scorpion

Avec ces efforts! tu devras vérifier toute les contraintes dans le béton et l'acier ainsi que les déplacements et surtout au niveau de la naissance de l'arc, tu auras des poussées très importantes qui seront reprises par les fondations, d’après le schéma, l'arc démarre directement de la fondation.tu as du pain sur la planche cher ami aitelhadj ! bon courage.

Cette poutre en arc sert elle de support de couverture uniquement ?

Essai de voir ça:Adets : Association technique pour le Développement de l’Emploi du Treillis Soudé

Pour les pannes en IPE120, la portée de 7500 est importante, voir la flèche sous charge (g+s) et je crois même la condition de résistance ne passera pas. pour le reste c'est à dire portique, je crois qu'il vaut mieux réduire les portées à 6000 c'est plutôt économique, c'est des portées habituelles pour les hangars en C.M

pouvez vous nous donner plus d'information concernant les hypothèses de votre projet( couverture, zone de neige, etc...) avec la pente de toiture.

Expertise d'un plancher vous voulez dire ? si c'est le cas vous n'avez qu'à suivre les étapes énoncées par AITELHADJ, c'est ça vérifie c'est bon sinon vous faite une étude de renforcement.

il faut voir NFP 94-500

il faut prendre une charge d'un coté et l'autre est nulle s'il s'agit d'une surcharge d'exploitation, vous aurez un moment et effort tranchant sur un coté.

Le calcul des voiles se fait découpage en bandes, après avoir calculer les contraintes de traction et de compression, vous déterminez la bande appelée d = min (h/2 ; 2/3 lc) h: hauteur d’étage, et lc la bande comprimée. sur cette bande d que vous aurez à calculer la contrainte moyenne de traction, en suite le ferraillage.

utilise section cut c'est plutôt mieux, vous aurez les les efforts réduits tel que moments, efforts normaux et tranchants ce qui vous faciliteras le calcul de ferraillage.

essayer de travailler avec section cut, c'est plus facile pour exploiter les efforts internes pour calcul de ferraillage des voiles.

s'il est plaqué sur les poteaux et poutres, considéré le comme une dalle appuie sur 4 cotés et prendre la continuité s'il y en a.

Quand le poteau est articulé, ça cause pas de problème, mais s'il est encastré et il est un élément de contreventement, il faudra songer à la reprise des moments de torsion sur la longrine (moments de flexion dans le sens perpendiculaire à la longrine).

Bien dit AITELHADJ vaut mieux consulter un géotechnicien et arrêter la profondeur d'ancrage avec le taux admissible à cette profondeur.

voir le DTR CBA 93 il vous donne la zone et les températures à prendre à défaut des prescriptions spéciales.

tu peux le faire, si t'as un poteau qui fait 5 m par exemple, tu prévois une longueur de scellement à ancrer dans le massif ou fût.c'est réalisable et sache que c'est un encastrement parfait.

Plutôt dire combien je vais ramener à l'entreprise sur un mois de travail, mon salaire est un pourcentage de ce montant c'est la ou on négocie.

passer au renforcement sans oublier de vérifier la stabilités des sections au déversement des semelles comprimées et le flambement.

Et si vous mettiez carrément le poteau dans le fût ça vous évite d'avoir des platines.

à assembler un ensemble d'elements en un groupe, exemple poteaux RDC.

Elles reprendront en fonction de leur rigidités respectives.

Cher ami, si le contrôleur vous demande de justifier une conception par une note de calcul c'est qu'il fait fait référence à un règlement qui l'exige et concernant le calcul à la température, le CBA est claire, si la longueur du bâtiment dépasse celle exigé par ce règlement, et si la conception de l'ouvrage ne permet pas de faire un joint pour une quelconque raison, l’ingénieur est tenu d'introduire le calcul à température, tout comme autre charge et l’ingénieur contrôleur a le droit d'exiger une justification au lieu de s'acharner sur les contrôleurs plutôt penser à le convaincre.

Par les lignes de ruptures.ou par des abaques.

essai de voir ce site : SteelBiz France - Le site portail de la construction métallique

au contraire s'il y un tapis, la semelle se considérée comme sur appui continu, mais là elle repose directement sur les colonnes rigides. je pense le faite que ça ne soit pas validé par le B.C ça pourrait prétendre à une confusion.