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lhaddad lamia a commencé à suivre UbuKing
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Chaka Diarra a commencé à suivre UbuKing
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Question Longrine en console ?
Une autre solution; ta longrine en console; tu mets un plot en béton ou GB qui va jusqu'au bon sol à l'extrémité de ta console et elle sera considéré sur appuis simple. pour raidir ta maçonnerie au dessus au coin Sieur Keraz a tous dit.
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Question Poteau flexion composée
( Z'Vous aime vous deux xD )
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Nouveau RPA2010 !
(MHU) RENCONTRE REGIONALE CENTRE SUR LA REVISION DES REGLES PARASISMIQUES ALGERIENNES RPA99/Version 2003 Organisée conjointement par : Le centre National de Recherche Appliquée en Génie Parasismique (CGS) Et L’Organisme National de Contrôle Technique de la Construction du Centre (CTC Centre) à Boumerdes le 19 mai 2010 ============================= COMPLEMENTS AUX REGLES PARASISMIQUES ALGERIENNES RPA 99/2003 (AVANT PROJET RPA 2010) PLATEFORME DES PREMIERES PROPOSITIONS MODIFICATIVES ============================= INTRODUCTION Le présent document portant sur les « Premières propositions modificatives aux RPA 1999/2003 » est une synthèse de propositions issues d’une première consultation d’un certain nombre d’organismes et institutions agissant dans les domaines de l’habitat et de la construction (CGS, CNERIB, CTC, DUC, DLEP, OPGI, BET, LABORATOIRES, ENTREPRISES, UNIVERSITES, Autres,…). En attendant d’autres propositions à venir dans le cadre de la consultation qui demeure ouverte jusqu’au mois d’octobre 2010, la présente plateforme va servir de cadre catalyseur aux discussions et débats prévus dans le cadre des trois rencontres régionales qu’organisent, sous l’égide du Ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme (MHU), le CGS et les CTC, successivement comme suit : - Centre (Boumerdès) : 19 mai 2010 - Est (Annaba) : 30 mai 2010 - Ouest (Oran) : 10 juin 2010 Les contributions pertinentes des trois (3) conférences régionales seront insérées dans la future plateforme enrichie qui sera présentée à la conférence nationale du 10 octobre 2010. etc... télécharger plateforme : PLATEFORME DES PREMIERES PROPOSITIONS MODIFICATIVES Source : CGS "Que la grande symphonie de la vie continue et que tu peux y apporter ton rime, ...et que tu peux y apporter ton rime! Quel sera votre rime?" [CONTRIBUTION] :-D
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Nouveau RPA2010 !
Chelghoum Abdelkrim. Professeur et président du Club des risques majeurs « Notre pays est le plus vulnérable du bassin méditerranéen » Le professeur Chelghoum Abdelkrim est spécialiste en génie parasismique et président du Club des risques majeurs. Nous l’avons interrogé en sa qualité d’expert et en tant que scientifique qui s’intéresse de près aux dangers menaçant le citoyen algérien. Il a bien voulu apporter son éclairage sur les catastrophes qui ont endeuillé ou qui menacent la population. - Nous vivons depuis des décennies des problèmes liés à des phénomènes naturels qui reviennent cycliquement sans qu’on ait songé à leur apporter une solution définitive. La situation est-elle réellement inextricable ? Elle est inextricable dans la mesure où l’on gère ces cas de manière catastrophique. En 2004, après le séisme de Boumerdès, nous avons organisé un colloque national du 14 au 16 mars sur la menace de catastrophes naturelles. Nous étions une équipe de très nombreux scientifiques à nous pencher sur les dangers nous menaçant. Nous en sommes sortis avec des recommandations à même de prévenir ces cas de catastrophe, de limiter au maximum les dégâts. Mais les pouvoirs publics sont restés sourds aux avis des spécialistes. - Justement, quel constat faites-vous aujourd’hui ? Quelles sont ces recommandations ? Tout le monde sait que nous vivons un problème de densification urbaine sans commune mesure. Aux constructions anarchiques s’ajoute une absence totale d’entretien. La plupart des grands projets lancés par l’Etat sont faits sans aucune étude d’impact, sans respect pour les principes de précaution et de concomitance. Sinon comment peut-on réaliser une trémie à Alger pour qu’elle soit inondée quelques mois seulement après sa mise en service ? C’est inadmissible. Malgré les multiples interventions des experts contre l’implantation de la faculté de médecine à Châteauneuf, de celle de droit à Saïd Hamdine, d’un groupe immobilier à Aïn Allah et de la Grande mosquée au Caroubier, le pouvoir persiste dans ses choix. Ces endroits sont non aedificandi. Ils sont marqués en rouge sur toutes les cartes