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Bisudi Bazola Aimé

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Tout publié par Bisudi Bazola Aimé

  1. souvent qu'est qui se passe,par exemple le sol portant avec une contrainte admissible de 2,5 ou 3 bars compatible avec la pression de l'ouvrage qui demande par exemple 2,4 bars apres calcul se retrouve à 5m et que par exemple à 2,50m de profondeur je peux trouver un sol avec le caracteristique moyen(1 bar) mais ne pouvant pas supporter la pression de l'ouvrage et donc je dois procédé à l'amelioration ou substitution du sol par exemple je ferais mon excavation à 2,50m et que je dimensionne mon GB selon les calcul me donne un B et un H=1m par exemple d'où ma semelle sera posé sur la cote -1.50 et que la hauteur H de GB=1m donc l'excavation sera à la cote -2,5 et donc mes semelles isolées seront plus économique puisque il sera calculer avec le taux de travail de GB qui est superieur à 2,5 bars (taux du travail du bon sol) le seul soucis c'est de calculer ou justifier la hauteur H(1m) et la base B du GB pouvant bien repartir les charges(theorie de Bousinesq) de telle sorte que la pression totale à la cote -2.5m=pression repartie de l'ouvrage(Bousinesq)+la pression due au poids de terre+la pression due au poids du GB sois inferieur à 1 bar à la cote -2.5m cette solution m'évitera 1. une excavation à 5m qui demande de moyen mecanique compliqué que une excavation de 2,5m 2. technique de blindage de talus; procédé d'éxécution compliqué 3. probable accident ; difficile pour la logistique et aussi s'il ya des batiments voisins compliqué d'avantage
  2. 1. tout projet doit répondre aux exigences techniques ,scientifique mais aussi économique 2. dans certains cas le bon sol se trouve à une tres grande profondeur et ceci demande plus des travaux d'éxcavation avec bien entendu risque d'éboulement etc et aussi pour le cas de batiment n'ayant pas plusieurs étages 3. vouloir à tout prix mettre la fondation sur le bon sol qui est profond mais pour un batiment qui n'est pas trop trop sollicités et pas beaucoup d'étage cette solution savère couteuses suites par exemple au choix de fondation semi-profonde ou profonde 4. D'autres parts en analysant le rapport géotechnique et en voyant la stratigraphie du sol, la nature du sol ,ces caracteristiques etc on peut notre fondation à une profondeur raisonable tout en procedant au systeme d'amélioration du sol en surface sur une profondeur donnée et parmis les techniques d'amelioration du sol en surface nous avons: -Le cylindrage -Le Pilonnage -Apport des materiaux de qualité -La stabilisation du sol la technique qui consiste à mettre du gros beton entre dans la partie apport des materiaux de qualité et ceci se justifie par des calculs geotechnique pour determiner la largeur B du gros beton ainsi que la hauteur H du gros beton pouvant nous permettre de bien répartir la pression jusque en dessous de celui-ci en ayant une pression totale(Principe de Bousineq+pression due au poids des terres+pression intersticielle ou pas en cas de l'eau) et cette pression totale devra rester inferieur à la contrainte admissible du sol sur cette profondeur là; d'où les semelles de fondation sera calculé en utilisant le taux de travail du gros beton que pour un hypothèse minimaliste on conisidere son taux de travail ou charge tolerable autour de 5-7,5 bras tel est le principe,une fois le principe maitrisé on procedera au calcul ; je parle de GB comme assise de la fondation si c'est pour le rattrapage du niveau là on a meme pas besoin de proceder aux theories scientifiques,geotechniques etc car ceci entre dans la partie methodologie d'éxécution des travaux je ne vois pas pourquoi l'auteur du sujet cherchera à le poster ici dès le debut de son poste il a demandé quel a été la valeur de taux de travail à prendre pour le GB
