scorpion

Voir votre rapport de sol, on ne peut pas vous répondre sans aucun argument justifiable, la question que je pose, quel est l'ordre des tassements, avec ou sans roche, il s'agit de l'argile, et la roche est surmonter par cette couche d'argile, si vous exercer une pression sur cette roche qui est rigide, elle va tasser mais de combien? donc la solution est dans votre rapport de sol. bonne chance

Vous dite que la couche d'argile est compressible, et qu'une semelle se posant sur une roche de 2 m d’épaisseur, à mon avis, si on exerce une charge sur cette roche, logiquement elle va tasser, mais la question est de combien ? comme il s'agit d'une culée de pont j'imagine l'importance des charges transmises au fondation, je pense qu'il faut éviter cette roche, et fonder sur pieux.ça reste mon avis personnel bonne chance

Si, l’ingénieur est le seul responsable quand à la détermination du taux de travail du sol, de toute façon en Algérie c'est le cas, et le labo n'est jamais responsable de cette donnée, par contre il sera responsable vis à vis de ces essais.et en plus il n'est pas sensé de connaitre le type de structure ou la descente de charges. L’ingénieur recommande au labo les types d'essais à faire dans le cahier de charge en fonction de son ouvrage et le nombre.le labo lui fournira les résultats de essais demandé, quand à l’interprétation, l’ingénieur est le seul responsable. PS:On ne laisse pas le labo à son propre initiative de procéder à tel ou tel essai.pour les calculs de la portance il y a des DTR en vigueur qui donnent des méthodes de calcul, je ne vois pas pourquoi l’ingénieur structure ne peut les utiliser pour en déterminer la portance, c'est de la MDS tout comme la RDM .

Oui malheureusement, c'est à l’ingénieur de déterminer la contrainte que ça soit pour une fondation superficielle ou profonde, je précise le labo fait les essais, il donnes des chiffres ou des graphes, c'est à l’ingénieur structure d'en déduire la capacité en fonction de la profondeur.

Là j'apporte une précision labo effectue ces investigations in situ et élabore un rapport ou il donne toute les informations de ces essais, l’ingénieur du bet doit savoir interpréter et en déduire les paramètres pour calculer la contrainte admissible du sol et éventuellement les tassement en se servant des règlements en vigueur. et j'apporte aussi une information toujours le labo signe son document et précise qu'il n'est pas habilité de jouer le rôle du BET.je pense que c'est claire et logique. quand à l’ingénieur du ctc, il est tenu de vérifier les paramètres de calcul dans le rapport du sol.

Si la couche de l'argile est compressible, y a risque de tassement, à verifer dans le rapport de sol.

tant que ça, c'est la galère, ici chez c'est pire,si on fait la conversion ça vaut pas la peine de le chiffrer.

Le laboratoire du sol n'est pas habilité à fixer la contrainte admissible du sol, c'est au bet de la déterminer, en fonction de l'importance son projet.

Bonjour, moi je me pose une question est ce que c'est interdit d'avoir une resistance de 470 bars pour un elements fondamental qui va recevoir l'ensemble du batiment et en plus le sol est agressif ! le rpa limite la rsistance pour les elements de contreventements,en aucun cas il cite l'infrastructure.maintenant la question de savoir est ce que l'entreprise a triché ou pas, je crois qu'on est pas des gendarmes à surveiller constament les entreprises,d'autant qu'elles sont à 100% responsables de leur béton.

Il faut acheter autodesk structure detailing !!!!

Tout dépend de la taille de votre projet, 10t d'aciers pour un petit projet, je pense que là c'est un peu trop donc en général le coût est situé dans une fourchette de +/- 5% entre la phase APD et la phase d’exécution.

Le radier est imposable du faite que même avec des semelles filantes vous aurai quelque chose de 80% de surface occupée :0.96/1.2=0.8, le risque de chevauchement des contraintes au sol est claire, c'est à écarter en toute logique il vous faut un radier général.

Principe fondamentale de la RDM une charge excentrée engendre toujours un moment qui est égal à l'effort appliqué par l'excentricité

pouvez vous nous schématiser votre problème avec des vues en plans et quelques schémas?

vraiment confus!!!!!

Pour une question de pratique il vaut mieux séparer les blocs même en fondations, car couler un seul radier pour deux blocs c 'est énorme et compliqué, pour répondre à votre question, le centre de gravit des charges sera du coté du bloc le plus chargé, donc des moments importants ce qui pénalise le poinçonnement du sol( des contraintes additionnelles).

si tu modélise la cage d'escalier, forcement il y a un vide le logiciel tient compte.

si tu travaille avec etabs, tu déclare tous les noeuds aboutissants au plancher y compris ceux de la cage d'escalier comme diaphragme

c'est un vocabulaire à l’ingénieur algérien pour répondre à cette je dirai qu'il faut éviter à tout prix ces amorces, ça crée des poteaux courts, il vaut mieux placer des longrines en tête de semelles pour reprendre les efforts ramenés par les poteaux, laisser la semelle reprendre uniquement les efforts verticaux, e en plus pour uniformiser les déplacements des semelles.

Moi je te propose de rigidifier la cage d'escalier avec un noyau en béton, du moment vous avez la symétrie

pouvez vous nous donnez une vue en plan pour mieux voir

essai de voir Adets : Association technique pour le Développement de l’Emploi du Treillis Soudé

Consulte Le CBA ou Le BAEL

Pour le calcul des forces horizontales, je pense que les efforts dus au vent sont déterminants, et le déplacement en tête du portique ne doit as dépasser 1/150

Donnez nous plus d'informations svp, le règlement est le BPEL