géotechniques, morphologiques et géologiques de 1956. Le sol y est alluvionnaire et les constructions risquent de s’affaisser à la survenue d’un séisme majeur. Un autre détail : on ne construit pas sur le lit majeur d’un oued ni sur le lit mineur. Oued Tatareg à Boumerdès, le Val d’Hydra, Frais Vallon, le M’zab et d’autres endroits encore sont des zones non constructibles, mais dans lesquelles on a densifié l’urbanisation. Nous n’avons pas conservé le tissu colonial ; nous nous sommes lancés dans une urbanisation anarchique. - Où réside la solution, selon vous, pour faire face efficacement à ces problèmes ? Le problème c’est qu’il n’y a aucune prévention dans ce pays. L’administration gère les catastrophes par la politique de l’immobilisme et du statu quo. La solution ? L’Etat, qui depuis une dizaine d’années au moins a prouvé qu’il ne peut rien faire, doit se désengager de la gestion des risques. Il faut faire appel à des spécialistes, qu’ils soient nationaux ou étrangers, pour qu’ils se mettent ensemble à réfléchir une stratégie efficace. Jusqu’ici, on n’a fait que jeter de l’argent par les fenêtres pour qu’en fin de parcours, la vie du citoyen soit exposée au danger. La prévention n’est pas une philosophie, c’est une pratique, une expérience qui demande une connaissance fine. Les responsables doivent comprendre que le risque est une confrontation entre les aléas et les enjeux, autrement dit entre les dangers d’un côté et la population et les biens d’un autre côté. Il y a en outre des interférences incompréhensibles : le ministre de l’Energie qui gère le dossier de construction d’une ville à Hassi Messaoud, celui des Affaires religieuses qui gère le dossier de la Grande mosquée et j’en passe. Il n’appartient pas à ces gens de se mêler de la construction. Il devrait y avoir un organisme où seraient représentés des spécialistes dans différents domaines. Une autre anomalie : a-t-on associé les experts dans le choix du tracé de l’autoroute Est-Ouest ? C’est le seul pays au monde où les études d’un projet sont réalisées par le consortium chargé de la réalisation. Qui surveille qui dans ce cas ? Alors que la règle, c’est d’avoir plusieurs partenaires qui se portent la contradiction. L’Etat croit pouvoir tout contrôler, mais c’est une erreur fatale. - Vous dites que certains grands projets portent des risques sérieux sur lesquels votre club ne cesse d’attirer l’attention des pouvoirs publics. Pouvez-vous être plus précis ? Si on prend l’exemple d’Alger, on a construit une usine de dessalement, qui est une source de danger, dans une zone urbaine, près d’une centrale électrique très dangereuse de par son fonctionnement au gaz naturel. A côté, vous avez une usine d’allumettes et un axe routier très dense. Notre club a recommandé la délocalisation de cette centrale, car si elle explosait, ce serait une grande catastrophe. La faculté de Châteauneuf est construite sur un sol argileux, où il y avait d’ailleurs une briqueterie. La Grande mosquée porte un risque géotechnique : le site ne peut pas supporter un minaret de 300 m. Je pose le problème du sol et le ministre des Affaires religieuse déplace le débat sur la structure, disant qu’on a prévu des appuis parasismiques. Je leur réponds qu’un appui parasismique est obsolète dans le cas où il ne repose pas sur un substratum ferme pour éviter le phénomène de résonance. Dans cet endroit, cette fermeté est à plus de 100 m de profondeur. Si le projet est maintenu, il coûtera cinq fois le budget prévisionnel. Pour revenir aux risques de séisme majeurs, j’ai donné il y a deux ans une conférence au Sénat sur les risques qui menacent Alger et on a qualifié mes propos d’alarmistes et d’inopportuns. Le ministre de l’Intérieur a annoncé, il y a quelques mois, qu’on réalisait une carte sismique en collaboration avec les Chinois. Est-ce à lui de le faire ? Nous risquons d’avoir une autre chinoiserie. Les entreprises qui ont construit Sichuan, où on a enregistré 90 000 victimes lors du séisme de mai 2008, construisent nos nouvelles villes. Aujourd’hui, notre pays est le plus vulnérable du bassin méditerranéen face aux catastrophes naturelles, technologiques et industrielles. Source El Watan Par. K.Omar
