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  1. Le 27 mars 2025, l’Association Universitaire de Génie Civil (AUGC) organise une journée thématique "Construction Bas Carbone" à l’Auditorium de la Tour Séquoia (La Défense). Objectif : explorer les solutions techniques pour décarboner le BTP, avec un programme taillé pour ingénieurs, chercheurs et pros. Béton, acier, bois, terre crue – on va droit au but. Focus techniqueÀ 10h, Eric Bergé (Shift Project) cadre la décarbonation avec des données claires. À 10h30, Mathilde Lebert (CSTB Grenoble) livre l’analyse carbone du secteur et les leviers chiffrés. À 11h20, Laure Régnaud (EFB) passe en revue les bétons bas carbone : formules, process, performances. À 11h50, Aurelien Trutt (Construir’Acier) détaille l’acier recyclé et optimisé. À 13h50, Erwan Hamard (UGE) expose la terre crue : résistance, bilan CO2, circularité. À 14h20, Xavier Davy (EGIS) évalue le bois en structure : atouts et contraintes. À 14h50, Camill Magniont (LMDC) dissèque les isolants biosourcés : λ, durabilité, empreinte. À 15h40, Damien Rangeard (groupe Pigeon) partage un cas pratique de décarbonation à grande échelle. À 16h40, Abdelfeteh Sadok (Grand Paris) présente "Circulence", un outil métrique pour la circularité. Pourquoi venir ?Expertise pointue, retours terrain, applications directes – pas de place pour le flou. De quoi booster vos projets bas carbone. Infos pratiquesDate : 27 mars 2025, 9h-18h Lieu : Tour Séquoia, 1 Place Carpeaux, 92800 Puteaux Inscription : https://www.augc.asso.fr/collect/description/445608-n-27-mars-2025-journee-thematique-construction-bas-carbone Technique, concret, percutant. Rendez-vous là-bas ! JT-Construction-Bas-Carbone-27-03-2025.pdf
  2. jusqu’à

    Participez au webinaire gratuit de CYPE France le mercredi 26 février, de 11h30 à 12h30 (CET). Découvrez l'utilisation avancée de CYPE Connect pour modéliser des assemblages métalliques complexes, calculer des résultats précis, et générer des plans détaillés. Inscrivez-vous dès maintenant pour améliorer la productivité et la qualité de vos projets en acier !
  3. L’ingénierie structurelle repose sur des workflows précis mais souvent répétitifs. Entre la collecte de données, la modélisation sous ETABS ou SAP2000, les calculs, le post-traitement et la création de rapports, chaque projet suit un processus bien défini mais ponctué d’innombrables ajustements. Modifier une charge, revoir un dimensionnement, adapter un modèle aux contraintes changeantes… Ces itérations sont inévitables et peuvent vite devenir chronophages. Pourtant, une grande partie de ce travail peut être automatisée, optimisant ainsi la productivité et la précision des analyses. C’est justement le sujet de ce webinaire où Ananda et Janis, ingénieurs spécialisés dans l’automatisation en ingénierie structurelle, présentent comment rationaliser ces workflows avec des outils comme ETABS, SAP2000 et Python. Grâce à des applications interactives développées sur la plateforme Victor, il devient possible d’automatiser la conception des fondations, la vérification des connexions en acier et l’optimisation des structures en treillis, sans avoir à coder une interface complexe. Une simple exportation de données d’ETABS vers une application dédiée permet par exemple d’obtenir une visualisation immédiate des charges aux appuis, d’optimiser les dimensions des fondations ou encore d’évaluer la résistance des connexions structurelles en un clic. Mieux encore, l’intégration directe entre ETABS et ces applications permet d’exécuter des analyses complètes, de tester plusieurs variantes de conception et de générer automatiquement des rapports détaillés. L’exemple frappant présenté dans ce webinaire : une entreprise qui est passée de plusieurs jours de travail manuel à 15 minutes seulement pour concevoir des fondations de grues, grâce à un outil d’automatisation complet. Une preuve que l’innovation n’est pas réservée aux codeurs experts mais peut être mise à profit par tous les ingénieurs souhaitant gagner en efficacité. Si l’idée d’automatiser vos processus avec des outils simples mais puissants vous intrigue, la vidéo du webinaire explore ces sujets en détail avec des démonstrations concrètes et des explications sur la mise en place de ces solutions.
  4. En effet, à terme cette techno sera tellement fiable (probablement plus que nous les humains) et sera complètement accepté. Ca évolue trop vite !