  3. 1. tout projet doit répondre aux exigences techniques ,scientifique mais aussi économique 2. dans certains cas le bon sol se trouve à une tres grande profondeur et ceci demande plus des travaux d'éxcavation avec bien entendu risque d'éboulement etc et aussi pour le cas de batiment n'ayant pas plusieurs étages 3. vouloir à tout prix mettre la fondation sur le bon sol qui est profond mais pour un batiment qui n'est pas trop trop sollicités et pas beaucoup d'étage cette solution savère couteuses suites par exemple au choix de fondation semi-profonde ou profonde 4. D'autres parts en analysant le rapport géotechnique et en voyant la stratigraphie du sol, la nature du sol ,ces caracteristiques etc on peut notre fondation à une profondeur raisonable tout en procedant au systeme d'amélioration du sol en surface sur une profondeur donnée et parmis les techniques d'amelioration du sol en surface nous avons: -Le cylindrage -Le Pilonnage -Apport des materiaux de qualité -La stabilisation du sol la technique qui consiste à mettre du gros beton entre dans la partie apport des materiaux de qualité et ceci se justifie par des calculs geotechnique pour determiner la largeur B du gros beton ainsi que la hauteur H du gros beton pouvant nous permettre de bien répartir la pression jusque en dessous de celui-ci en ayant une pression totale(Principe de Bousineq+pression due au poids des terres+pression intersticielle ou pas en cas de l'eau) et cette pression totale devra rester inferieur à la contrainte admissible du sol sur cette profondeur là; d'où les semelles de fondation sera calculé en utilisant le taux de travail du gros beton que pour un hypothèse minimaliste on conisidere son taux de travail ou charge tolerable autour de 5-7,5 bras tel est le principe selon mon point de vue ,une fois le principe maitrisé on procedera au calcul ;
  4. pas d'accord si non pourquoi je mettrais ce gros beton en lieu et place de laisser le sol en place, le debat que nous faisons est telque on a d'une part l'approche geotechnique et les autres ont un approche theorique , à mon avis je te conseillerai de contacter un geotechnicien ou un BET qui va mieux t'expliquer cela car à mon avis on doit en tenir compte comme procédé d'amelioration du sol d'où son epaisseur est terminer par le calcul telque présenté en haut si c'est pour rattraper le niveau et donc son épaisseur n'allais pas dependre des sollicitations de l'ouvrage et de la geotechnique mais plutot des données topographiques ou du site. dans tout le cas dans les pages en haut je t'avais éxpliqué le principe comment ça se passe dans le cas du gros beton comme technique d'amelioration du sol et non comme fondation semi profonde
  5. j'ai lu ton sujet il est interessant mais je pense que le titre du sujet n'est pas conforme avec le contenu ça pourrait parler plus de la conception,calcul et dimensionnement de ............. puisque l'interaction c'est un thème plus approfondi que celui du dimensionnement de fondation
  6. on se comprendra jamais chers BELAMINE c'est un samedi bon Week end l'essentiel tu as compris le sujet sur la fondation superficielle sur gros beton qui n'est rien avoir avec la fondation semi-profonde ou profonde mais c'est plutot la fondation superficielle dans le concept Amelioration des sols(Amelioration en surface/Apport des materiaux de qualité) BON WEEK END je dois aller inspecter quelques chantiers et on a quelques visites des officiels du pays
  7. 1) on est assez ingénieur je ne suis pas obligé de tout détaillé ,je parle du principe tout le monde nous savons que c'est la contrainte repartit selon bousinesq+la contrainte des poids de terre(AxH avec A= poids volumique;H=épaisseur ou hauteur de terre)et pour ajouter la nappe là tu veux un debat on le fera après puisque il faut determiner son niveau par rapport à la fondation et aussi ceci peut changer la valeur de la contrainte due au poids de terre car on devra utilisé le poids volumique saturé ou pas à la place du poids volumique simple mais deja je suis content car on est sur la meme ligne d"idéé l'hypotèse du milieu non pesant n'a pas été énoncé 2. heuresement tu as changé ton point de vue puisque avant du parler de groupe de pieux qui n'avait rien avoir avec le type de fondation qui est fondation superficielle+gros beton. 3. sur mon commentaire précédent j'ai parlé de la charge tolerable ou taux de travail et non contrainte admissible du gros beton relisez bien mon intervention du hier à 10h09 donc tout a été détaillé et bien compris donc les comentaires liés au vocabulaire ou au grammaire en tout ca ça n'a pas sa raison d'etre ;l'essentiel est que les explications ont été claires et avec une base geotechnique