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Pr Abdelkrim Chelghoum.Président du Club des risques majeurs « Le séisme de Koléa est un signe précurseur qu’il faut prendre au sérieux » Le séisme qui vient de frapper Koléa avant-hier et celui de M’sila la semaine dernière inquiètent les Algériens. Dans cet entretien, Abdelkrim Chelghoum, directeur de recherche à l’UST Houari Boumediène, professeur en numérique et génie parasismique, président du GPDS (laboratoire génie parasismique, dynamique et sismologie), président du Club des risques majeurs et consultant principal GAIM Ltd Derbyshire (Grande-Bretagne) nous livre ses appréciations à propos du risque sismique. - Comment appréciez-vous la secousse de Koléa qui a affolé les Algériens ? Malheureusement, sept années après le douloureux événement du 21 mai 2003 de Boumerdès, on constate qu’aucun enseignement n’a été tiré. M’sila a été classée en zone 1, donc de sismicité à peine sensible, mais la dernière catastrophe vient de prouver toute l’étendue de l’erreur. Le séisme de Koléa est un signe précurseur qu’il faut prendre au sérieux, la faille de Sidi Abdellah bouge. On constate qu’à chaque fois, l’application d’une réglementation grossière et erronée a été l’un des critères dominants dans l’évaluation des causes ayant provoqué les effondrements des ouvrages et édifices. Il est à craindre que la malédiction ne soit portée par une fatalité et l’amnésie des pouvoirs publics tendant à contenir la démarche en matière de prévention des séismes dans un certain nombre de dispositions réglementaires et législatives « philosophiques » et « insignifiantes ». - Que pensez-vous de la déclaration, la veille, du ministre de l’Habitat sur le fait que les pouvoirs publics ont « tiré les enseignements nécessaires des séismes » qui ont frappé notre pays ? En se référant à l’historique de la réglementation algérienne, on remarque que ces règles ont été préfabriquées par tâtonnements en utilisant le code californien UBC, les règles françaises PS92 et l’Eurocode 8. En Algérie, l’absence totale de recherche approfondie dans ce domaine, l’absence de moyens de calcul numérique, l’absence de laboratoires d’essais dynamiques, l’absence de procédures de validation sur les plans expérimental et théorique, l’inexistence d’une équipe de chercheurs pluridisciplinaires — une centaine au moins — spécialisés dans les phénomènes dynamiques et numériques, ne peuvent déboucher que sur un document constituant une simple recherche bibliographique, avec une adaptation intuitive des différents facteurs intervenant dans le calcul de la force sismique de dimensionnement. Ce qui nous fait dire que la démarche adoptée est à la fois improvisée et archaïque parce que sans validation ni fondement technique et/ou scientifique. - Pourtant, il y a eu des efforts pour l’actualisation du système parasismique ? Il faut signaler l’indigence de la puissance publique dans sa stratégie à vouloir pallier les carences et insuffisances en matière de prévention en procédant, dans la précipitation, à une soi-disant mise à jour, encore une fois, des règles en vigueur sans débat national ni consensus des experts. Ainsi, quelques mois après la catastrophe de Boumerdès, l’administration concernée propose une série de modifications sans justification ni validation de certains facteurs et paramètres. Je citerais à titre d’exemple : les systèmes de construction, les joints, la ductilité, les coefficients d’accélération, le coefficient de comportement, etc. Les valeurs affectées à ces facteurs sont fixées sur une base purement « pifométrique »*. La proposition d’un nouveau découpage du territoire national en quatre zones sismiques avec une appréciation des coefficients d’accélération. Car elle me paraît à la fois inappropriée et dangereuse sur les plans économique et sécuritaire. Il est connu et admis que l’élaboration d’une telle cartographie nécessite une expertise scientifique et technique de haut niveau avec des moyens matériels considérables pour revoir, analyser, valider et synthétiser les documents de base ayant trait à la sismicité instrumentale, la tectonique, la néotectonique, les discontinuités géophysiques et les imageries satellitaires. Et rien de cela n’a été fait. - Donnez-nous des exemples concrets... Ainsi, le nord de l’Algérie, une région historiquement active d’est en ouest, est subdivisé en quatre zones où la contradiction est flagrante si on se réfère aux résultats des expertises menées in situ après les récentes catastrophes, à savoir la commune de Sendjas dans la wilaya de Chlef, qui a été totalement endommagée lors du séisme d’octobre1980, se trouve classée en zone IIb (moyenne sismicité), la ville d’Oran dévastée en 1790 est classée en zone II (sismicité modérée à faible) ; la ville de Touggourt dans la wilaya de Ouargla secouée par un séisme de magnitude 5 sur l’échelle de Richter en 2007 est classée en zone 0 (zone sans sismicité) ; la commune de Hammadi dans la wilaya de Boumerdès est classée en zone IIb (moyenne sismicité), etc. La wilaya de M’sila, secouée le 14 mai 2010 par un séisme d’une magnitude de 5.2 — qui est à confirmer — est non prévue dans la cartographie officielle. Quant à la solution réglementaire préconisée pour le concept parasismique des