  5. On passe déjà assez de temps à jongler entre Tekla, Robot, SCIA et compagnie, à vérifier nos descentes de charges, ajuster des sections, et se battre avec les normes. Alors, quand une IA débarque en disant qu’elle peut cliquer, scroller et exécuter des commandes à notre place, forcément, ça intrigue. C’est exactement ce que propose UI-TARS, une IA développée par ByteDance (oui, ceux de TikTok, mais restons sérieux). Contrairement aux IA habituelles qui pondent des rapports ou des calculs, celle-ci se comporte comme un utilisateur : elle regarde l’écran, comprend les boutons et les menus, et interagit avec le logiciel comme nous le ferions… enfin, en théorie. Sur le papier, on peut rêver : un assistant IA qui génère automatiquement les plans d’exécution, exporte des nomenclatures ou ajuste les paramètres de calculs en fonction des résultats ? Ça pourrait nous économiser des heures de clics inutiles et nous éviter des tendinites à force de paramétrer nos maquettes. Imaginez une IA qui modifie un ferraillage sur Tekla en respectant l’Eurocode ou qui ajuste un modèle sous charges accidentelles dans Robot en fonction d’un retour de notes de calcul. Pas mal, non ? Mais soyons honnêtes : nos logiciels ne sont pas juste des tableurs géants qu’on peut automatiser en appuyant sur "Exécuter". Un clic mal placé sur Robot et c’est un modèle qui explose. Une mauvaise interprétation d’une maquette et on se retrouve avec un ferraillage qui respecte plus l’art abstrait que le DTU. Pour l’instant, cette IA ressemble plus à un stagiaire motivé mais maladroit qu’à un ingénieur qui connaît son métier. Elle peut faire des choses, mais il faut la surveiller. Alors, gadget ou révolution ? Difficile à dire. Pour l’instant, les tests montrent qu’elle est capable d’exécuter certaines tâches basiques, et qu’elle peut même apprendre de ses erreurs. Mais est-ce suffisant pour lui confier nos maquettes structurelles ? Clairement pas encore. Disons qu’elle pourrait devenir un assistant pour certaines tâches répétitives, mais pas question de la laisser signer un calcul béton ou approuver un modèle dynamique… pas tout de suite, du moins. UI-TARS en action – Quand l’IA prend les commandes… RéférencesL’étude originale sur UI-TARS, menée par ByteDance et Tsinghua University, expliquant son fonctionnement et ses résultats sur différents benchmarks. L’article de DeepLearning.AI, "UI-TARS Shows Strong Computer Use Capabilities in Benchmarks", qui compare UI-TARS à d’autres agents IA comme GPT-4o et Claude 3.5 Sonnet. Une démonstration vidéo de UI-TARS, disponible ici : Regarder la vidéo, où l’IA tente de contrôler une interface logicielle.
  6. Imaginez : vos routes se soignent d’elles-mêmes, sans que l’on doive y penser. C’est un pari audacieux sur l’avenir, où chaque fissure pourrait devenir l’occasion d’une réparation instantanée, transformant nos rues en véritables artères de la modernité.
  7. Imaginez une route qui, à l’instar d’un super-héros discret, se répare sans qu’on ait besoin d’appeler les secours. Fini le casse-tête des nids-de-poule et des chantiers récurrents : grâce à une approche innovante mêlant intelligence artificielle (IA), biomasse et simulation atomistique, l’asphalte pourrait bientôt prendre soin de lui-même. Une solution inspirée par la natureLa clé du succès ? S’inspirer des capacités de régénération que l’on observe dans la nature. Les chercheurs, issus du et de – avec un coup de pouce international et le soutien de Google Cloud – ont mis au point un revêtement enrichi en biomasse. Concrètement, l’asphalte est agrémenté de microcapsules renfermant des réjuvénateurs issus de déchets. Lorsqu’une fissure se forme, la pression du trafic fait éclater ces capsules, libérant un agent réparateur qui "guérit" le bitume en un temps record (parfois en moins d’une heure). L’IA au cœur du processusMais ce n’est pas tout : l’IA vient peaufiner cette recette miracle. Des modèles de machine learning analysent en temps réel la composition moléculaire du bitume et simulent ses réactions face à l’oxydation et aux agressions mécaniques. Cette démarche data-driven permet d’optimiser rapidement la formulation du revêtement, en économisant du temps et en réduisant les coûts liés aux expérimentations classiques. Zoom sur l’étude de Digital DiscoveryPour rendre le tout encore plus solide scientifiquement, une étude récente publiée dans Digital Discovery (DOI : ) vient consolider ces avancées. Voici l’essentiel : Objectif et approche : L’étude propose un cadre computationnel innovant permettant de générer des modèles représentatifs de fluides organiques complexes – comme le bitume ou les huiles biosourcées – à partir de données issues de chromatographie en phase gazeuse et de spectrométrie de masse (GCMS). Simplification de la complexité : Au lieu de modéliser des milliers de molécules, l’algorithme identifie un petit groupe représentatif, capturant les caractéristiques chimiques essentielles qui déterminent le comportement global du matériau. Application concrète : Le cas d’étude porte sur une bio-huile issue de la pyrolyse de l’écorce de pin, envisagée comme additif pour les asphalt rejuvenators. Ce procédé de valorisation des déchets permet de concevoir des revêtements plus durables, tout en s’inscrivant dans une démarche d’économie circulaire. Ainsi, ces modèles atomistiques précis offrent une vision prédictive du comportement du bitume, rendant possible l’optimisation de matériaux d’infrastructure sur