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nico1881

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Tout publié par nico1881

  1. Bonjour, Concernant l'option de calcul " vérification des flèches" pour les plaques, comment ce calcul est effectué ? il nous donne une valeur, je suppose que cela doit être la flèche totale du plancher et non pas la flèche nuisible. Calcule t-il en prenant en compte la section fissurée ? merci
  2. up ........................................................
  3. Bonjour, Dans le cas de charpente métallique bac acier, avec des murs agglos en périphéries, les acrotères dépassent de 25 cm par rapport à l'étanchéité donc il sont bas par contre doit on les faire en béton armé ? si oui sur quel hauteur, car rien ne l'indique dans le DTU 20.1. Un simple chainage en tête peut-il suffire ? Cordialement,
  4. nico1881 a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    Bonjour, J'ai modélisé un dallage sur Robot Structural analysis 2010, a vrai dire j'utilise plus souvent Dallia. Au niveau des résultats obtenues sous chargement surfacique uniforme, je n'ai aucun moments, pour les tassements c'est toute la dalle qui se "tasse", j'ai l'impression qu'il calcul avec une dalle infiniment rigide. Dans le cas de Dallia j'ai des résultats plus réaliste avec un tassement maxi au centre de la dalle. Quels est la solution pour arriver à une solution réaliste. merci
  5. nico1881 a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour, Lors du calcul des balcons, on vérifie la flèche et les armatures, cependant les limites de flèches sont de L/250 peut on dépasser ces limites. par exemple pour un balcon de 3m de porte à faux. merci
  6. Il faut que tu regarde dans le livre de Mr Thonier, le calcul des armatures de répartition dans les poutres voiles est expliqué, sachant que quand on le calcul c'est bien souvent le minimum que l'on met en place.
  7. Normalement elle devraient être calculées avec le DTU cuvelage aussi, pour limiter la traction en face supérieur, coté revêtement de cristallisation, hors le logiciel que j'ai ne le permet pas...donc je calcul en fissuration TP.
  8. Oui c'est bien 2.5/1000, je vérifierais dans le dtu 14.1
  9. Dans le BAEL a part les flèches nuisible pour les cloisons et revêtements de sol, ils ne parlent pas des flèches totales qui restent à définir par le maitre d'ouvrage ainsi que par le calculateur. Le sollevant de quoi s'agit-il ?
  10. Tu peux modéliser la semelle filante sur un sol élastique pour avoir la répartition des charges, mais le plus simple est de prévoir une semelle isolée au niveau du poteau si les contraintes admissibles sont dépassées.
  11. Sinon une étude aux éléments finis de la dalle avec la trémie et le tour est joué.
  12. Oui tout a fait, la vérification de la contrainte dans la section non fissurée doit être faite (pour le béton en traction). Par contre pour les moments, il n'y a pas de redistribution vu que les sections ne doivent pas fissurer, enfin je pense pas que cela est une très grande importance. 10 m ça fait beaucoup de portée avec 1,70 d'eau.
  13. En fait dans le DTU 14.1, ils ne parlent plus de fissuration préjudiciable ou TP, mais définissent des contraintes dans l'acier tendu (7.3.1.1) et contrainte béton en traction. 30 t en traction cela commence à faire, tu as intérêt a avoir un bon frottement latéral pour reprendre ces efforts
  14. Dans mon projet, il n'y a pas de problème de lestage, c'est un R+3 sur fondations profondes. Par contre certains pieux seront sollicités en traction aux ELS rares. Donc au niveau épaisseur de béton j'arrive à 25 cm, des sections de 10 cm²/ml sur les deux faces... c'est sur qu'avec une contrainte admissible de environ 180 MPa en traction ça augmente les sections. Les longrines (30x60ht) sont sollicités dans les deux sens (avec aussi 180 Mpa en contrainte admissible aux ELS et 2,6 MPa en traction coté revêtement, très défavorable), donc au niveau armatures, des ratios assez élevés. Et enfin la paroi berlinoise qui risque d'être ancrée assez profondément en phase provisoire.
