plancoet

Je suis d'accord avec bouktit : ne pas considérer les voiles périphériques comme des voiles de soutènements mais considérer que cet effort de poussée des terres est repris un peu comme un effort de vent : il faut verifier que le voile résiste en flexion (poussée des terres)+compression (descente de charges), puis transmettre les efforts aux voiles de refend qui permettent de descendre les efforts horizontaux de poussée aux fondations.

Par ailleurs, pour la longueur selon Y, moi je reste prudent vis-à-vis de l'outil "Auto" de robot. Rien n'est plus sur que d'entrer sa valeur à soi, calculer avec ses principes d'ingénieur et de RDM.

Pour plus d'infos sur tout ça, se reporter à la NF EN 206-1 et surtout à son guide d'utilisation, qui résume en une dizaine de pages les prescriptions de bétons. EN clair, le sol pour générer une agressivité de type XA (chlorure) ou XS (sulfates) et cela entraine des dispositions particulières. Pour connaitre l'agressivité, une analyse des eaux souterraines est nécessaire, ou, si vous vous trouvez dans un terrain pollué, une analyse du sol.

tout est dit ! c'est mes principes aussi !

le code européen : eurocode 4 : EN 1994

il est disponible sur le site d'arcelor... une recherche Google te donnera le bon site en un instant.

Très bonne idée que ce module. J'espère que chacun y pensera lorsqu'il visualisera une vidéo instructive sur internet !

Arcelor Mittal fournit un logiciel : ABC (Arcelor Beam Calculator) qui fonctionne très bien pour les poutres mixtes (avec dalle pleine, prédalle, bac collaborant, etc.) Pour les poteaux mixtes, j'utilise Expert EC4 qui est fourni avec Robot Structural Analysis. Enfin, pour les bac collaborant en eux mêmes, tu as des abaques bien fournies dans les documentations Arval (Arcelor).

Pourquoi ferrailler une longrine comme un tirant ? Si cette longrine soutient la dalle haute du vide sanitaire, elle doit être calculée comme une poutre soutenant une dalle courante. Ce calcul de traction est valable lorsque l'on souhaite créer un effet diaphragme en dalle basse pour créer un plan rigide vis-à-vis du séisme par exemple, non ?

Cette plate-forme, c'est une hélistation ? Elle sert à quoi ?

Toute argile n'est pas compressible dans la même mesure... Selon le type d'argile, le tassement sera plus ou moins important. Je confirme ce qui a été dit plus haut : à voir dans le rapport géotechnique !

Très souvent, de toute manière, les règlements sont une vulgarisation de la théorie. Basés plus ou moins sur l'expérimentation, ils permettent d'obtenir des résultats fiables en limitant la surchauffe des méninges !

à vu de nez, comme ça, 7,50 m et 22 cm d'épaisseur, vu les charges, ça me parait pas du tout un exploit... Et avec le module Expert BA de robot, une poutre de 1,00*0,22 passe sans soucis (80kg/m3) avec ces charges.

Entre deux pans de voile, la portique crée un effet portique, et donc les moments d'encastrements sont énormes aux jonctions poutres voiles. En articulant des deux extrémités la poutre, l'effet portique disparait et la poutre n'est plus sollicitée ou presque.

Bin comme pour toute poutre, ça dépend des sollicitations... Si tu as un chargement normal, avec h=L/10, tu devrais pas être loin de 100kg d'acier/m3 de béton... On ne peuit pas beaucoup plus t'aider vu le peu d'informations qui sont fournies

?? C'est dans l'étude géotechnique que l'on trouvera la contrainte admissible du sol.

pas aux eurocodes. maintenant c'est 1,35 tout le temps

Utilisant Firefox, j'ai également des problèmes avec les onglets de démarrage que je trouvais bien pratique : cela permet de voir les dernières discussions actives en un coup d'oeil... Vivement que ça remarche ! Par ailleurs, pouvez-vous supprimer cette limitation de 300 secondes entre chaque message... 5 minutes, c'est énorme !! 30 secondes suffirait pour éviter les spams ! Je tombe régulièrement face à ce message d'erreur... C'est énervant ! Personnellement, je trouve qu'il y a maintenant presque trop de rubriques, on s'y perdrait presque ! Enfin bon, il suffit de retrouver ses marques je pense SInon, bravo pour votre boulot, super site et super design maintenant !

Pour un bureau de maitrise d'oeuvre TCE, cela peut être intéressant quand même non ? Pour la structure, les dimensions des poutres sont connues, mais les ferraillages ne sont pas détaillés. Pour les réseaux, les dimensions des gaines sont connues également. La synthèse peut donc être réalisé, sans aller jusqu'au études d'exécution (en structure du moins).

Les poutres sont des éléments barres, or les éléments barres sont droits. Pour modéliser un arc, il faut dessiner un arc, puis le discrétiser en n tronçons (suffisamment pour avoir la forme d'un arc). Ensuite, pour appliquer les charges, c'est comme d'habitude. Bon courage

Pour les charges de toiture, 400 kg/m² semble OK, sauf si cette toiture terrasse est une zone refuge pour l'évacuation en cas d'incendie, auquel cas elle doit supporter 600 kg/m². Mais dans ce cas, la tenue au feu de la couverture doit être assurée, et donc l'acier doit être floqué ou protégé...

sur le premier essai, on voit qu'il tasse plus d'un côté que de l'autre (décalage de 0,1.10-3), mais que du fait de sa souplesse, une "cuvette" se forme. sur le second essai, la rigidité est augmentée, donc plus de cuvette, mais le tassement en haut à droit est toujours un poil plus important qu'en bas à gauche (décalage de 0,1.10-3)... pour moi, les deux essais sont cohérents entre eux. par contre, pour savoir pourquoi, à l'origine, il y a un tassement un tout petit peu plus important en haut à droite qu'en bas à gauche, là, je ne sais pas... faudrait voir les conditions limites. ton radier est un disque parfait ? le chargement est uniformément réparti ?

à mon avis, dans CBS, tu ne peux pas avoir les efforts dimensionnants. La solution pour moi serait de réaliser un dimensionnement de l'élément BA réel, en passant par le module métier de Robot Structural Analysis : CBS exporte alors dans RSA les chargements, et tu peux ensuite calculer le ferraillage dans RSA. La note de calcul issue de ce dimensionnement doit mentionner les efforts dimensionnants. Bon courage

Pour le contreventement, par principe, tu réalises une sorte de descente de charge horizontales jusqu'à tes éléments de contreventement et tu les vérifies en flexion/compression ou en membrane pour les voiles... D'une manière générale, lorsque la conception est bien faite, que les contreventements sont cohérents et bien disposés, par de problème pour les justifier...

Ce que vous dites est très intéressant et j'aimerai en savoir plus : avez-vous déjà eu des expériences réelles qui ont bien fonctionnées et d'autres non ? je n'avais pas vraiment envisagé pour ma part que la chaine du BIM se poursuivait dans le cadre de l'entreprise... Pour moi, c'est avant tout un processus d'études, et les va-et-vient se font entre architecte et ingénieurs (structure, mais également CVC, électricité, VRD). Dans ma société nous sommes actuellement en train de tester ces processus qui paraissent extrêmement avantageux en terme de productivité, lorsque tout se passe bien !