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Benhaddou Kamel

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  1. Benhaddou Kamel a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour, Voici l'article correspondant du RPA
  2. Bonjour, Votre question est très pertinente. Je vous poste ci-dessous une capture de l'article 4.3.2.f du RPA (Modélisation en analyse dynamique modale spectrale). Le calcul avec la section fissurée se fait par la réduction de l'inertie. Toutefois, le RPA ne fixe ni ces systèmes de contreventement concerncés ( La signification exacte et chiffrée des valeurs de R élevées concernées), ni les coefficients de réduction de l'inertie. Des propositions ont été faites par des mécaniciens chercheurs Algériens concernant ce point là. Mon interprétation personnelle de cette ambiguïté est que les rédacteurs du RPA recommandent implicitement aux ingénieurs le recours d'autres codes (ACI et autres) pour ces valeurs et coefficients. Je signale juste qu'en analyse statistique équivalente, le problème ne se pose pas, car on calcule des sections non-fissurées. Salutations !
  3. Bonsoir à tous, Je cherche une calculette Excel de Flexion Composée, si quelqu'un en possède, ou connait un autre moyen aussi intéressant pour le calcul en Flex. Comp., qu'il n'hésite pas à le partager. Salutations !
  4. C'est fait, consultez votre courrier !
  5. Donnez votre adresse mail
  6. @Ahme Il n y a pas de quoi ! J'ai malheureusement pas assez de données pour pouvoir identifier la cause du problème. Ce que je peux dire est que le logiciel n'a pas pu générer des liaisons rigides (RLinks) tout seul. Tout à fait, la prise en compte de l'hypothèse du raidissage total (corps rigide, toutes les directions sont bloquées) est très "prétentieuse". Mais vu qu'on a tendance à bien rigidifier les planchers (Présence d'armatures, bonne épaisseur du béton, facilité d'exécution...etc), on se permet de traiter l'analyse dynamique sans inclure l'influence du comportement "négatif" des planchers (Déformations, déplacements différentiels...). En gros, on prend l'hypothèse que le plancher garde sa forme géométrique initiale. Le raidissage partiel permet une déformation du plancher, ce que je considère comme totalement "responsable" et proche de la réalité. Le diaphragme rigide nous aide à comprendre surtout le comportement de l'ossature (portique, voile...etc) et son déplacement réel, considéré uniforme en annulant les déformations des planchers.
  7. M. @BELLAMINE, pour répondre à votre question (ou au moins essayer), il faut que @Ahme nous parle un petit peu sur la méthode qu'il utilise pour son analyse, sa modélisation, "un éventuel transfert du modèle d'une version du logiciel à une autre", et qu'est ce qu'il pense être la cause de l'erreur ? @Nolispe Quand on considère que notre plancher est un diaphragme rigide, il est préférable de l'introduire directement comme tel (raidissage total), sans avoir à se fatiguer en déclarant des LR manuellement. (Sauf en cas besoin spécifique, comme choisir un noeud maître particulier par exemple...). Un raidissage partiel représente un plancher semi-rigide. Il faut faire attention de déclarer les bons "directions bloqués", en introduisant manuellement les liaisons rigides
  8. Si vous utilisez Robot, essayez d'ouvrir "les préférences de la tâche" (dans Outils), aller à l'onglet analyse de la structure (cliquez dessus, ne cliquez pas sur +) et cochez "Liaisons rigides" (ou RLink), puis Ok, et réessayez le calcul
  9. Exactement, c'est une règle qui n'est pas du tout respectée. D'ailleurs, je vous mets une capture du Rapport de Victor DAVIDOVICI suite au séisme de Boumerdes :
  10. Bonjour, Après consultation de ce chapitre, et en réponse à la question de M. BELLAMINE, voilà ce que j'ai pu comprendre : 1. La charge P est divisée en P1 et P2 suivant les longueurs et largeurs relatives des deux poutres croisées, d'où la relation : Parce que leur rigidité est semblable et cela permet de simplifier la relation en supprimant les éléments qu'on trouve dans la formule de la rigidité (K=(n)EI/L). 2- TT le1 / 2 et TT le2 / 2 représentent schématiquement : 3- J'entends par "Sensiblement différentes" = Complètement différentes" (Dont la différence peut facilement être perçues).
  11. Bonjour, Au titre de l'article que vous avez cité du RPA, l'utilisation de 30 cm de brique n'est clairement pas réglementaire. Si on veut du "double-paroi", le règlement exige de mettre une paroi de 10 cm + 5 cm le tout à l'intérieur du cadre (portique), ou 10 cm + 10 cm (cette dernière paroi est mise en dehors du cadre). Cette disposition sert à empêcher d'aggraver les phénomènes d'interaction portique-maçonnerie. Dès qu'on parle de murs en briques à l'intérieur de portiques et directement collés à ces derniers, on est dans le 1.b. Le modèle du 1.a (sans maçonnerie rigide) est retrouvé dans le cas des construction en portique avec des parois en verre, en bois, en pvc, des façades en plaques métalliques...etc. J'espère que c'est clair
  12. Est ce que c'est un voile qui fait partie de la cage d'ascenseur ou d'escalier ?
  13. Il n'y a pas de quoi, Je vois, je repose deux questions : Quel est votre système structurel (Voiles-dalles, portiques+voiles....) ? Au dessus du dernier voile avec ouvertures, vous avez quel nombre de voiles pleins (quel nombre d'étages) ?
  14. Bonjour, c'est pour quel système structural ? Quelle est la position du voile avec ouverture par rapport aux étages ? Et par rapport au plan ? Quelle est sa hauteur ?
  15. Bonjour, Attention, la stabilité au renversement (Ms , Mr) et la vérification des effets P-Delta (effets du 2nd ordre) sont deux choses complètement différentes. Pour la vérification de la stabilité au renversement, je vous renvoie vers cette discussion :