  8. pas d'accord avec vous et pourquoi alors il ya de batiment construit et éxécuté sans JD et ça existe nous on en a fait une dizaine, les contraintes architecturales et d'autres contraintes poussent à l'ingénieur de trouver des solutions scientifique ,technique et adapté comme disait un amis architecte Si un ingenieur X n'est pas capable de réaliser et calculer mon projet je veux aller trouver un ingenieur Y capable de le faire ,c'est pourquoi en ingénieurie ou en technologie il est plus que important de s'adapter et d'innover car le monde d'aujourdui est basé sur la concurrence ,l'innovation et non la routine ou faire ce qu'on fait deja
  9. 1. Theorie de Bousinesq est developpé dans un milieu supposé Non pesant qu'es que ça signifie je ne cmprend pas ,je sais cette theorie est developpé en admettant l'hypothèse que le terrain est elatsique,homogène et isotrope ce qui est aussi normale pour les hypothèses que nous utilisons en geotechniques 2. je n'ai pas compris votre question ici vous parler de fondation profonde dont la theorie;les hypothèses de calcul, et le fonctionnement differe de fondation superficielle ici moi je parle de la fondation superficielle dans le concept Amelioration des sols(Amelioration en surface/Apport des materiaux de qualité) donc il faut une petite touche en geotechnique je vois que en geotechnique vous avez quelques soucis majeurs 3. on parle de l'hypothèse minimaliste(puisque en réalité le gros beton possede une bonne resistance à la compression) et c'est pourquoi meme j'ai mentionné le probleme de l'estimation de son épaisseur(H) encore je vois que vous aviez de soucis majeurs en Geotechniques seul les geotechniciens peuvent bien comprendre ces notions
  10. A condition que on veut faire une étude theorique ou alors un sujet de these de doctorat sur celà je suis d'accord avec vous mais un calcul réel serait ilusoire et irréaliste puisque 1. le moudule de reaction du sol etant le rapport entre la contrainte du sol par le tassement et donc il ne sera pas constant sur tout le point de la longrine 2. la longrine et considére appuyé sur le sol elastique qui est inégalement deformable et l aussi sur les semelles qui constituent un point dures et donc à mon avis pour un cas réel il suffit de dimensionner tes semelles qui doivent reprendre toutes les sollicitations et que les longrines vont jouer le role de radisseur et donc tu le met avec une armarture minimum si non si tu veut une étude theorique ou un sujet de recherche tant mieux de procédé avec la demarche kilométrique
  11. dans le cas précis telque expliqué si il fait le calcul en tenant compte de contrainte de traction due au retrait entre t=15 j à l'infini il n'aura pas besoin de JD ça sera juste un joint de construction donc pas question de traiter l'acoustique pour le JD car le JD n'existera pas juste que il coulera la premiere partie de la dalle et la deuxieme partie sera coulé 15 jours après et au final pas de JD
  12. Bonjour d'abord si possible de me repondre à quelques question 1. pourquoi la solution du gros beton, le sol en place n'est pas portant à cette profondeur là d'où tu veut mettre le gros beton ! 2. il s'agit de quel type de fondation tu compte utilisée (semelle isolée ou cmt) en terme de principe si ta fondation sera sur le gros beton à mon avis tu peux utilisé l'hypothèse de la roche peu fissurée,non desagrégé soit une charge tolerable entre 5-7,5Kg/cm² donc 5-7, 5 bars mais ceci n'est pas le probleme le probleme serait de bien fixé l'épaisseur ou hauteur H de ce gros beton afin de bien répartir la pression pour avoir une valeur faible sur le sol naturel qui se situe après le gros beton cad(pression après le gros beton inferieur à la contrainte admissible du sol sur cette profondeur là) voir la therorie de BOUSINESQ
  13. pas de probleme un détail à ne pas oublier le positionnement de ton joint de construction qui va separer les 2 zones, le joint devrait etre situé à l'endroit où on a moins de sollicitation et donc comme ta dalle sera comme une poutre continue(dalle s'appuyant sur les poutres ou sur les poteaux) et donc le joint ne doit pas etre positionner sur l'appui intermédiaire mais plutot a L/3 ou L/4 de la portée(point où on a le Momment Nul; voir le diagramme de moment de ta dalle considéré comme poutre sur appui continue)
