Aller au contenu

lelab

Expert
  • Inscription

  • Dernière visite

  1. Bonsoir, Normalement avec ROSA2000 (l'ensemble complet) vous avez toutes les infos nécessaires. vous avez également le petit logiciel "Ducs d'Albe" pour vous aidez. Quel est votre problème plus précisément ?
  2. Bonjour @Sola, toutes les réponses à vos questions se trouvent dans les "Recommandations pour la conception, le dimensionnement, l’exécution et le contrôle de la technique des voiles par passes (2023)" disponibles sur le site du CFMS : https://www.cfms-sols.org/recommandations/recommandations-pour-la-conception-le-dimensionnement-lexecution-et-le-controle-de Bien cordialement
  3. Bonsoir @Sola, Etes vous certaine d'être dans le bon sujet ? Ici on parle de VPP...ce sont des soutènements réalisés en phase chantier donc il ne peut pas y avoir de l'eau ! (les ouvriers ne vont pas bosser avec des masques et des tubas). Ces VPP sont maintenus lors de la phase chantier par des semelles isolées et des butons...mais en phase définitive ils seront maintenus par les murs en refend et les planchers haut et bas...et très souvent il y aura même un contre-voile en GC pour permettre la mise en œuvre soit d'un dispositif de drainage soit d'un dispositif d'étanchéité (fonction du contexte hydro). Je ne connais pas votre projet...si vous voulez de l'aide il faut nous en dire un peu plus : - votre voile enterré est il intégré à un bâtiment ? si oui, alors : en phase chantier il ne peut pas y avoir d'eau ! et votre voile est stabilisé par des butons reposant sur des appuis ponctuels temporaires, en phase de service, il sera stabilisé par les murs en refends, les planchers Haut et bas... - si non...ben alors c'est un calcul classique de mur de soutènement. Cordialement
  4. @scorpion, Si votre adresse IP est fixe (chez vous à la maison ou au boulot), récupérez votre adresse IP (sur google tapez "mon adresse IP" et vous aurez plein de sites qui vous dévoileront votre IP) et transmettez la par mail : lelabgeolpack@gmail.com Je pourrais alors déclarer votre adresse dans la liste des adresses autorisées. Cordialement
  5. Bonjour @scorpion, qu'entendez vous par "actualiser" le site lelabgeolpack ? Vous parlez de tout le site ou uniquement du module KaMEL pour les VPP ? Cordialement
  6. lelab a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonsoir, attention avec les "recommandations générales" => les sols supports sont des remblais manifestement peu compacts. Pour obtenir une CDF avec EV2 > 70 MPa, selon la dernière version du DTU 13.3 (surcharge > 20 kN/m²), il va falloir que la CDF soit épaisse ! Par ailleurs, sous 4 T/m² , avec une simple approche Em/alpha, les tassements à long terme sous chargement de longue durée vont être non négligeables (> 15 mm) => donc il va falloir faire les vérifications selon le DTU13.3 (et pas se contenter de simples recommandations générales). Cordialement
  7. lelab a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour, Le module Es est un module de déformation utilisé par le DTU 13.3 et pris de manière conventionnelle à Em/alpha. Il est utilisé dans le cadre de ce DTU pour évaluer les déformations. Pour aller plus loin, pouvez vous nous donner les dimensions du dallage ? Cordialement
  8. lelab a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonsoir @collie nicolas, 4T/m² => 40 kN/m² (si on considère g = 10) => 40 kPa => 0.04 MPa Pour l'armature et le type de béton il va d'abord falloir calculer les déformations. Ces dernières sont fonction des sols supports. Vous devez avoir des données géotechniques (modules Es) qui vont vous permettre de finaliser le dimensionnement de votre dallage selon le DTU 13.3. Cordialement
  9. lelab a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    Ci-dessous un autre tableau => ATTENTION à la cohérence de ces valeurs avec les observations faites sur site :
