scorpion

Il y a la norme NF P 94-160

C'est différent des pieux, les colonnes représentent une assise pour les semelles tout comme les colonnes ballastées.pour avoir une bonne répartition des contraintes, il vaut mieux prévoir un matelas en matière pulvérulente d'une épaisseur en fonction des entre axes des colonnes.les semelles se dimensionnent comme des semelles ordinaires sur un sol de capacité qui se sera fourni par l'entreprise réalisatrice des colonnes.

Pour vérifier la stabilité d'une structure, il faut qu'il y une charge ou "action" qui provoquerai un déplacement,la stabilité en question est le pouvoir de la structure à résister à cette action sans se déplacer au delà de sa limite imposée par des règlements.maintenant si elle est au repos donc sans action chose qui n'existe pas car il y au moins son poids propre, il faudrait qu'elle soit au moins isostatique pour qu'elle puise se maintenir en équilibre, si c'est pas le cas ce qu'on appelle "mécanisme" la structure n'est pas stable même sans charge extérieur. c'est de la RDM.

Avec tout ces problèmes, liquification du sol en zone très sismique, pieux travaillant uniquement en frottement, je pense que votre problème sera résolu avec les colonnes ballastées du moment qu'il y a risque de liquifaction, le bon sol est très loin,pour le dimensionnement c'est à l'entreprise de le faire. d’après une récente étude qu'on a fait, il ressort que les CB sont moins coûteuses et plus rapide en exécution, donc notre choix est claire là dessus.

pour les radiers, je ne pense pas que c'est nécessaire.

pourquoi mettre un joint de retrait du moment que les dimension du radier sont faibles?

ici vous poser deux problèmes, l'eau et la bêche: pour la présence d'eau, ce qu'il y a lieu de vérifier est ce qu'il s'agit d'une nappe phréatique ou une venue d'eau d'une source, les deux cas se traitent différemment. pour la bêche comme ce qui a été dit plus haut, elle est nécessaire en cas du non respect au glissement au lieu d'augmenter la largeur de la semelle des fois on a recourt à mettre une bêche de préférence du coté amont du mur afin d'augmenter la butée.

Si les règlements n'imposent pas forcement les voiles ou autres système de contreventement autre que les portiques,il n' y pas lieu de se torturer l'esprit, car des fois en voulant mettre des voiles par exemple, la tache devient plus compliquée qu'avec les portiques, car la position des contreventement est à chercher judicieusement pour ne pas engendrer par exemple une torsion, et des fois ça peut compromettre les voeux de l'architecte ou du moins le maître de l'ouvrage.

vous dites que la semelle isolée est noyée dans la semelle filante, là franchement je vois aucun problème ! les poteaux sont portés par la semelle filante donc on parle plus de semelle isolée.

Pourquoi 01 mètre du profilé pour un seul tirant?

Vous appliqué la méthode RDM pour distribuer les efforts sur les pieux, à savoir la flexion composée et déviée si vous avez deux excentricités en plan.

En zone sismique, il est vivement déconseillé.

Beaucoup plus à la base,il est évident que l'effort tranchant et les moments sont importants à ce niveau.

Je pense qu'il faut d'abord nous définir le genre d'appui et les charges qui sollicite cette poutre.

je modélise les fondation sur etabs puis j'exporte sur safe.

Une question, justement sur safe, comment exporter un fichier etabs vers safe en ramenant les efforts aux pieds de poteaux, car quand je transfère, il me ramène juste les fondations mais pas les efforts.

En présence de nappe, je vous recommande les colonnes ballastées pour un double avantage, capacité portante et drainage.

le calcul est identique à celui d'un encastrement sur les semelles.

c'est pas du tout économique pour un réservoir de le concevoir pour résister au choc d'explosion!sinon il faut le délocaliser ou l'enterrer et prévoir des pompes pour refouler l'eau.

le appuis sont remplacés par des forces concentrées et des moments ramenées par les poteaux créant ainsi une réaction du sol. le calcul de la semelle sera comme une poutre en Té chargée par la réaction du sol et des efforts concentrés éventuellement des moments au niveau des poteaux, ici on applique la RDM tout cours.

Je crois en zone sismique la loi de dégression ne s'applique pas, on prend la surcharge d’exploitation en totalité.

Pour l'ancrage des semelles s1 et s2, il faut les mettre sur le bon sol. Utilise des longrines au niveau 0.00 pour les relier à la structure en respectant la règle de 1.20m de la sous face de la semelle à la sous face de la longrine.(RPA99V2003)

d'apres le dessin il s'agit d'un angle de portique de rive encastrement poteau-arbaletrier avec jarret en partie inferieur.peut on avoir plus de détail sur la structure ?

Les pressions calculées avec EC1 sont les plus defavorables.la notion vent normal et extreme a disparu dans l'eurocode, il y a la notion des états limites qui remplacent ça. Le probleme que je rencontre dans EC1 c'est les Cpi qui prennent des valeurs +0.8 et -0.5 dans les cas extremes, donc le terme(Cpe-Cpi) a augmenté par rapport à l'ancien reglement ce qui augmente la pression du vent, il y a aussi la repartition des pressions dans les arbaletriers pas aussi commode pour le calcul manuel

D'apres le schema, il s'agit d'une sablière encastrée sur le poteau en HEB300,donc les efforts sollicitant l'assemblage sont, le moment, effort tranchant et effort normal.je remarque que vous avez renforcé par deux boulons à l'exterieur partie basse de la platine, peut on savoir pourquoi? une sablière dans les hangars est reputée à transmettre des efforts normaux dûs au vent ou seisme cas echéant,à moins que si elle participe au contreventement(cas des portiques autostables).en tout c'est à confirmer .