  14. Bonjour je te donne le principe , et pour les calculs le BET peuvent le faire pour toi ou toi meme tu peux le faire .le retrait et la temperature provoque une augmentation de la contrainte de traction ,donc il faudra evaluer ces sollicitations supplementaire et calculer le feraillage additionnel à mettre et donc 1.il faudra savoir la temperature max de ta region à titre indicatif sur quelque document j'ai vu c'est 27,1°C mais attention à verifier avec le service compétente sur place 2. il faut avoir la temperature min de la region( à titre indicatif sur quelque document j'ai vu 3.1°C) à verifier avec le service compétent sur place 3. je ne connais pas la classification de ta zone pour delimiter la longuer max du batiment pour le JD selon EN 1992-1-1 mais admettons 30m qui est comprise entre 25-40m 4. limiter un joint de construction a 30m donc ton batiment ayant 57,64m et donc tu divise ton batiment en 2 parties soit 30m et 27,64m et donc tu prevoit ton joint de construction telque tu ne peut pas couler l'ensemble du batiment en une seule fois donc tu coulera la premiere partie du plancher et l'autre partie sera coulé après au moins 15 jours(joint de construction) et ensuite on verifiera l'ensemble monolitique de la dalle pouvant résister aux deformations retenues entre 15 jours et l'infini 5. et cette deformation E(retenus entre 15 jours et infini)=Ax DT avec A=coefficient de dilatation thermique du beton(A=0,00001/°C) et il est connu, et la deformation E se calculera selon EC2 3.1.4(6) et avec cela tu deduit directement le DT=E/A, qui va etre introduit sur le logiciel comme charge et ceci te donnera les armatures supplementaires à renforcer ta structure pour faire face à ce phenomene. le seul soucis serait comment calculer la deforamtion E (retenus entre t=15j et l'infini) voir EC2 3.1.4(6) et ceci tu verra tout les paramètres qui entre en jeu telque : -l'Humidité relative de la zone -la classe du beton -la section transversale de la dalle -la hauteur utile de la dalle -Tmax et Tmin telque j'avais parlé au debut et tant d'autres paramètres
  15. Bonjour si possible de completer les autres données telque 1. La longuer total du batiment 2. la zone geographique ou se situe le batiment 3. Gradient thermique de la zone 4. le nombre de niveau entre les 2 parties afin de se rassurer si c'est seulement un joint de dilatation ou aussi un joint de tassement(joint de rupture) d'abord ces données sont utiles avant de passer aux vrais sujets j'ai travaillé sur 2 projets pareils en supprimant les joint de dilatation en mettant plutot le joint sec(shrinkage joint) qui consiste a sectionner le plancher en 2 zones de telle sorte que la première zone est coulée et la deuxieme zone sera couler apres un temps t determiné calculer par l'étude du phenomene du retrait et au comportement de la structure
  16. Bonjour 1. à propos de la profondeur d'ancrage afin de reduire considerablement l'effet d'impact du batiment voisin; il serait souhiatable que ta profondeur d'ancrage sois plus que celui du batiment voisin et prevoir un mur en BA qui servira comme un ecran puisque la pression de ce batiment va agir comme une surcharge sur ce mur(voir calcul de mur de soutenement) 2. si tu me permet j'ai quelque recommandation concernant l'étude geotechnique -pour des études serieuses seul le penetrometre dynamique ne rassure pas sur la valeur de la contrainte admissible du sol , et donc il faudra associer cela avec les methodes de TERZAGHI,MEYEORF qui tient compte des caracteristiques du sol donc tu prend la meme profondeur d'ancrage que celui opté pour le penetrometre dynamique(Df), tu prelève l'echantillon du sol sur cette profondeur tu fais les essais labo en classifiant ce sol et en determinant d'autres parametre telque la cohesion, l'angle de frottement interne, le poids specifique etc ensuite tu determite la contrainte admissible du sol avec les formules de TERZAGHI qui depend de ces paramètres ensuite tu compare cette valeur avec celui du penetrometre et tu prend la valeur minimale entre les 2 -sur ton rapport dans le tableau de la valeur de cohesion,angle de frottement interne on a aucune indication sur la profondeur de prelevement, le Numéro de point de sondage -on parle de l'argile limoneuse et avec la presence de la nappe à -0.60m obligatoirement il faudra faire les essais de plasticité (limite d'ATTEBERG) afin de connaitre le comportement de ce sol face à l'eau et ceci pourra t'orienter s'il faudra mettre ta fondation sur ce sol ou s'il faut faire la purge et ou la substitution de ce sol -Pour la nappe phréatique (profondeur etc) il faut aussi quelques essais piezometriques pour determiner le niveau est statique et dynamique de la nappe mais aussi quelques essais chimiques sur le sol pour voir son agressivité et ceci aussi pourra t'orienter sur le type de ciment à utiliser et aussi les précautions à prendre sur ton mix design(composition) du beton En conclusion de ma part deja du point de vue geotechnique il ya des choses à éclaircir plus delicat que l'inuqiétude de la transmission des efforts du batiment du voisin qui peut etre resolus par un écran
