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Benoît

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  1. Bonjour As tu divisé la panne à l'intersection panne-Arba, si non la panne se retrouve sur 2 appuis. De plus tu dois modéliser des noeuds compatibles entre l'arba et la panne, et libérer ainsi la rotation entre les 2, mais pour cela, tu dois diviser l'arba et la panne a ce noeud, et la liberté des noeuds compatibles dois être considérée dans le repère globale du modèle et non le repère local des barres. Ci-joint un exemple, puisse peut-être t'éclairer.
  2. Bonjour a tous Je me pose une question en ce qui concerne l'accumulation de neige: j'ai un bâtiment de 21m de porté, 8m de haut à la sablière, 17% de pente,couverture fibro, et la présence d'un lanternau au faîtage largeur 1.90m sur toute la longueur du bâtiment, lanternau qui sert de ventilation, ce lanternau a une hauteur de 0.50m, d'ou ma question : accumulation de neige. j'ai plusieurs solutions dans les NV65, soit je considère un obstacle local, au quel cas je prend 2.5Pn et dégressif sur 5m, mais qui est défavorable et n'est pas forcément la réalité, ou prendre le cas de l'annexe 1 des NV65 qui traite le cas, avec répartition de la neige sur la totalité des 2 versants, soit maxi 1.2Pn sur la totalité de la toiture. Quand pensez vous. D'après une personne du CTICM, je pourrai effectivement prendre le cas de l'annexe, vu qu'aucun article ne traite du sujet vraiment de façon claire.
  3. Bonsoir a tous et merci de vos réponses, Ce matin je me suis renseigné auprès du CTICM et effectivement , la poutre doit bien être vérifiée avec le risque de déversement (surtout qu'elle est hyperstatique moins de risque lorsqu'elle est iso. ). La semelle sup est maintenue au droit de chaque solives, contreventement horizontale placé au niveau du plancher, toutes les solives doivent être connectées aux croisements des nœuds . En ce qui concerne la semelle inf , celle ci doit être maintenue dans les zones ou la semelle inf est comprimée, la solution par raidisseurs n'est pas efficace contre le déversement, a moins que l'on est des attaches de solives empêchant la rotation; en revanche la solution par bracons est la mieux adaptée a ce problème et la plus simple. Je suis d'accord avec vous sur le fait qu'il faut éviter d'utiliser le bac collaborant comme diaphragme, on peut cependant utiliser ce principe lorsque l'on a des connecteurs (ossature mixte). Cordialement.
  4. Je me pose une question , concernant le déversement des poutres métallique continues(plancher collaborant): j'ai un portique 22 m et de 6 m de haut avec un plancher a mi-hauteur, la poutre de plancher est continue et encastrée sur les poteaux de portique, j'ai disposé 2 poteaux articulés sous la poutre (IPE450), j'ai des solives en IPE220 écartées de 2.40m. Etant donné la continuité de la poutre et les encastrements sur les poteaux on se trouve avec les semelles supérieur et inférieur comprimées alternativement. Semelle sup : longueur de déversement = écartement des solives soit 2.40m Semelle inf : longueur de déversement = distance entre les poteaux (maintient au déversement). Le problème est que le déversement est déterminant pour le dimensionnement de ma poutre, après discussion avec mon collègue, qui ne tient pas compte du déversement (du fait de la présence des solives a l'intérieur de la poutre), je m'interroge . Je ne suis pas vraiment d'accord, les solives étant beaucoup plus petites que la poutre, la semelle inf n'est pas du tout maintenue et risque de déverser est important. Qu'en pensez vous ? Je me suis fait la réflexion suivante : mise en place de bracons anti-déversement (idem traverses de portiques), ou mise en place de raidisseur au droit des solives (fixations de celles-ci sur les raidisseurs). Merci réponses. Portique.pdf