-
Support CYPE a commencé à suivre philkakou
-
dimensionnement d'un déshuileur sous circulation des poids lourds
Bonjour, Je déterre le sujet pour émettre une remarque ... J'ai un aménagement routier dans lequel je dois inscrire un camion à ordures ménagères. J'ai réussi à mettre la main sur les caractéristiques du camion utilisé par le SIVOM en charge de la collecte des ordures. La charge arrière maximale pour le véhicule est de 19t pour un PTC (poids total en charge de 26t) La charge arrière de 19t se répartit sur 2 essieux. Le schéma fourni plus haut avec une charge arrière de 18t sur 1 essieu n'est pas admise en France. Forcément le schéma est donné à titre indicatif ! La charge de 18t se répartit normalement sur 2 essieux arrières distants de 1,35m avec des roues jumelées c'est à dire 4 roues par essieu arrière. Normalement, la modélisation doit reproduire 2 impacts pour l'essieu avant et 2 x 4 impacts pour les 2 essieux arrières sur la dalle. En ce qui concerne mon projet, selon le fabricant du PL : l'empattement est de 4,34m distance séparant l'essieu avant de l'axe de chargement arrière La distance séparant l'essieu avant et le 1er essieu arrière est de 3,70m avec 1,35m entre le 1er essieu arrière et le second. Charge maximale de 8t sur l'essieu avant et 19t réparti sur les 2 essieux arrières
-
Dalle de 1m et dalle de 50cm
Bonjour, Selon tes infos, on suppose que la largeur de la dalle est soit 50cm ou 1m pour une épaisseur identique et une portée similaire. Si tu as les mêmes résultats cela veut dire que le chargement uniformément réparti appliqué est le même dans ta modélisation. Si la charge couvrant la dalle est de 2t/m² : Longitudinalement, la charge linéaire correspondante pour un calcul en poutre est de 2t/m pour la dalle de 1m et de 1t/m pour la dalle de 50cm Le moment obtenu sera différent mais la contrainte identique car dépendant de la largeur de ta dalle s = M / I/v avec M =qL²/8 et I = b h^3/12 et v = h/2 on obtient contrainte s = 3q L² / 4bh² donc pour L et h fixe s est fonction de q/b Calcul en poutre : Prenons la charge répartie linéaire q pour la dalle de 1m on obtient la charge répartie q/2 pour la dalle de 50cm de large car deux fois moins large Posons b = 1m alors pour la dalle de 50cm on a une largeur b/2 ainsi s (dalle 1m) = 3 q L² / ( 4 b h² ) et s (dalle 50cm) =3 q/2 L² / ( 4 b/2 h²) = 3 q L² / ( 4 b h²) CQFD !! Je n'ai pas fait le calcul des armatures mais je suppose que la section de 9 HA16 vaut celle des 7 HA20 à peu de chose près
-
-
NORME EN VIGUEUR DES GARDE-CORPS OUVRAGES D'ART ET DES PONTS
Je n'en suis pas si sûr. Je partirai plutôt sur cette explication : Si l'on considère un trottoir de 1m de large avec une poussée V horizontale de la foule de 100 daN à 1m de hauteur majorée à l'ELU à 150 daN (Vu) introduisant un moment d'encastrement Mu de 150daN.m en pied, alors le système de fixation du garde corps (goujons, chevilles) doit effectivement reprendre ces sollicitations mais le béton structurel lui devra être en mesure de reprendre 1,25 x Mu soit 187,5 daN.m pour limiter l'endommagement intrinsèque du béton en place soumis à la transmission du choc. Cela est indépendant du fait que le GC livré par le fabricant soit en mesure de reprendre par exemple au niveau du poteau et des ancrages un moment d'encastrement ultime de 180 daN.m et un effort de cisaillement Vu de 180daN si je reprends l'exemple supérieur. D'ailleurs, la structure du GC doit effectivement avoir des caractéristiques mécaniques supérieures aux sollicitations de calcul, c'est évident mais encore faut il le rappeler, sait on jamais ! Je peux me tromper dans mon analyse
-
Vitesse maximale d'écoulement dans un dalot
4m/sec soit environ 14km1/2 à l'heure Le charriage doit être important avec risque accru d'abrasion du béton conduisant à une chute du coefficient de rugosité donc une diminution à terme du débit de crue et une risque d'endommagement de la structure et longévité du béton / corrosion des armatures Problème d'érosion régressive du lit et des berges avec affouillement, blocage des embacles Tu peux t'amuser à calculer de manière théorique les vitesses d'écoulement avec les ressauts engendrés en amont de l'ouvrage mais les dégats auxquels tu seras confronté affecteront le milieu naturel environnant de l'ouvrage (creusement du lit, érosion, méandre, tracé évolutif, affouillements, inondations, etc. Cela permet d'apprécier les solutions techniques à mettre en oeuvre autour de l'ouvrage
-
-
Christian Mboulle a commencé à suivre philkakou
-
ConceptRoute-watermark.pdf
Le posteur n'a pas mis d'infos sur le contenu du fichier mis à disposition. Dommage. Pour combler cette lacune, il s'agit d'un document générique évoquant les principes techniques régissant les aménagements routiers pour avoir une vision globale des diverses interactions à prendre en considération pour faire un projet routier de manière convenable. Cela permet de saisir le sens des normes à appliquer.