  17. Bonjour je ne vois pas bien ton dessin, pour voir la longuer et la largeur de ta plaque mais à mon avis voici le principe 1. Verification de la contrainte(pression) dans la zone de contact platine-beton là tu as la contrainte qui vaut 1 Mpa=1N/mm²=(15250/15000mm²) la valeur que tu as et ça passera car cest trop faible à comparer avec la resistance du beton 2. Verification de l'épaisseur de la platine -la charge sollicitant la platine sera égale à la pressionx B avec B=largeur d'influence de la platine et la pression c'est 1Mpa(contrainte) donc on a CAS 1(ZONE D'UN SEUL BOULON) Platine de la zone dont on a un seul boulon ,si la largeur totale de la platine vaut A le cas le plus defavorable de la zone de ce boulon seul serait B=Largeur/2=A/2 donc la charge p sera pressionxB=1N/mm²xB et sur cette zone la platine se comporte comme une poutre encastrée au milieu sur le seul boulon donc on a 2 porte à faux de part et dautres de longuer 150mm/2=75mm et donc tu as un console de section transversale h=epaiseur de la plaque=20mm et larguer B chargé de p et ayant une longuer L de 75mm le moment sera pxL²/2 ainsi tu verifie ta contrainte avec C=(Mxv/I) tu as v et I qui est fonction de l'épaisseur et donc tu compare C avec ta resisrance d l'acier qui est de 235Mpa CAS 2(ZONE DE 2 BOULONS QUI SONT SUR LA MEME LIGNE) le meme principe la charge p=1N/mm²x B tu determine B de la meme manière telque expliqué en haut et ici la platine se comportera comme une poutre bi-appuyée sur ces 2 boulons et de longuer L=entredistance de ce deux boulons=150mm( les consoles etant trop faible : distance entre ces boulons et le bord de la plaque) ainsi tu as une poutre de section transversale h=e=epaisseur de la plaque =20mm et B ; le moment M=pxL²/8 tu calcul la contrainte dans la plaque de l'acier=C=(Mxv/I) tu as v et I qui est fonction de l'épaisseur et donc tu compare C avec ta resisrance d l'acier qui est de 235Mpa malgré tout cela et comme je ne vois pas bien tes dimensions mais telque je le vois ça passera vue l'épaisseur de la plaque
  18. ton dessin n'est pas tres visible, une vue en plan et une section serait interessante ; c'est à dire où on peut voir l'entredistance entre les boulons; la largeur et la longuer de la plaque (bien cotée) ,une vue en plan cotée de la plaque avec les distances entre boulon et entre le boulon et le bord. si on a tout ceci personnellement je peux donner mon point de vue
  19. ceci est votre point de vue, tu ne trouve pas que ce n'est pas le meme point de vue que FRIDJALI et les autres qui peut etre selon eux ils font reference au chainage bas qui est vers le sous basement et non qui se situe au pied de la semelle telque tu prétend et Revenons avec ton cas s'il est au niveau de la semelle ,au pied de la semelle en réalité il ne peut pas etre calculer puisque il est appuyé sur les semelles qui sont de point dur et d'autres part il s'appui sur le sol(appui elastique) et ce sol peut etre inégalement deformable et en plus les surcharges qui le sollicite sont variable de part et d'autres donc le calcul sera réel sera ilusoire donc à mon avis juste on peut le armer avec un feraillage moyen selon les normes et que les semelles (isolées) eux meme reprend toutes les actions du projet
