher corps creux cependant quand il s'agit d'un plancher dalle pleine , il faut s'assurer que le poids propre de la dalle ne soit pris en considération qu'une seule fois dans le calcul de la structure . En effet, lors de la modélisation de la dalle, vous allez affecté à cette dernière une épaisseur dont le poids va être pris en compte par le logiciel de façon systématique sans oublier que ce pois a été déjà calculé dans la descente de charge autrement dit , vous avez introduit sans intention deux fois le poids de la dalle dans votre conception salutations

Bonjour OUIS, certes je partage votre avis quant vous dites que le scléro mesure superficiellement la dureté du béton cependant si vous lisez mon premier message vous allez constater que nous avons effectué un test combiné sléro et ultrason , ce dernier (uls) nous donne une idée sur l'homogénéité du béton autrement dit si le béton est homogène (des valeurs ultrason supérieur à 3500 m/S) les résultats au scléro donnés seront quasiment pareilles que ce soit à la surface ou au cœur du béton. maintenant je réitère ma question d'une autre façon est ce que ces deux tests sont suffisants pour justifier ou juger l'état et la qualité du béton Merci

merci ouis pour votre réponse , cependant comment expliqué que des laboratoires agrées utilisent ce genre de test le scléro pour justifier l'état et la qualité du béton merci

ma question est la suivante : est ce que on peut faire confience aux resultats de ces tests non destructifs et considerer les valeurs obtenues comme reelles merci

bonjour tt le monde ça fait un moment que je me suis inscrit a ce forum , j'ai lu presque tous vos débats et discussions et je tiens à vous remercier parce que c'est vraiment tés intéressant et enrichissant. Aussi, je tiens à remercier en particulier ceux qui nous partagent leurs savoirs et leurs documentations. par ailleurs je vous écrit aujourd'hui pour vous faire part de ma préoccupation et je vous rappel que c'est la première fois que je rencontre ce genre de probléme (je suis relativement un peu ancien dans le bâtiment) voila je suis un ingénieur en génie civil, je fais le suivi d'un bt administratif r+1 en zone 2 en tant que maitre d'ouvrage. j'ai rencontré un pb quant aux résultats d'écrasement du béton des poteaux du RDC. En effet, le PV d'écrasement a révélé une valeur moyenne de 188 bars à 28 j au lieu de 200 bars comme exigé par la règlementation et par le contrat . le paradoxe c'est que les résultats de l'écrasement à 7 j ont donné une valeur moyenne de 159 bars et si on applique la fameuse formule du BAEL fcj = fc28 x (j/4.76+0.83j) on obtiendra une valeur de 245 bars à 28 j; suite à cela je me suis douté sur la manipulation des éprouvettes et j'ai demandé a l'entrepreneur de faire des essais non destructifs notamment l'essai combiné au scléro et ulson pour éliminer ce doute. les résultats au scléro ont donné une valeur moyenne de 245 bars et pour ultrason , une valeur comprise entre 3500 et 3800 m/s qui correspond à une valeur minimale de 200 bar. malgré tout ça , j'ai demandé au BET de faire une petite vérification de la contrainte du béton sur la base de 188 bars et je suis toujours en attente des résultats. est ce ce que quelqu'un parmi vous peut m'orienter sur ce sujet car je suis pas rassuré et merci