bâtiments, elle consiste à injecter des bouts de voile dans la superstructure sans tenir compte des effets interactifs induits sur les plans technique et économique. Quelle trouvaille ! - Et que proposent les scientifiques pour mieux limiter les dégâts ? L’Etat se doit de mettre en place une stratégie cohérente et claire en matière de gestion des risques majeurs en général et du risque sismique en particulier, car sa responsabilité demeure entière en cas de calamité. La réglementation technique en vigueur doit expressément être revue, validée, justifiée et re-analysée sur la base des deux principes directeurs et interdépendants : risque acceptable et coût acceptable. C’est pourquoi il est vivement recommandé de surseoir à l’application de la réglementation actuelle, revoir et corriger la cartographie de sismicité en rectifiant les aberrations suscitées, adopter provisoirement l’Eurocode 8** comme prescriptions générales pour le calcul, le contrôle et le suivi des structures et ouvrages d’art. Mais également charger des cabinets indépendants d’experts pour l’élaboration de nouvelles règles de la construction dûment validées et justifiées expérimentalement et numériquement. D’où l’urgence de mettre en place, immédiatement, une dizaine de laboratoires. Source :El Watan Par K.Omar. *: Un qualificatif gravissime et l'est exponentiellement plus s'il s'avère vrai.... **: On dirait que notre ami babaaliturki a été entendu...
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Nouveau RPA2010 !
Le 20 mai 2010 7 ans après le séisme de Boumerdès : Un nouveau règlement parasismique A l’occasion de la commémoration du douloureux anniversaire du séisme qui a frappé la région de Boumerdès le 21 mai 2003, le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Noureddine Moussa, a annoncé hier, lors d’une conférence organisée au siège de la wilaya de l’ex-Rocher noir, le lancement d’un avant-projet d’une version révisée du règlement parasismique algérien (RPA). L’annonce a été faite lors de la « rencontre régionale sur la révision des règles parasismiques algériennes » qui a regroupé des spécialistes et des responsables autour du ministre, dans le but d’élaborer une esquisse d’un règlement parasismique adéquat. Dans son intervention, le représentant du gouvernement a déclaré que son ministère « a toujours veillé à ce que cet outil (le RPA, ndlr) des plus importants soit régulièrement revu et actualisé pour tenir compte aussi bien des progrès scientifiques et techniques nationaux et internationaux que de son vécu par les utilisateurs nationaux ». Le ministre a insisté sur les enseignements qui n’ont cessé d’être tirés de la dizaine de séismes modérés et importants qui ont frappé notre pays durant le quart de siècle passé, et il en veut pour preuve les cinq versions successives, révisées et enrichies, du RPA entre 1981 et 2003. Cependant, le ministre reconnaît que les enseignements du séisme de mai 2003 « n’ont probablement pas, au vu de l’urgence de la révision 2003, tous été pris en charge de manière convenable ou exhaustive ». Il reconnaît de ce fait que les utilisateurs nationaux du RPA « sont confrontés… à de nouveaux problèmes ou interrogations qui méritent réflexion et des éléments de réponse pour aller de l’avant ». Il est attendu de cet RPA 2010 de « prendre en charge au mieux les évolutions, réoccupations et exigences » de l’acte de bâtir. Surtout que le ministre dit avoir associé à cette démarche « l’ensemble de la communauté du bâtiment et du génie civil ». M. Moussa précise par ailleurs que deux autres rencontres régionales (est et ouest) vont être tenues dans le cadre de l’élargissement des consultations qui vont se poursuivre jusqu’au mois d’octobre 2010. ....Suite de l'article Source: EL Watan. Par K.Omar
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Etude d'une structure en béton dans le sud
Bonjour, Pour l'effet de la température tu peux ne pas en tenir compte on prévoyant des joints de dilatation tous les 20m sinon le CCBA93 explique comment tenir compte de cet effet. Voilà un document qui résume sa prise en compte, téléchargeable à partir du site du CTC Centre: Introduction de l'effet de la température dans le calcul des structures Maintenant pour les surcharges du sable tu dois te référer au DTR RNV99 disponible sur le forum partie des règlementations et Normes. : http://www.lmgc.net/forum/n-r-africaines/3427-telechargez-dtr-algerie.html Mais ce qui est important aussi, et tu le conviendras, je présume, l'isolation thermique des bâtiments avec l'écart de température qui règne au Sud des plus intolérables de la planète. Pour ce point je te renvois vers le D.T.R. C3-2 Règlement thermique des bâtiments d'habitation Cordialement, Ubu.
