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Aerandir17

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  1. senoussi mohamed a commencé à suivre Aerandir17
  2. Selon moi : Rien ne retiens la panne, elle n'est pas reliée à un système de contreventement horizontal créant un point dur. Donc si la semelle comprimée de la traverse veut déverser, la panne suivra le mouvement avec.
  3. La structure se trouve en intérieur, elle ne reprend donc pas d'effort de vent de soulèvement. La semelle comprimée est donc toujours la supérieure. Dans tous les cas, j'ai considéré que les traverses déversaient sur leur longueur totale car les solives ne sont pas reliées à un point dur. Il n'y a rien au dessus des solives. La structure permet de reprendre des faux-plafonds suspendus sur les solives. Lorsque je considère un maintien, la longueur de déversement diminue et le critère de stabilité est vérifié pour des sections moins importantes. Mais je ne suis pas d'accord avec cette hypothèse car les solives ne sont pas bloquées. Ci-joint le ratio en stabilité d'une des poutres principales, sans considérer de maintien latéral : Ratio en stabilité d'une des poutres principales, avec une longueur de déversement divisée par 4, en prenant en compte les poutres fixées sur sa semelle supérieure :
  4. Bonjour, Je fais actuellement l'expertise d'une charpente métallique, située en intérieur et permettant de reprendre des faux-plafonds. Une étude avait déjà été faite auparavant par un bureau de contrôle bien connu et un point me perturbe : Ils ont considéré que les solives fixées sur la semelle supérieure des traverses, agissaient comme maintien latéral pour le déversement. En effet, sous poids propre, la semelle supérieure de la traverse est comprimée et va vouloir déverser. Cependant, les solives n'étant reliées à aucun système de contreventement horizontal, il n'y a pas de "point dur" et selon moi elles ne peuvent pas être considérées comme maintien latéral. En cas de déversement, les solives ne sont pas bloquées, aucune barre en diagonale ne va travailler en traction pour empêcher le déplacement de celles-ci selon leur axe local X. Etes-vous d'accord avec moi ?