-
RDM 6
Merci mais il existe depuis une version la v7.04 datant du 5 mars 2020 https://iut.univ-lemans.fr/ydlogi/rdm_version_7.html
-
El Mehdi Duktil a commencé à suivre philkakou
-
MaximeTremblay a commencé à suivre philkakou
-
SOARES Joao a commencé à suivre philkakou
-
Enduit superficiel sur couche de base en 0/31.5
Je n'apporte pas de réponse à la question posée mais juste une précision quant à ma pratique routière en ce qui concerne une route à faible trafic, ce qui ne semble pas le cas ici dans la mesure où l'on évoque une 2x2v. Pour info, le sol en place que je rencontre en général sur le territoire concerné de ma commune est du sable de dune conduisant à une portance largement satisfaisante. J'obtiens systématiquement sur ma plate forme support de chaussée (arase du terrassement + 10cm de GNT) une portance PF2+ soit EV2 autour de 75/80 MPa avec quelques points mini à 45/50 MPa La structure granulaire de la couche de base étant constituée par une GNT 0/20 voire 0/31.5 d'une épaisseur de 25 à 35cm selon le dimensionnement retenu. Pour assurer son imperméabilisation, je prévois un enduit d'imprégnation monocouche 6/10. (EIM) Au niveau de la couche de roulement, selon l'importance du trafic, de la géométrie du tracé (courbe, carrefour) et du cout consenti par la commune, celle-ci est soit un enduit superficiel mono (très rare) ou bicouche (zones résidentielles périphériques) voire en général un enrobé bitumineux EB10 de 5 à 6cm. Les voiries lourdes avec structure en grave bitume relèvent du département. Les voiries communales ont je m'occupe ont un trafic < T3 Je ne dispose plus du logiciel ALizee là où je travaille en commune : Comment peut on considérer l'interface - collée pseudo ou non collée entre les enrobés et la GNT+EIM ? Je n'ai pas eu à travailler dans mon parcours (Etat et département) avec de la latérite mais il semblerait que ce sol soit constitué de roches riches en fer et alumine. Il serait donc susceptible de gonflement au contact de l'eau avec déformation de la chaussée à terme. Il me parait important d'éviter les remontées capillaires par interposition d'une couche drainante en sous face au contact du sol voire un géotextile avec des drains latéraux et un enduit d'imprégnation en surface sous la chaussée. Évidemment fossés latéraux, cela va de soi. Je profite de ma courte réponse aussi pour vous faire part également d'une pratique courante des entreprises pour des reprises de chaussée anciennes altérées (trafic T5/T6) sur des longueurs faibles d'environ 15 à 20m où l'entreprise rechigne à réaliser l'enduit d'imprégnation sur la GNT avant application des enrobés. Prétextant un cout élevé de mobilisation du matériel et de l'équipe (je comprends), l'impasse est fait et les enrobés sont appliqués directement sur la GNT. Ce n'est pas orthodoxe mais sur des sections en ligne droite, avec peu de PL (<10 par jour) j'en accepte le risque. Le cout est ainsi diminué pour la collectivité.
-
Calcul des Coéfficients de Répartitions Transversales dans un pont dalle
Le programme se trouve dans la section telechargement et en recherchant table guyon, vous trouverez facilement. Vous pouvez mener les calculs aux eurocodes. IL faudra superposer les effets des charges selon les voies concernées et appliquer les bons coefficients.
