Joshman

Bonjour Bellamine, Oui merci beaucoup pour ta réponse Il y a effectivement un gros risque que les points de rouille proviennent des armatures et je vais donc prévoir des essais pour investiguer mieux tout ça (profondeur carbonatation, chlorures, enrobage...) Merci !

Bonjour, Je sollicite vos connaissances en diagnostic d’ouvrages en béton armé. Dans le cas présent il s’agit de réservoirs en béton de station d’épuration (clarificateurs, bassin d’aération…), coffrés avec système Wolf. Ces ouvrages ont 20 ans et sont hors sol, dans un environnement non maritime. On observe des traces d’oxydation ponctuelles avec coulures de rouille en divers endroits sur tous les ouvrages. Les coulures de rouille partent à chaque fois d’un point sur lequel il n’y a pas d’armature apparente. On n’observe pas non plus de fissures à ces endroits, comme en témoignent les photos jointes. A votre avis, d’où proviendrait cette oxydation ? Des armatures au sein du béton qui commencent à s’oxyder bien qu’on n’observe aucun gonflement / éclatement du béton ni fer apparent ? De ligatures laissées en place ? Autres ? Cela nécessite-t-il de prévoir, en plus du diagnostic visuel, des investigations spécifiques telles que mesures de l’enrobage, profondeur de carbonatation, etc… ? A noter qu’on observe aussi sur ces ouvrages quelques rares traces de calcites témoignant de suintements anciens par des fissures, et que le parement intérieur des réservoirs (en contact avec les effluents) est parfois « lixivié » (disparition de la peau du béton avec granulats bien visibles) mais sans gros désordres apparents (pas d’armatures apparentes…). Merci beaucoup d’avance pour vos retours Josh