mesure. Des impacts concrets pour les professionnelsPour les acteurs du secteur, ces avancées promettent plusieurs bénéfices : Moins de maintenance et plus de durabilité : En réduisant drastiquement les réparations manuelles, les budgets d’entretien pourraient être allégés, tout en prolongeant la durée de vie des routes. Sécurité améliorée : Des chaussées en meilleur état signifient moins d’accidents et une meilleure qualité de vie pour tous les usagers. Valorisation des ressources locales : L’utilisation de biomasse et de déchets s’inscrit dans une démarche de développement durable et réduit la dépendance aux ressources pétrolières. L’alliance d’une approche bio-inspirée, de l’intelligence artificielle et de simulations atomistiques transforme le bitume en un matériau "vivant", capable de se réparer tout seul. Si cette technologie relève encore de quelques défis (scalabilité, durabilité à long terme, cadre réglementaire), elle ouvre la voie à des infrastructures plus intelligentes, durables et économiquement avantageuses. Sources https://blog.google/around-the-globe/google-europe/united-kingdom/how-ai-could-make-self-healing-roads-a-reality/ https://pubs.rsc.org/en/content/articlepdf/2024/dd/d3dd00245d https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsami.2c07301
  8. Tu es tombé ici par hasard ? Tant mieux, on aime les rencontres inattendues ! Ce blog est conçu pour parler génie civil sans se prendre trop au sérieux, mais avec des infos en béton (désolé pour le jeu de mots facile). On te promet des articles qui mélangent expertise et légèreté, histoire de rendre tout ça digeste. Allez, attache ta ceinture de sécurité chantier 🚧, on démarre avec les grandes tendances du GC en 2025. 1. L'IA débarque sur les chantiers : attention, les robots sont là 🤖Fini le temps où l’IA n’était qu’un concept de film de science-fiction. Aujourd’hui, elle est partout : gestion de projet, prédiction des risques, optimisation des plannings… Un robot pourrait même te dire combien de pauses café tu peux te permettre avant de dépasser le budget ! Mais ce n’est pas tout : les drones font leur show en inspectant les chantiers, et les machines intelligentes te donnent un coup de main pour que tout roule. La productivité ? Niveau max. Les retards ? Presque oubliés. 2. Construire écolo sans sacrifier la performance : c’est possible 🌱Dites adieu au béton bourré de CO₂ et bonjour au béton bas carbone et au bois lamellé-croisé ! Les architectes et ingénieurs rivalisent d’idées pour rendre les constructions plus respectueuses de l’environnement, sans rogner sur la solidité (parce qu’on ne veut pas que ça s’écroule à la première tempête). Neutralité carbone, panneaux solaires, bâtiments autonomes… Le futur est vert, et ce n’est pas juste un slogan. 3. Les chantiers connectés : le smartphone devient l’outil essentiel 📱Sur les chantiers, on ne parle plus seulement de casques et de gilets fluos. Maintenant, il faut aussi un bon signal Wi-Fi ! Entre les capteurs IoT qui surveillent tout, les jumeaux numériques qui simulent la construction avant qu’une seule pierre ne soit posée, et les équipements connectés, le chantier devient un véritable hub technologique. Résultat : plus de sécurité, moins de gaspillage, et des réunions de chantier plus efficaces. 4. La préfabrication : des Lego XXL pour construire plus vite 🏗️Qui n’a jamais rêvé de jouer aux Lego à l’échelle d’un immeuble ? Avec la préfabrication et la construction modulaire, c’est (presque) possible. Les sections des bâtiments sont fabriquées en usine, puis assemblées sur site comme un puzzle géant. Résultat : des projets livrés plus rapidement et avec moins de surprises de dernière minute. C’est parfait pour les promoteurs pressés ou ceux qui ont du mal à tenir les délais. 5. Organiser un chantier, c’est comme gérer une colonie de vacances… ou presque 🛠️La gestion des flux de travail sur un chantier, c’est un art. Mais grâce aux plateformes de collaboration, même les projets les plus complexes ressemblent à un planning de colo bien huilé. Les chefs de projet peuvent suivre les tâches en temps réel, éliminer les malentendus (ou presque) et s’assurer que tout le monde est sur la même longueur d’onde. La communication est fluide, les retards sont réduits, et le stress ? Bon, lui, il est toujours là, mais gérable. En conclusion : le génie civil en 2025, c’est un savant mélange de technologie et d’écologie 🌍Entre l’intelligence artificielle, les matériaux durables et la numérisation des chantiers, le GC est clairement en pleine révolution. Les pros qui sauront surfer sur ces tendances auront un sérieux avantage. Alors, prêt à relever les défis de demain ? 😉 Stay tuned, on revient vite avec de nouveaux articles pour te tenir au courant des actus du secteur. En attendant, n’hésite pas à partager ton avis (ou tes blagues de chantier préférées). 👷‍♂️👷‍♀️
  9. ADMIN a posté un message dans un sujet dans BIM et modélisation 3D
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  11. ADMIN a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    tout fonctionne a nouveau; c'est reglé
  12. Bonjour Bellamine, pourriez vous nous dire un peu plus sur "fantômasse" !?
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  14. ADMIN a posté un message dans un sujet dans BIM et modélisation 3D
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  15. ADMIN a posté un message dans un sujet dans BIM et modélisation 3D
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