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BATIANAP

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  1. La différence entre ces deux types de joints réside dans leur emplacement dans les ouvrages. Le joint de tassement se met dans les fondations sur semelles isolées. Il se place en des endroits où naît une différente de sollicitations du sol d'assise, soit par suite d'une différence de charges sur la structure, soit par suite d'une différence de portance du sol. Ce type de joint se matérialise par une semelle double sous deux poteaux jumelés. Le joint de rupture, lui, est vertical et se place dans le mur lorsque le pignon ou la façade est trop longue (plus de 25 m). Il sert à prévenir le phénomène de dilatation-retrait des éléments de la structure. Naturellement ce joint est matérialisé par deux poteaux jumelés mais il ne traverse pas la semelle isolée qui, elle, peut être unique.
  2. bonjour, J'ai bien consulté l'article A.4.5,33 mais je vois que ftj est sous le signe de radical. Mais je me dis que la dimension ne sera plus homogène à des MPa mais à MPa (exposant 1/2), ce qui ne veut rien dire.
  3. bonjour, Bonjour, Je souhaite lever une indétermination sur le calcul de la contrainte limite des aciers à prendre en compte pour le dimensionnement de structures aux États Limites de Service (ELS). Je trouve dans la littérature, des formules différentes pour les mêmes paramètres. Je joins la feuille suivante qui donne les formules écrites par deux auteurs différentes qui disent tous se baser sur le règlement BAEL 91. Je voudrais donc savoir deux choses: 1) Quelle est la bonne formule pour calculer sigma barre en fissuration préjudiciable et en fissuration très préjudiciable ? 2) ftj est-il vraiment sous le signe de radical comme cela est écrit par le premier auteur ? Salutations à tous. ELS.pdf
  4. Bonjour, Je souhaite lever une indétermination sur le calcul de la contrainte limite des aciers à prendre en compte pour le dimensionnement de structures aux États Limites de Service (ELS). Je trouve dans la littérature, des formules différentes pour les mêmes paramètres. Je joins la feuille suivante qui donne les formules écrites par deux auteurs différentes qui disent tous se baser sur le règlement BAEL 91. Je voudrais donc savoir deux choses: 1) Quelle est la bonne formule pour calculer sigma barre en fissuration préjudiciable et en fissuration très préjudiciable ? 2) ftj est-il vraiment sous le signe de radical comme cela est écrit par le premier auteur ? Salutations à tous.
  5. bonjour, Je remercie beaucoup Medeaing pour cet apport précieux qui a abordé à la fois plusieurs questions que je me posais, particulièrement l'usage que je dois faire de la contrainte admissible fournie par le rapport géotechnique. Généralement je l'utilise directement comme contrainte de calcul et c'est cette donnée que je fournis à mon logiciel Arche pour le dimensionnement de mes semelles. Je me rends compte que je n'aurais pas dû.
  6. bonjour, Merci à tous les collègues qui ont bien voulu participer à ce sujet. La diversité des réponses montre combien la règlementation est généraliste et laisse une marge de décision au concepteur. Je réponds à Elninyo que les Eurocodes ne sont pas encore en application officielle dans la règlementation de mon pays. J'hésite par conséquent à m'y lancer tout seul.
  7. bonjour, Merci à Fatmabela et à Berenthor pour leurs contributions qui m'ont bien éclairé. Je note cependant qu'ils ne disent pas la même chose au sujet des EL.S., d'où cette autre question que je me suis souvent posée: de l'E.L.U. et de l'EL.S., lequel état est le plus contraignant (ou le plus défavorable) ? A priori on pourrait penser que c'est l'E.L.S., vu qu'il ne tolère aucune fissure et encore moins, la ruine de l'ouvrage. Cependant c'est celui où les charges et surcharges ne sont pas pondérées.
  8. Bonjour, Je voudrais un avis éclairé sur la question suivante: les calculs des fondations superficielles selon le BAEL 91 se font-ils à l'E.L.U ou à l'E.LS. ? La littérature est souvent contradictoire sur le sujet. Certains auteurs font les vérifications des pressions au sol à l'E.L.U. et le calcul des armatures à l'E.L.S., d'autres font exactement l'inverse tandis qu'un troisième groupe fait toutes les vérifications à l'E.L.S.
  9. Excellente proposition, Keuj84 ! Adoptée et mise en route. Merci beaucoup.
  10. Bonjour Geudes, Bien compris pour l'observation. Je mettrai un soin particulier dans l'assemblage des noeuds puisqu'à présent je suis rassuré que les caractéristiques mécaniques de mes profilés assemblés ne sont pas fondamentalement dégradées.
  11. Veuillez trouver ci-joint le dessin de la ferme dont nous parlons. Ferme.pdf
  12. Ok, je me mets tout de suite à dessiner un détail sur noeud. Mais je réponds tout de suite que TOUS les profilés de cette ferme sont des cornières de 45x45x5, sans exception. La disposition est en T pour les entraits et en U pour tout le reste.
  13. Je remercie Keuj84 et Geudes pour leurs réponses. Je note qu'ils ont tous les deux la même inquiétude à propos des goussets. Eh bien, des goussets sont bien mis aux noeuds. La différence d'avec l'assemblage en T, c'est que les goussets (plaques de 30/10) ne sont pas pris en sandwich par les cornières. Dans le dispositif en U il y aura à chaque neoud 2 goussets au lieu d'un. Ils sont disposés de part et d'autre du noeud. C'est sur ces goussets que sont soudées les ailes des U. Cordialement.
  14. Je remercie Keuj84 pour sa prompte réaction et ses explications bien claires. Je joinds ci-après, un schéma explicatif des dispositifs dont j'ai parlé. Je précise que les barres concernées sont surtout les arbalétriers et qu'elles travaillent surtout en compression. Salutations distinguées. Dispositif.pdf
  15. Merci à Keuj84 pour sa rapide réaction. Je joinds ci-après, un schéma représentant les dispositifs dont je parle. Je précise qu'il s'agit surtout des arbalétriers. Ils travaillent en compression. Salutations distinguées.