  10. Euh NON ! Faut pas confondre "gros béton" et "massif" : - le gros béton n'est pas connecté structurellement à la semelle. La semelle est considérée simplement posée sur le gros béton et l'équilibre de la semelle doit être justifié à la base de la semelle (en tête du gros béton). Le gros béton étant présent uniquement pour reporter les efforts en profondeur sur un sol plus porteur, - par contre, si vous "connectez" structurellement le gros béton et la semelle alors l'ensemble "gros béton+semelle" devient un massif...et dans ces conditions il faut justifier l'équilibre de l'ensemble "gros béton+semelle" à la base du gros béton => c'est généralement très défavorable vis à vis des Moments (les efforts horizontaux en tête de semelle doivent donc être multipliés par l'épaisseur totale "semelle + gros béton" ce qui va générer des Moments bcp plus élevés). Donc, ne pas confondre les 2...la finalité n'est pas la même ! Cordialement
  11. Autrement dit : - pour un sol fin, la cohésion non drainée (Cu) est nécessairement très supérieure à la cohésion drainée (C'). Avec la Cu on associe un angle de frottement interne φu = 0...et avec C', très faible voir nulle on associe φ' (> 0). - pour un sol granulaire, la notion de cohésion non drainée (Cu) n'a pas vraiment de sens. Pour ce type de sol, la cohésion, drainée ou non, est nulle. Il n'y a pas non plus de distinction entre φ' et φu...on a pour ce type de matériau un angle de frottement interne φ valable en situation drainée ou non drainée. (Par contre, on peut tenir compte de la dilatance ψ) - pour une roche (sol cimenté), il n'y a pas de notion de drainé/non drainé et la cohésion est égale à la Rc/2. Pour ces matériaux purement cohérents φ = 0 que ce soit en drainé ou non drainé. Cordialement
  12. Donc pour consolider un sol fin sec ou humide il faut nécessairement le saturé en eau ? => NON, les "vides" ou "interstices" du sol fin peuvent être remplis d'air ! Si vous appliquez une surcharge le sol va se consolider par échappement de l'air. La cohésion non drainée Cu d'un sol argileux est elle une cohésion totale (eau+squelette) ? => oui et non...l'eau en elle-même n'a pas de cohésion. La cohésion non drainée est liée à l'état de confinement du sol. Imaginons un terrain plat au sommet d'un massif argileux. Et imaginons au cœur de ce massif, un point à 3 mètres de profondeur par exemple. Au niveau de ce point il existe une contrainte présente tout autour du point et correspondant au poids des terres au dessus de ce point...imaginons maintenant que l'on réalise un terrassement à la pelle mécanique, vertical, sur 5 mètres de hauteur au droit de notre point...le talus vertical va tenir à la verticale pendant un certain temps grâce au confinement qui existait avant le terrassement. Avec le temps, la pression interstitielle qui existait au niveau de notre point va chuter jusqu'à s'annuler...et le talus vertical va s'effondrer. On dit alors qu'il y perte de la cohésion non drainée par dissipation de la pression interstitielle. La cohésion est la conséquence de toutes les liaisons existantes entre les éléments constituant le sol. Un sol correspond à 1 squelette solide + de l'eau + de l'air...la cohésion est la somme du "serrage" et des liaisons existantes au niveau du squelette solide, + les liaisons existantes entre les grains et l'eau. L'exemple type est celui du château de sable...sur la plage en bord de mer, dans la zone d'échouage des vagues on peut remplir un sceau de sable, bien le tasser (le "serrer"), le retourner et retirer doucement le sceau pour faire un beau château de sable avec des pentes presque verticales. Pourtant le sable a une cohésion nulle et au mieux un angle de frottement interne de 45° => donc théoriquement, le château ne peut pas exister avec des pentes proches de 90° => et pourtant il tient...un certain temps...grâce au "serrage" (le confinement) et à l'eau entre les grains qui "colle" chimiquement entre eux les grains de sable. On observe là une "cohésion apparente" liée à l'eau et au serrage. Mais avec le soleil, l'eau s'évapore. Plus le temps passe, plus l'eau s'échappe, plus le serrage se détend, et plus les pentes du château de sable s'affaissent...jusqu'à rejoindre des pentes d'équilibre proches des 45° de l'angle de frottement interne, avec une cohésion nulle. Par