gfolic

Merci kamel_hail de ta réponse. En fait, pour aborder simplement le sujet, je voudrais d'abord parler de l'interaction inertielle pour un bâtiment fondé superficiellement. Il doit être possible de représenter l'interaction sol-structure par des ressorts et amortisseurs indépendants des pulsations mais quelle méthode utiliser ? Si on souhaite avoir des ressorts dépendant de la fréquence, il faut calculer les impédances (???).

Ci-joint un lien vers un article + un prgramme Exscel pour le calcul des pieux. En anglais, et je ne sais pas quelle "méthode" est utilisée ... http://epublications.bond.edu.au/ejsie/vol1/iss3/2/

Je n'arrive pas à en trouver de vraiment exploitable mais il est fait souvent référence à ces ouvrages (que je n'ai pas) DYNAMIQUE DES SOLS de Alain PECKER aux PRESSES DE L’ENPC INTRODUCTION TO STRUCTURAL DYNAMICS de John M. BIGGS chez Mc Graw-Hill Fundamentals of Earthquake Engineering par Nathan M. Newmark et E. Rosenblueth

Bonjour à toutes et à tous, je vous souhaite une bonne année 2009 et une bonne santé ! Je voudrais aborder le sujet de l'interaction sol-structure souvent négligé dans tous les cours de génie parasismique et qui pourtant me semble très important pour les bâtiments rigide fondés sur sol souple (cas très fréquent : bâtiment en béton banché sur radier ou semelles superficielles). Les vibrations propres de la structure sont établies en supposant un sol indéformable et les spectres de réponse sont établis en supposant un terrain nu sans construction. Le bâtiment construit sur un site ne va donc pas se comporter réellement comme ce qui est calculé car il est fondé sur un sol déformable. Il faut donc faire intervenir l'interaction sol-srtucture ce qui peut être fait suivant deux principes : -modélisation par des ressorts à la base d'un modèle du bâtiment plus ou moins simplifié (type brochette) -modélisation par éléments finis Il existe peu de littérature spécifique à ce sujet. De nombreux articles traitent d'approches plus ou moins complexes. En fait, le problème est proche du phénomène des fondations des machines vibrantes (mais le risque de mise en résonnance est moins sensible en sismique). A priori il existe quelques ouvrages traitant de ce sujet mais malheureusement plus disponibles, alors si quelqu'un peut m'aider sur ce sujet j'en serais ravi ! <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><o:p></o:p> DYNAMIQUE DES SOLS <o:p></o:p> de Alain PECKER aux PRESSES DE L’ENPC<o:p></o:p> <o:p> </o:p> <o:p></o:p> INTRODUCTION TO STRUCTURAL DYNAMICS <o:p></o:p> de John M. BIGGS chez Mc Graw-Hill<o:p></o:p> <o:p> </o:p> <o:p></o:p> <o:p></o:p> Fundamentals of Earthquake Engineering<o:p></o:p> par Nathan M. Newmark et E. Rosenblueth <o:p></o:p> Merci de votre aide !

Ci-joint un lien vers un site (en anglais) où sont disponibles en telechargement ou en ligne de multiples calculettes sur differents sujets génie civil, structure, conversions diverses, mathématiques, chimie ... http://www.calculatoredge.com/index.htm <SPAN onmousedown="if(editor_type=='1'){WriteHTML('','editor');}else{WriteTEXT('','editor');}" style="curror: pointer">

La réponse est au §4 des règles NV65 Partie Neige : L'action simultanée du vent avec la neige conduit à envisager des cas de redistribution de la charge de neige sur une couverture.

Je completerais cette réponse en conseillant vivement de toujours prévoir au moins deux boulons à chaque assemblage. En effet, dans les poutres treillis, la défaillance d'un seul élément ou assemblage a souvent des conséquences catastrophiques, avec une instabilité globale. La présence de deux boulons à chaque assemblage permet de limiter ce risque.

Si on s'en tient uniquement à la photo (ce qui est clairement insuffisant pour se prononcer) je dirais que les étages supérieurs situés sur la gauche ont des déplacements plus "libres" que ceux à droite. La déformation imposée par le séisme a provoqué la rupture d'éléments porteurs dans cette zone et l'effondrement partiel des niveaux.

Bonjour, juste un avis personnel sur le sujet : le problème principal des goujons, c'est leur mise en oeuvre qui est très délicate, surtout dans le domaine du bâtiment.

Bonjour Jad, la réponse est simple : jamais. Tout ouvrage est calculé pour reprendre les charges et efforts auxquels il va être soumis tout a long de sa vie : -poids propre -charges d'exploitation -charges climatiques (vent, neige, cyclone, givre ... suivant les régions) -effets thermiques -effets des tassements -poussée des terres, de l'eau -etc, etc ... Le vent ne peut jamais être ignoré. Toutefois, pour ne pas couper court à toute discussion, je pense que l'objet de ta question est de savoir jusqu'à quand peut-on négliger l'effet du vent pour un bâtiment en béton armé. La réponse n'est pas évidente car elle dépend du lieu d'exposition, du type d'ouvrage (hauteur, poids), du type de contreventement prévu ... Bref, c'est par expérience que l'on peut juger si le vent aura une incidence ou non sur le calcul de la structure, donc pas de réponse claire. Par contre, le vent ne devra jamais être négligé pour le calcul des ossatures de façades légères, fenêtres, fixation de l'étanchéité ... Pour revenir au NV65, les charges de référence sont données pour 10m mais si ton bâtiment est moins haut tu calcules par une formule simple la charge de vent à la hauteur maximale de ton ouvrage. Si, finalement, il peut y avoir des cas où le vent n'est pas pris en compte : pour les bâtiments construits à l'intérieur d'un bâtiment complètement fermé. Espérant t'avoir aidé ...

Bravo OmdaGéo, c'est une belle trouvaille. Certes, c'est un logiciel en developpement qui est encore très limité mais il y a un vrai potentiel. Cela me fait penser à RDM6, mais avec une présentation plus "moderne". Reste à le tester sur des exemples pour apprécier sa justesse et définir ses limites ... Merci