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cheminée à foyer ouvert
Bonjours Dr. Je tombe sur ces Documents que je trouve un peu plus intéréssants. J'epère qu'ils feront votre joie Doc. Conduits de fumée1.rar[/attachment:33jjgb1f] Conduits de fumée2.rar[/attachment:33jjgb1f] Foyers ouverts ou fermés.rar[/attachment:33jjgb1f] En attendant l'ébauche de votre coin-feu, passez une chalereuse journée, Doc ^-^ Et bon courage! Cordialement, L'UbU Conduits de fumée1.rar Conduits de fumée2.rar Foyers ouverts ou fermés.rar
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charges d'un dalot
Salut, Regardes ce sujet: Un trèd bon Doc. je trouve, de M. schiboub repostait par M. Omar qu'on remercie : vrd-hydraulique-f57/la-route-l-hydraulique-t6526.html et là une note pour, t'en inspirer, que j'ai du téléchargé du forum : calcul des sollicitations Dalot.pdf[/attachment:256l7hyg] Dalot sous chaussée.pdf[/attachment:256l7hyg] j'espère que ca va t'aider mam'Zelle Aïcha. Cordialement, L'Ubu calcul des sollicitations Dalot.pdf Dalot sous chaussée.pdf
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Joint de dilatation?
Salut, Vous dites "séparés" par un joint ! donc séparément, chaque partie indépendamment, par simplicité. Toute fois vous pouvez modéliser les deux bloc séparés dans un même fichier pour cela vous devez crier des liaisons fictives au niveau des encrages (ou appuis) au joint même. Cette astuce évite les erreurs type "Structure non solidaires" mais encombrant pour le traitement des données. Donc Simplicité ou Complexité. Bien à vous, L'Ubu
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REVISION RPA99/2003 APPEL A CONTRIBUTUION
Source : CTC-Chlef UbuKing
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Nouveau RPA2010 !
Du nouveau pour la révision de l'RPA99v2003: Le CTC-Chlef, connu pour ses compétences, son sérieux et son souci à bien mener la mission qui est la sienne, adresse un appel à contribution à toutes personne physique ou morale concerné par le présent appel de bien vouloir l'adresser avant le 31 Aout 2010. Voilà quand les choses "reviennent" à leurs cours. Reste qu'à adresser les dits contributions avec autant de zèle montré en haut. Source : CTC-Chlef Y a du boulot les gars :mrgreen: Qualitative contribution L'Ubu
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Livre: Le controle d'étancheité
Pokoi, t'es Eyjafjöll? :shock: ... a voir le malaise de la veille Europe elle n'a rien de bonne ta "fumée", Bob. par contre une toute tite bouché de Reguee, oui ça me dit, avec une bonne poignée de free jazz ca doit étre pétillant ! Bonne nuit Bob :mrgreen:
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copier dessin dans excel
Sur le clavier une touche où est inscrit "impr écran Syst" ou "Print Screen" ou équivalent sinon un logiciel conçu pour la capture d'écran qui sont gratuits : http://www.01net.com/telecharger/window ... ure_ecran/ ou celui là : http://www.clubic.com/article-176410-1- ... lubic.html Après capture tu vas sur le programme Paint et tu colles la capture, après calibrage tu sauvegardes ton fichier que tu fais insérer dans Excel est le tour est joué. Remarque: après capture d'écran, tu peux la coller directement sur Excel puis la calibrer sans passer par Paint. Crdt, UbuK.
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effort normal réduit
Salut, J'ajouterai que la même vérification similaire à celle de l'RPA (v</=0.3) est préconisé par l'Eurocode8 et l'ACI Pour l'EC8 : Nd/Bc.fcb <ou= 0.4 Et l'ACI : Pu/Po <ou= 0.35 ; avec Po charge nominale limite de la section brute. Vous remarquerez bien que la condition de EC8 est plus pénalisante. Crdt, UbU
UbuKing
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