ailleurs j'ai du mal à comprendre ce qui se passe réellement dans un sol argileux saturé pour que la cohésion drainée c' soit nulle, j'ai dû mal à imaginer une argile sans cohésion (quelle soit drainée ou non drainée) par exemple. => et pourtant. Dressez un talus à 45° dans un massif argileux constitué d'une argile (confinée sous le poids des terres) avec un angle de frottement interne de 25° => au moment du terrassement vous allez bénéficier de la cohésion non drainée Cu de l'argile. Votre talus va tenir à 45° pendant plusieurs jours, plusieurs semaines peut-être...mais à moyen/long terme, votre talus va s'effondrer jusqu'à afficher à la fin une pente proche des 25°. A proximité du talus, l'argile déconfinée va perdre sa cohésion non drainée par dissipation des pressions interstitielles...il ne restera plus à la fin que l'angle de frottement interne et quelques kPa de cohésion drainée. (Attention donc lorsque vous utilisez un logiciel de stabilité de talus, en fonction des étapes de calculs, à bien différencier les comportements drainés et non drainés). Cordialement
  13. Bonsoir, Dans l'ordre des questions posées : Est-ce qu'il est possible qu'un sol sous-consolidé soit également un sol ayant subit une rupture suite à de mauvais chargements ? Par exemple un sol normalement consolidé peut-il passer en sol sous-consolidé après avoir été trop chargé sans paliers ? => non un sol sous-consolidé est un sol qui ne supporte aucun chargement et qui tasse même sous son propre poids (classiquement ces sols correspondent à des remblais récents mis en oeuvre sous nappe par exemple) Pourquoi est-ce que pour un sol sur-consolidé on n'utilise pas la théorie oedométrique ? la théorie oedométrique permet de prendre en compte l'effet de la consolidation. Donc si le sol est déjà surconsolidé il n'y a pas de consolidation à craindre donc pas de théorie oedométrique. Donc en cas de chargement du sol, si la pression interstitielle est supérieur à la pression limite du sol il y a rupture hydraulique mais seulement dans les sols fins (sables, argiles, limons) où la pression de l'eau peut facilement monter. => oui Comment est-ce que cette pression interstitielle peut être calculée ou mesurée afin d'éviter un chargement trop fort entrainant cette fracture hydraulique ? =>yeau x H ou alors mesures par cellules CPI (associées à des piézomètres) ou CPTu avec essais de dissipation Le chargement par palier est-il la seule solution ? => oui et non...si en ajoutant la charge totale la contrainte ne dépasse pas la portance du sol support, pas besoin de faire des paliers. Dans le cas contraire, alors oui, il faut faire des paliers pour maitriser le phénomène de consolidation (et l'augmentation de la pression interstitielle) => l'autre solution peut consister en une amélioration des sols supports par le biais d'Inclusions Rigides ou de Colonnes Ballastées (sous certaines conditions) Par ailleurs dans le cas d'un sol fin sous nappe en permanence il y a-t-il consolidation ? => si vous chargez ce sol, oui, mais en présence d'un sol fin, cette consolidation va prendre du temps. Par contre j'imagine qu'un sol fin situé dans une nappe fluctuante peut se consolider ? => oui (essentiellement dans la zone de battement de la nappe). D'ailleurs il s'agit aussi d'une technique de consolidation (rarement mise en oeuvre) Donc pour les sols fins (sables, argiles, limons) il y a un tassement instantané (les grains se réarrangent à court terme), puis un tassement de consolidation (les grains se réarrangent à long terme par échappement de l'eau = remplissage des vides par les grains), et enfin un tassement de cimentation/secondaire (les grains s'écrasent les uns sur les autres à long terme) ? => mal dit ! On a un tassement instantané, une consolidation primaire et une consolidation secondaire. Cette dernière correspond à un fluage des matériaux lorsque la consolidation primaire est achevée. Il s'agit d'une loi linéaire fonction du logarithme du temps (méthode de Buisman et Koppejan) Et pour les sols granulaires (graviers, galets, blocs) il y a un tassement instantané (les grains se réarrangent à court terme), puis directement un tassement de cimentation/secondaire (les grains s'écrasent les un sur les autres à long terme et forme des blocs) ? => non, généralement ces matériaux ne sont pas ou peu concernés. Donc dans tous les cas on peut améliorer un sol fin mais pas un sol granulaire ? => les sols granulaires peuvent être "améliorés" en réarrangeant les grains, de manière à ce qu'ils se placent dans un état plus stable...mais bon, ce n'est pas de la consolidation. Pourquoi est-ce que l'on parle d'amélioration de la "cohésion non-drainée Cu" mesurée avec un essai de cisaillement consolidé rapide alors que la consolidation du sol sous le remblais se fait très lentement ? => l'amélioration de la Cu va traduire l'amélioration de la portance des sols obtenue par l'effet de la consolidation. C'est donc un bon moyen d'évaluer l'amélioration de la portance. Est-ce qu'il y a également une amélioration de la cohésion drainée ? => ça ne veut rien dire, la cohésion drainée, à long terme donc, est censée être nulle. Bon, a priori je n'ai rien oublié 🙃 Cordialement
  14. lelab a posté un message dans un sujet dans Projets d'étude et PFE
    Bonjour, De quel module parlez-vous ? Le module de réaction horizontal, en tête du pieu pour connaitre ses déplacements face aux efforts transversaux ? ou bien le module de réaction vertical, sous la pointe du pieu ? Pour pouvoir vous donner un module de réaction du sol il va falloir des données concernant ce sol. Avez-vous des données pressiométriques, ou des données d'un essai au pénétromètre statique ? Cordialement
  15. Bonsoir, Le tassement est, en règle générale, compris par les géotechniciens comme le déplacement vertical à long terme (10 ans) sous sollicitations quasi-permanentes (ELS QP). MAIS cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de déplacements verticaux sous une charge variable de courte durée d'application ! Le comportement d'un sol sous une charge (ou une contrainte) est d'abord lié à son état de consolidation et à sa compressibilité. Si on prends comme référence la théorie pressiométrique, alors : 1) pour un sol "normalement consolidé" ou "très légèrement sur-consolidé", peu à moyennement compressible, ce sont les théories d'élasticité linéaire ou non-linéaire qui s'appliquent. Lorsque l'on applique une contrainte inférieure à la pression de fluage, alors le sol va avoir un comportement "pseudo-élastique" = la loi contrainte/déformation est linéaire. Le comportement du sol est dit "pseudo"-élastique parce que, comme le dit M. Bellamine, si on retire la charge, la surface chargée ne reviendra pas à sa position initiale. Si on augmente la contrainte au-delà de la pression de fluage, en restant en dessous de la pression limite, le sol va alors avoir un comportement "élasto-plastique" = au delà de la pression de fluage, la réaction du sol est plus faible (mais elle existe). On modélise cela généralement par des lois de comportement à paliers successifs (et élastiques)...mais des lois de comportement plus complexes existent. Si on augmente encore la contrainte, au-delà de la pression limite, il y a alors "rupture" = qui dit rupture dit réaction insuffisante donc les tassements ne sont plus "calculables" puisque la portance n'est pas assurée. Pour un sol normalement consolidé, toute surcharge entraine un tassement; tassement d'autant plus important que l'indice de compression Cc est élevé ! Généralement, le tassement est proportionnel au terme Cc/(1+eo) que l'on obtient à partir d'essais oedométriques. 2) pour un sol "normalement consolidé" , moyennement compressible à très compressible, la théorie oedométrique semble la plus indiquée (cf ci dessous). 