  15. En fait je me suis mal exprimé, pour le calcul des armatures je néglige le béton tendu à l'ELS. Ensuite pour calculer la contrainte de traction au niveau du revêtement d'impérméabilisation je procède en section homogène non fissurée, seulement c'est trés défavorable, car éviter d'avoir une traction supérieur à 2,1 Mpa implique d'augmenter l'épaisseur. Mais ça provient du fait que j'ai quasiment 3 m de supression d'eau sous la dalle aussi.
  16. Bonjour, Afin de réaliser un parking souterrain, il est nécessaire de réaliser un cuvelage avec revêtement d'imperméabilisation (cristallisation). La contrainte dans l'acier est donc limitée aux ELS (poussée hydrostatique). Cependant dans le DTU 14.1 il est nécessaire de vérifier la contrainte de traction du béton du coté du revêtement tout en sachant qu'elle est limitée (étant donné qu'en section "homogénéisée" on néglige le béton tendu). Comment la calculer ? j'ai fais un calcul mais j'aurais besoin d'avis. je calcul en section homogène avec : Uploaded with ImageShack.us Et ainsi je compare à la contrainte de traction limite qui est de 2,4 Mpa il me semble (C30). merci
  17. Bonjour, Il s'agit du même calcul que lorsque l'on a un effort de compression. Un diagramme de la section tendue sous l'effort de traction à cumuler avec le diagramme des contraintes résultant de la flexion du profilé (à pondérer par kd pour le déversement). Sig_T + Sig_M . kd < 235 Mpa (CM66) On compare cet contrainte à la limite d'élasticité. cordialement
  18. Bonjour, Mon projet est situé en zone sismique 1a, nous avons donc lié les massifs de charpente au dallage, cependant le bureau de contrôle demande à justifier le dallage sous les efforts horizontaux due au sismique (buton/tirant). Le fonctionnement en tirant ne pose pas vraiment de problèmes par contre le fonctionnement en buton est un peu plus difficile à justifier. Avez vous des idées ? Merci.
  19. Il s'agit d'un plancher porté donc appuyé sur un reseau de longrines et pieux. merci à+
  20. C'est une bonne idée, mais en fait il y a les parties intérieures au bâtiment ou les longrines font donc 60 cm de hauteur et de ce fait l'entreprise veut que l''arase des pieux soit la même partout. C'est à dire à AS -60 cm. Pour l'arrêt de bétonnage, il n'y en aura pas, l'entreprise va faire les voiles de toute hauteur avec des banches, et il y aura donc des attentes pour le plancher. Au niveau armatures du voile cela donne du ST 35 coté terre et un ST 25 coté intérieur. Les efforts horizontaux seront trés faible etant donnés que la dalle fais office de diaphragme est transmet donc les efforts à tous les pieux adjacents.
  21. Oui la coupe est complète, pas d'étage, seulement une charpente métallique.
  22. Ok c'est bien ce que je pensais, pour les descentes de charges sur pieux j'ai prévu un petit effort horizontal, mais celui ci doit en parti être absorbé par la longrine transversale, comme un portique avec un tirant entre les pieds de celui ci. Il y aura donc juste cet effort de traction sur la largeur du massif du pieu, qui correspond à 80 cm (largeur du massif), mais en parti absorbé par la longrine transversale comme expliqué au dessus. Par contre, entre pieux, le voile sera maintenu par le plancher béton de 20 cm d'épaisseur.
  23. Alors le voile part du massif sur pieux, c'est à dire de -60 cm/dalle (arase sup du massif). Le mur fais 4 m de hauteur et la hauteur des terres à retenir est de 2 m environ. merci
  24. Bonjour, Voici une coupe au niveau du plancher et du mur, sachant que le mur reprends la poussée des terres comme un mur de soutènement. Comment encastreriez vous le mur dans le plancher béton ? J'ai déja fais un premier calcul mais je souhaiterais avoir vos avis. Au niveau calcul j'ai mis des attentes de type Start HA 10 dans le voile, le treillis soudé est ancré dans la partie inférieure du voile, c'est à dire sous le plancher. Merci
  25. J'utilise la version professionelle de Robot structural analysis v 23 et j'ai donc le meme probleme.