  20. je suis d'accord avec toi mais je pense que il est prudent que l'auteur du post nous illustre une section de sa situation avec une vue en plan afin de comprendre le sujet et la terminologie a employé car si c'est une poutre ou longrine se trouvant au meme niveau que les semelles de fondations ses hypothèeses de calcul serait different si c'est un chainage bas c'est à dire au niveau de soubassement le cas (1) présenté et expliqué par le collegue ça aussi c'est une autre chose et que l'hypothèse (1) du collegue reste correcte si c'est une poutre et que en dessous c'est un vide sanitaire et qu'il supporte la plate forme donc c'est un plancher structurelle donc la dalle elle est autoportante cas (2) là à mon avais ce n'est pas une longrine mais plutot une poutre que on va specifié le niveau du plancher en disant par exemple poutre 1 du plancher (+00) ou -0,50 donc en conclusion pour éviter de faire de debat creux et parfois avec des paroles déplacer je pense que une section ou une vue en plan serait importante pour recadrer le debat. Il est prudent que l'auteur du post nous illustre une section de sa situation avec une vue en plan afin de comprendre le sujet et la terminologie a employé car si c'est une poutre ou longrine se trouvant au meme niveau que les semelles de fondations ses hypothèeses de calcul serait different si c'est un chainage bas c'est à dire au niveau de soubassement le cas (1) présenté et expliqué par le collegue FRIDJALI ça aussi c'est une autre chose et que l'hypothèse (1) du collegue reste correcte si c'est une poutre et que en dessous c'est un vide sanitaire et qu'il supporte la plate forme donc c'est un plancher structurelle donc la dalle elle est autoportante cas (2) presenté par le collegue FRIDJALI là à mon avais ce n'est pas une longrine mais plutot une poutre que on va specifié le niveau du plancher en disant par exemple poutre 1 du plancher (+00) ou -0,50 donc en conclusion pour éviter de faire de debat creux et parfois avec des paroles déplacer je pense que une section ou une vue en plan serait importante pour recadrer le debat. Mais aussi un conseil essayons d'etre élegant et tolerant car certaines paroles ne sont pas dignes d'un scientifique,intellectuel que nous sommes
  21. A mon avis la reaction du sol pourra etre négliger il n'est pas trop important il est interressant sur les semelles car a chaque action corespond a une réaction et donc les actions sur la semelle est importante d'ou la reaction du sol aussi et donc la longrine porte le mur mais attention il joue aussi le role de tirant surtout puisque le batiment soumis par des effforts horizontaux(vents, etc) et aussi vue que la longrine se situe dans la partie du portique inferieure avec la deformation et le deplacement de la structure il permet de solidariser la structure et donc il travaillera aussi comme un tirant(mais ceci depend de sollicitation soumis à l'ouvrage,hauteur du batiment etc)
  22. bonjour tout d'abord il serait mieux de faire la verification de l'équation de la fleche ,a partir de l'equation de la fleche tu fixe ta hauteur voulue H=40cm ainsi tu determine ta base correspondante qui peut etre aussi 70cm ou superieur à 70cm ou moins de 70cm mais une base compatible avec la deformation , et après tu procède au calcul de ta poutre normalement
  23. contraints suivant xx (sans charge thermique)=0 .11 MPa contraintes suivant yy (avec charge thermique) = 4.5MPa Bonjour tout depend de tes hypothèses et la demarche , Eurocode 2 precise la demarche de l'effet thermique , qui consiste à determner le DT en fonction de paramètres que j'avais cité ci-haut ainsi on va introduire la valeur de DT dans le logiciel deja une difference de 30 degré me parait trop( temperature de reference 20 degre et max 50 degre) ensuite aussi on ne voit pas les données liés a la classe du beton, type de ciment,humidité relative ,rayon moyen de la section transversale etc j'essaye de joindre une pièce jointe(capture d'écran) de cette demarche mais malheureusement ça ne marche pas peut etre que la marche à suivre ou les icones que j'utilise ce n'est pas cela si quelqu'un peut m'orienter
  24. Bonjour au préalable il faudra avoir certaines données telque le Gradien thermique de la zone ou l'ouvrage sera construit la classe du beton a utilisé le type du ciment l'humidité rélative de la zone ou l'ouvrage sera construit la localisation de l'endroit ou tu mettra ton shrinkage joint (joint sec) que tu vas venir remplir apres t jours avec tjours le temps fixé pour le calcul de la deformation
  25. en ayant d'abord les données du sol ,la descente des charges on pourra bien t'orienter mais deja par experience un batiment à usage normal avec l'espacement des poteaux classique faire les pieux à mon avis ne sera pas economique vu le cout d'éxécution,logistique etc , avec les données du sol on saura un peu plus mais sans oublier aussi il faudra se referer aussi aux recommandation de ton geotechicien sur le choix du type de fondation car c'est aussi sa responsabilité