scorpion

Les moments à la base du radier sont importants ! je comprend par là que la résultante est loin du centre de gravité du radier ou bien il y a erreur.

Ok j'essaierai demain de vous envoyer un mail.

Essai de le joindre sur ce site en le scannant pour que les autres en profitent.

Si c'est un tassement uniforme, pas de problèmes, il faut craindre les tassements différentiels qui sont de l'ordre L/500, L est la dimension du radier. Veuillez nous transmettre les données géotechniques établies dans le rapport de sol et votre descente de charge, on verra .

Sans avoir connaissance du rapport de sol, avec un ancrage de 7 m de profondeur dans une matrice argileuse, la contrainte admissible dépassera largement les 1.50 bars préconisée, avec un peu de calcul , la densité du sol est 1.8 t/m3 , D= 7.00 m ce qui donne déjà 12.6 t/m²soit 1.26 bars rien qu'avec le poids des terres à évacuer. cela ajouter les termes de pointes, vous aurez largement les 02 bars. Essai de recalculer la contrainte admissible avec les données fournies par le laboratoire.

Je pense que les essais PDL ne reflètent pas la réalité du terrain, il faut demander d'autre essais comme pénétromètre statique ou pressiomètre.Si ça confirme, il faudra passer au fondations profondes.

Il suffit de prendre en compte toute les sollicitations possibles, puis si le dimensionnement est exagéré, on prévoit une longrine de redressement afin de soulager la semelle.

cela revient à dimensionner une semelle avec un moment, diagramme trapézoïdale ou triangulaire des contraintes.

Il faut se référer à l'article 4.2.3 du RPA99 V 2003

Le problème vient u plancher lui même, pour résoudre votre problème, il faut enlever les revêtement et les supports, pour le carrelage, vous pouvez l'enlever sans l'endommager pour pouvoir le remettre par la suite, et procéder comme le l'ai dis la haut.

Je pense qu'il s'agit des planchers en voûtains, pas de présence du béton, la il faut décaper la totalité du plancher et concevoir en plancher collaborant, bien sur il faut vérifier les solives avec les nouvelles charges permanentes.

Vous surdimensionner la semelle.

Pour 1/ l'épaisseur du talon dépend de la portée de celle ci, en première approximation on peut prendre L/10 dans votre cas 70/10=7 cm, mais les contraintes ru'on adopte une épaisseur qui vérifie les contraintes admissibles dans le béton et l'acier, je pense que 20 cm c'est justifié. Pour 2/ je pense que le panneau étudié est en extrémité ou il y a absence du contrefort , mais en principe l'étude de la semelle coté remblais ou patin est appuyée par 04 appuis, le sens porteur dépend des dimensions en plan des appuis(cela revient à étudier une dalle sur 04 appuis)

La différence est que la semelle repose sur 4 appuis? L'épaisseur sera réduite, maintenant il reste à vérifier les contraintes dans les aciers et le béton pour une épaisseur de H/24. à mon avis c'est suffisant.

oui, car la semelle doit être raidie au droit du tirant, en tête le voile c'est idem

Pour ancrer les aciers, il faut prévoir une bêche en bas et une poutre de couronnement en tête, la longueur d'ancrage est de 50*D ou bien avec crochets(D est le diamètre des aciers)

Un dessin pour mieux illustrer votre problème pour comprendre en premier lieux ! ainsi que la structure de votre bâtiment.

C'est pas un petit moteur qui va faire cette différence,pouvez vous nous donner les valeurs d'efforts sur ces poteaux te notamment sur les poutres qui prennent appui sur les poteaux.

Il n’y aucun article pour ça, si ça nécessite un ferraillage aussi important, il faut le mettre, mais ma question pourquoi cette différence surtout au dernier niveau ?

Moi je dirai ou est le problème ? cette différence est due à quoi?

La poutre est déjà réalisée, est ce que vous constaté une flèche ? et pour répondre, il faut des plans de coffrage, ferraillage et les hypothèses de charges et les matériaux utilisés.

Ou est le problème ?

à ELS, il faut prendre 3, à ELU c'est 2. maintenant, les résistances données par le géotechnicien concernent le le Rd donc il faut d'abord diviser par 5, 6 ou 7 selon le sol pour avoir le Rp(résistance à la pointe) , puis choisir le coefficient de sécurité selon ELU ou ELS (2 ou 3).

La il parle du principe de régularité, si elle n'est pas remplie, on parle d'une structure irrégulière, donc la méthode de calcul dite statique ne peut pas être utilisée.

Expliquer, si un document est interprété juste, sinon il y a rien à justifier, si réserve y a il doit justifier par l'article concernant les assemblages des pieds de poteaux, par contre ceux du RPA, il s'agit des assemblages de superstructure type poteaux-poutres faisant partis des contreventements, si la structure est contreventée par un système autre que portiques, les assemblages peuvent être (souples ) articulés la on utilise des boulons ordinaires sont précontraintes allant de 4.6 à 10.9.