-
-
Noufel noufel a commencé à suivre philkakou
-
Table Guyon
Bonsoir Pour ceux qui ont un problème de téléchargement, voici un autre lien accessible https://mega.nz/file/l7QjlBIQ#FlV4XIkiR4RFdKowfTR2PLVNPScjU1kdzvKihZAyO3c
-
Calcul des Coéfficients de Répartitions Transversales dans un pont dalle
BOnjour, Le programme TABLE GUYON que j'ai écrit a pour vocation de faire comprendre comment fonctionne la théorie GMB et de la "sentir". L'onglet Impacts charges fibre moyenne dalle vous permet de positionner latéralement votre convoi et d'obtenir pour l'ensemble des fibres transversales, les coefficients. J'aurai pu développer une procédure supplémentaire pour déplacer transversalement les convois avec un pas latéral défini au préalable ou par l'utilisateur, faire les calculs du coefficient K et retenir les valeurs max pour chacune des fibres en précisant l'excentrement e correspondant. Ce n'est pas difficile. Il faut conserver en mémoire pas mal de valeurs et faire des tests entre les valeurs max et les valeurs calculées. J'ai pensé préférable que l'utilisateur en fonction de son étude était le mieux à même d'apprécier le positionnement des convois sur la largeur du tablier en tatonnant... Autrement dit : Ce n'est pas du tout cuit où on appuie et on a immédiatement un résultat final. Ici il faut examiner plusieurs positions pour bien assimiler l'effet de la répartition transversale sur la fibre que l'on veut isoler pour en connaitre les sollicitations. En général, on excentre au maximum, le ou les convois puis on les centre et on les déplace un peu plus à gauche ou à droite selon la largeur disponible pour voir l'effet sur les fibres ou les poutres. Le détail des calculs ? Dans le fichier PDF, vous avez les formules des différents coefficients en fonction de l'excentrement e de la charge, de la fibre y considérée. Dans les commentaires particuliers de l'onglet, je vous précise les coefs à appliquer si les charges P multiples sont distinctes pour calculer ensuite votre moment de flexion en lui appliquant le coef K calculé pour la fibre considérée. C'est vous qui définissez dans le programme si vous mettez 1 seul convoi ou plusieurs sur un pont à plusieurs voies pour le calcul des coefficients. Forcément cela impacte ensuite le coefficient bc règlementaire à appliquer. J'espère avoir répondu à vos interrogations.
-
Anas Bentounsi a commencé à suivre philkakou
-
PONTS BIAIS A POUTRES MULTIPLES : RIGIDITES UNITAIRES DE FLEXION ET DE TORSION
Voici les résultats. du tableur. Excusez moi pour la réactivité, j'étais en congés et loin de mon PC.
-
Calcul des Coéfficients de Répartitions Transversales dans un pont dalle
La réponse précédente de breton2250 correspond effectivement à l'usage pour un calcul d'un pont dalle. En général, c'est suffisant pour cerner l'influence de la répartition transversale...quand on "s'amuse" à faire des calculs semi manuels. Pour info, suite au travail intéressant de M.Bellamine toujours sur ce site, j'ai développé une application TABLE GUYON traitant de ce sujet sur le site (telechargements) et qui permet d'avoir K max pour n'importe quelle fibre selon l'excentrement de la charge. On peut dessiner les courbes.
-
Vérification de la mise en tension des torons
Bonsoir, il s'agit purement de l'application de la loi de hooke sur le domaine de déformation élastique du câble en précontrainte par pré tension.
-
Type de fondation pour un sol argileux consolidé
En fait, la reconnaissance effectuée s'oriente plutôt vers des travaux de terrassements routiers et d'exploitation de la plateforme routière que vers des travaux de fondations. Bizarre : aucune mention d'essais au pressiomètre Menard justement pour déterminer les contraintes admissibles puis les tassements prévisionnels de la structure.
-
Est ce que les aciers A500C sont des aciers de class A ou C, ou ASTM?
Bonjour, Selon l'eurocode, il existe 3 classes A, B et C, lettre figurant à la fin de la désignation de l'acier Se reporter au tableau C1 de l'annexe C de la norme NF EN 1992-1-1 Ces 3 classes définissent la ductilité de l'acier, à savoir sa propriété à s'allonger sous chargement maximal. Ainsi : Classe A -> valeur caractéristique de la déformation sous charge maximale >= 2,5 % ; Classe B -> >= 5% ; Classe C -> >= 7,5 % Comme le dit KarimCTA, en France on a : B500A : Re ≥ 500 MPa et Agt ≥ 2,5 % B500B : Re ≥ 500 MPa et Agt ≥ 5 % B500C : Re ≥ 500 MPa et Agt ≥ 7.5 % Le B définit l'acier employé pour les armatures et treillis du béton et le A pour les autres usages de l'acier dans les structures diverses et variées (pieux, tubes)