3) pour un sol "sous-consolidé", le sol ne supporte aucune contrainte. Il peut même tasser sous son propre poids ! Pour ces sols aucune construction n'est possible. Pour leurs appliquer une charge il va donc d'abord falloir les consolider. Un sol comporte un "squelette solide" plus ou moins grossier avec des "vides" plus ou moins gros. Le sol est donc plus ou moins poreux et les "vides" sont rempli soit d'air soit d'eau. Pour un sol complètement saturé, l'eau occupe tous les pores du squelette solide : lorsque l'on applique une contrainte sur le sol, c'est d'abord l'eau contenue dans ce sol qui va "encaisser" la charge => on va alors avoir une augmentation rapide de la pression interstitielle, si la pression limite du sol est inférieure à cette pression interstitielle, on va alors avoir une rupture du sol => c'est le principe de la fracturation hydraulique (rupture donc tassements non maitrisables), dans le cas contraire, les tassements "instantanés" vont être faibles (l'eau est incompressible) MAIS, la pression de l'eau dans le sol étant élevée, l'eau va essayer de s'échapper pour retrouver une pression d'équilibre, l'eau s'échappera facilement dans un sol très perméable (des graves alluvionnaires par exemple) et dans ce type de sol, la consolidation va être très rapide (voire même inexistante car la charge va être rapidement transférée au squelette solide du sol)...par contre, dans un sol fin, peu perméable, l'eau va avoir du mal à s'échapper. Le temps de consolidation du sol va donc être plus ou moins long en fonction de sa perméabilité. On comprend là que les notions de "drainé/non drainé" ne valent QUE pour des sols fins. Pour des sols granulaires, très perméables, ou pour des roches qui disposent d'un squelette cimenté, il n'y a pas de consolidation possible. Pour des sols compressibles à très compressibles, on réalise généralement un préchargement (d'autres solutions existent). Le principe consiste à mettre en place des drains verticaux (selon un maillage serré) de manière à faciliter le drainage de l'eau contenue dans le sol. Ces drains verticaux traversent toute l'épaisseur de la couche compressible et débouchent en surface dans une couche de forme également drainante. Au-dessus de cette couche de forme on ajoute alors un remblai de manière à ce que la contrainte apportée par le remblai atteigne 1.2 à 1.5 fois la contrainte future du projet (attention, le remblai doit être monté si besoin par étape de manière à ce que l'augmentation de la pression interstitielle ne dépasse pas la pression limite des sols). On peut alors suivre et prédire les tassements liés à la consolidation des sols sur une durée calculée à l'avance (grâce à la théorie oedométrique). Lorsque les tassements n'évoluent plus, on retire le remblai et on peut alors construire notre ouvrage sans risque de rupture et avec des tassements résiduels nuls. Comment est ce possible ? Plus le sol est chargé, plus il se consolide et plus on améliore ses caractéristiques vis à vis de la rupture. Plus simplement, l'augmentation de la consolidation des sols s'accompagne de l'augmentation de sa "cohésion non-drainée Cu". Ce phénomène s'explique logiquement avec les cercles de Mohr pour un essai de cisaillement consolidé rapide (paramètre lambdacu). Avec la consolidation, l'augmentation de la Cu permet d'améliorer la portance et les modules de réaction. Voilà déjà quelques éléments de réflexion. Le sujet est vaste et va rapidement déboucher sur les notions de modules de réaction. Il y a de nombreuses discussions sur le site traitants de ces sujets. Je vous laisse les découvrir. Pour répondre à vos questions : "Ma première question est la suivante : est ce que les fondations sont toujours dimensionnées pour n’être associées qu'au domaine élastique ?" => oui c'est préférable pour une meilleure maitrise des tassements. "Ma deuxième question : est ce que les petites déformations (tassements) sont toujours associées au domaine élastique ? et les grandes déformations (tassements) toujours associées au domaine plastique ?" => cf les explications données ci-avant... "Ma troisième question : dans le domaine élastique on utilise E pour le module d'Young, Em pour le module de Ménard et Eoed pour le module oedométrique, et dans le domaine plastique ?" => cf les explications données ci-avant... "Ma quatrième question : les états ELS et ELU appartiennent-ils toujours au domaine élastique ?" => comment pourrait-il en être autrement ? Cordialement