NOUI

Il n y a pas de vérification à faire; il faut juste apprécier cet état de fait; ci-joint l'article du RPA: 17. Système comportant des transparences (étages souples) Les exemples les plus "parlants" sont les niveaux de "réception" ou lobbies des grands hôtels (rareté des cloisons ou, parfois, hauteur de niveau plus importante que celle des étages courants...) ou des étages non cloisonnés pour des raisons fonctionnelles (salles informatiques, d’équipements spéciaux etc.). Ces systèmes sont en général à éviter. Sinon, outre la pénalisation par un coefficient de comportement adéquat, il y a lieu de prendre toutes les dispositions à même d’atténuer les effets défavorables prévisibles. Les ouvrages qui peuvent-être concerné présentent des étages de hauteurs différentes ou bien un cloisonnement beaucoup moins dense. Donc il faut tenir compte de l'étage qui présente une diminution notable de rigidité et beaucoup de transparence. Enfin il faut toujours dans ce cas pénaliser les paramêtre qui est le coefficient de comportement; peut-être aussi vérifier les déplacements relatives des étages. Je me permet de faire une remarque générale concernant le cloisonnement; pratiquement la plus part des ingénieurs modélisent les structures sans tenir compte du cloisonnement; ce dernier peut influencer très défavorablement le comportement d'une structure et par conséquent le modèle introduit est complètement différent du réel. Lors du séisme de Boumerdes le constat fait par Mr. Davidovicci s'est terminé par une remarque pertinante "comportement aléatoire des structures"; justement en partie dû à une disposition de la maçonnerie anarchique. Merci.

Bonjour; je me permet de répondre en vous disant quu'il n y a pas de masse à introduire dans la direction Z; c'est la même masse introduite initiallement à laquelle il faut donner des degrès de liberté. pour une structure spatiale la masse aura les degrès de liberté selon X, Y, Z et Rz (dans le cas où un diaphragme rigide a été modélisé). A partir de la on introduite nos chargements spectraux (U1 et U2 er éventuellement U3 si on veut tenir compte du spectre verticale qui est une fraction du spectre horizontale). De toute façon pour les constructions courantes il n'est pas nécessaire de tenir compte du spectre verticale car les sollicitation qui ont découle sont généralement faibles (pour pour les structures de grande hauteurs ou bien les structures comportant des consoles importantes ou bien les structures commes les silôts etc...) Pour ce qui est de diviser la masse par le nombre de noeud; je ne pense pas que ça soit réaliste dans tous les cas; il faudrait que la structure présente une symètrie parfaite et un chargement parfaitement uniforme; de plus les noeuds d'extrémité n'auront pas la même masse que les noeuds centraux. Merci.

Bonsoir; je suis un ancien du CTC; on a jamais exigé cette vérification. il s'agit juste de d'apprécier la valeur de l'excentricité. Une remarque simple, il faut toujours avoir dans l'esprit qu'une bonne conception est intéressante dans le mesure où elle réduit cette excentricité. Par exemple avoir le premier mode comme mode de torsion suppose qu'une excentricité important peut exister (sur le logiciel ETABS on peut avoir ces valeurs par niveau sur fichier résultat.). Merci.