Suivant le BAEL, on ne diffuse qu'avec des bielles à 45° c'est sur que les Eurocodes amènent un réel changement.
Concernant les logiciels de calcul les versions robot 2011 et 2012 sont remplis d'erreurs, pour dire, ils sont au SP6 sur robot 2011. Il vaut mieux se servir du robot 2010 pour continuer à travailler avec le BAEL 91.
C'est normal ! suivant le BAEL il applique l'article A.5.1.2 et donc il réduit de 16,6 % environ. A partir de l'appui, de 0 à 0,20 les charges sont directement transmises aux appuis, de 0,20 à 0,60 m une fraction de 2a/3h est prise en compte soit 0,833.
Bonjour,
Des cadres en HA 20, il y a une grosse différence avec la modélisation Arche !
J'ai modifié le béton en B30 sinon ça ne passe pas vis à vis des contraintes tangente au BAEL.
J'obtiens les mêmes armatures que CircArK, et pas d'aciers comprimés.
cordialement, NDC.pdf Plans.pdf
Bonjour,
Je me suis mal exprimé, Robot ne le calculera pour ce type de portique de signalisation routière ou les PRS ont souvent deux âmes (tube carré ou rectangulaire).
cordialement.
Bonjour,
Le pignon est-il réellement autostable ? il y a t'il un reseau de poteaux et lisses pour le considérer comme tel ?
Quel est sa hauteur au faitage ?
Comme dit par plancoet meme s'ils sont autostable il y aura un déplacement en tête des murs, donc à prendre en compte.
cordialement
Bonjour,
Vous pouvez tout à fait faire ce portique sous RSA.
Comme ecrit par Guisset :
- définir les coordonnées des noeuds
- définir les chargements
- pré dimensionner rapidement les sections
- vérifier les barres
Par contre il me semble que robot ne vérifiera pas le déversement des profilés type reconstitués soudés, définis par l'utilisateur.
Il donnera les efforts dans les barres, contraintes max/min. Il sera nécessaire de vérifier le déversement, flambement...
Bonjour,
La longueur de scellement est la longueur à laquelle doit être ancrée un acier pour atteindre la contrainte de travail que l'on souhaite obtenir.
La longueur de recouvrement est comme son nom l'indique la longueur sur laquelle les deux aciers longitudinaux doivent se chevaucher pour assurer la continuité des efforts (le principe de calcul est le meme que pour la longueur de scellement droit).
cordialement
Bonjour,
En modélisant le bâtiment sous ROBOT, on obtient les efforts suivants :
Il s'agit d'une habitation en Rdc avec charpente industrielle
- les efforts tranchants ne correspondent pas à la valeur du moment fléchissant cela doit venir des valeurs des bras de leviers du poids des murs à 1,50 m et charpente à 3m.
merci pour vos réponses Sans titre.bmp
Bonjour,
Pour vérifier une dalle avec une trémie, généralement je calcul ma dalle sur deux appuis, ensuite je rajoute les charges entre trémie à ma dalle béton armé (sous fome de charge linéique) calculé comme précédement. On obtient donc une flèche pas trés loin de la réalité est faisable par tout type de logiciel.
cordialement.
Il faudra aussi déterminer les contraintes aux appuis avec des charges aussi importantes.
je trouve plutot un HEB 500 S235 en considérant la résistance du profilé métallique (sans poids propre)
Étonnant cette façon de voir les choses, considérer que ces hypothèses ne sont jamais vérifiées mais les appliquer...
Comme vous l'avez démontré pour les bâtiments de faibles hauteur ce sont souvent les déformations d'efforts tranchant qui sont prépondérantes mais en calculant suivant les inerties cela on surestime les raideurs des voiles les plus long.
Exemple (suivant votre démonstration):
Un voile de 5 m de long vis à vis d'un de 2.50 m sollicité avec un effort unitaire (hauteur de 2.80 m le cas de la maison individuelle).
Le voile de 2.50 m à une raideur d'environ 24,5% du plus long (raideur flexion+tranchant).
Suivant les raideurs flexionnelles seulement ce n'est pas la même chose : le voile de 2.5m équivaut à 12,5% du voile le plus long...
On sous estime les efforts dans certains voile et par la même occasion la position du CdT.
Donc pour résumer sur les bâtiments de faibles hauteur, ne faut-il pas faire un calcul comprenant les deux type de déformations? les 12% d'écarts (d'erreur !) sont-ils vraiment négligeables suivant le calcul précédent ?
Bonjour,
Tout dépend de la taille de l'ouverture, généralement il est souvent nécessaire de procéder à un renforcement.
On considère donc un sens porteur de plancher et on dimensionne les renforcements suivant les charges amenés par les chevêtres fictifs autour de la trémie.
cordialement
Donc pour résumer sur le calcul d'un batiment avec voiles long, il ne faut considérer qu'un seul mur pour le calcul des efforts sollicitants. Ensuite il suffit de chainer le mur en respectant les disposition du PS92.
Enfin concernant les logiciels de calcul je trouve étonant que les calculs de raideurs ne soit effectués que vis à vis des raideurs flexionnelles (voir les pièces jointes précédentes). Peut être Robot fait-il un calcul différent, à confimer !
Mais il est tout a fait possible de mettre des barres relevées pour diminuer la valeur de l'ancrage à réaliser sur appui, enfin pour les appuis de rives car sur appuis intermédiaire il n'est théoriquement pas nécessaire d'ancrer d'armatures basses si le moment sur appui est dimmensionnant vis à vis de l'effort tranchant.
Pour le problème des bielles, la meilleure des solutions est la mise en place d'acier en forme de U horizontaux afin de fomer un réseau de bielles superposées ou augmenter la résistance du béton.