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FRIDJALI

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Tout publié par FRIDJALI

  1. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    bonjour, dans ton schéma on voit surtout la forme de l'ouvrage à bétonner. en ce qui concerne le coffrage, sache qu'un coffrage est constitué de plusieurs éléments qui sont: la peau coffrante : elle définit la forme de l'ouvrage une structure : pour raidir la peau et empêcher sa déformation une ossature pour éviter le déplacement de l'ensemble. parfois un mème élément peut jouer deux rôles. donc tu vois qu'en fait le coffrage va se comporter comme un plancher qui va recevoir la poussée du béton. cette dernière est une poussée analogue à une poussée hydrostatique sauf qu'à cause de la viscosité du béton frais elle sera différente.cette poussée varie avec l temps de coulage et aussi avec l'ouvrabilité du béton (affaissement au cône). il y a beaucoup d'ouvrages qui traitent du calcul des coffrages.si j'en retrouve un je le mettrais en ligne. j'espère avoir été utile. Salutations
  2. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    bonjour, la première question qui se pose: la semelle est elle sous mur ou sous une file de poteaux? N est en fait Nu de la descente de charge calculé sous G et sous Q en faisant la combinaison Nu= 1.35 G+ 1.5 Q la surface de la semelle devrait donc etre telle que la contrainte transmise au sol soit inférieure à a contrainte admissible de ce dernier (sigma =< sigma sol.)
  3. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    bonjour, MERCI BEAUCOUP POUR CE DOCUMENT
  4. bonjour, le ferraillage dépendra du schéma statique de ton escalier. pour l'escalier représenté il y a divers schémas statiques possibles en fonction de la position des appuis de chaque volée.et de la position des poutres palières. il est donc nécessaire de connaitre ses appuis pour pouvoir t'aider.
  5. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    bonjour, personnellement , je pencherais vers la solution dalle appuyée sur les quatre cotés.(encore faudrait-il vérifier le rapport Lx/Ly). cependant, dans ce cas ceux sont les deux "chaînages" de 2.85 m qui deviennent deux poutres en porte à faux i.e des consoles. comme l'a déjà dit Bizudi Bazola les charges que supportent chaque poutre sont représentées par les réaction d'appui de la dalle sur chaque élément. et comme l'a dit ucefelmir il faudrait aussi penser à limiter la torsion sur la poutre reliant les deux poteaux en mettant en place un contrepoids. OuAllah Oua3llam
  6. BONJOUR si j'ai bien compris votre acquisition est de plain pied donc en RDC et vous parlez de plancher en béton et en mème temps de charpente. s'il y a charpente il faudra la déposer proprement afin de la remonter à le hauteur voulue. ensuite vous procédez à la démolition de votre dalle en BA ( vous ne précisez pas quel type de plancher c'est. En tout état de cause s'il y une structure en BA (poteaux et chaînage) le chaînage partira certainement à la démolition ; quant aux poteaux il faudra ensuite démolir le béton sur une certaine hauteur afin d'assurer le recouvrement minimum des aciers pour pouvoir allonger votre hauteur sous plafond. Après démolition du plancher vous allonger vos poteaux à le côte voulue; vous faites un nouveau chaînage et vous réalisez votre couverture.
  7. J'ajouterai à ce qu'a dit notre ami abdeslam-brahim que le tuf est en fait un matériau souvent très fin utilisé en structure de route mais qu'en général il est sensible à l'eau. donc à utiliser dans les zones arides en prenant la précaution d'étancher la route quant à son utilisation dans le nord il est impératif de procéder à des essais tels que les limites d'Attergerg ou la valeur au bleu. je voudrais aussi signaler que ce qui est communément appelé Tuf à Alger (ravin de la femme sauvage) est en fait une molasse. le TVO est bien sur un mélange de galets et de sable provenant des oueds, utilisé aussi en technique routière surtout pour les couches de fondation (souvent il faut procéder à un écrêtage pour éliminer les gros éléments) dans le cas contraire ces éléments seront chassés par la niveleuse, lors des différentes manœuvres de malaxage, vers l'extérieur de la chaussée. pour des raisons de préservation de l'environnement et dans le but de ne pas bouleverser le gabarit de l'oued l'extraction du TVO est strictement réglementée.
  8. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Discussions générales
    SALUT effectivement les portées dans les mosquées sont importantes et les poteaux très hauts. cependant pour des raisons architecturales la section des poteaux est relativement importante. de ce fait le problème de flambement se pose rarement et d'un autre coté nous aurons selon le cas soit une poutre de grande hauteur ( de l'ordre de 0.8 à 1.00m) soit une liaison par un arc. en matière de modélisation: si nous avons une poutre droite et un remplissage en maçonnerie ( solution à éviter car risque de détachement de cette maçonnerie en cas de séisme mème mineur) la modélisation se fera en portique droit sans tenir compte de la maçonnerie si se n'est qu'en charge supplémentaire à appliquer à la poutre. en cas d'arc en BA la modélisation se fera donc avec un arc-d'ailleurs cet arc est souvent surdimensionné toujours pour des raisons d'harmonie et d'esthétique.-son ferraillage calculé sera certainement infime et il faudra surtout s’assurer de la disposition pratique des armatures. ouAllah oua3lam
  9. SALUT Avant de juger de la position des poutres de redressement il faudrait auparavant examiner le semelles et la façon dont elles ont été combinées. d'un autre coté le système de fondation de voiles n'est pas bien indiqué. en fait si la fondation de certains voiles, ceux qui apparaissent dans le sens vertical sur le schèma, est solidaire de la semelle excentrée qui leur fait face, et si le voile est porteur l'excentricité va diminuer de façon significative. pour ce qui est du ferraillage il semblerait que la nappe supérieure soit vraiment sur-ferraillée.(12 T16 !!) de mème que la nappe inférieure. quant au dimensionnement du coffrage, en général ce genre de poutre est pourvu d'une grande hauteur et repose au mème niveau que la semelle elle-mème. oua Allah oualam.
  10. Bonjour 2000 m3 de béton pour un radier ça doit faire au moins 3 ou 4000 m² de surface de fondation. de ce fait il y a certainement de joints de dilatation pour cet édifice. a mon humble avis il faudrait remplacer certains joints de dilatation par des joints de rupture et faire des arrêts de béton au niveau de ces joints.ouAllah oua3lame.
  11. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    BONJOUR près de 3000 m² de dallage c'est important et ça se traite en plusieurs jours en fonction du matériel disponible: production de béton, moyen de mise en oeuvre essentiellement le talochage. pour une réalisation de l'ordre de 400 à 500 m² jour il faudra prévoir bien sur le nombre de m3 de béton (chose facile lorsqu'il est produit en centrale. - les outils de mise en oeuvre, surtout un laser de nivellement et des taloches mécaniques (hélicoptères). selon l'état de surface désiré le traitement sera un lissage à la truelle mécanique après incorporation d'un durcisseur de surface.soit un striage après application du durcisseur de surface.( ce striage sera exécuté avec un ballai dur dit ballai cantonnier. en tout état de cause il sera répandu sur cette couche un produit de cure appliqué au vaporisateur agricole ( celui utilisé pour répandre les insecticides ou le sulfate de cuivre sur la vigne). en ce qui concerne les joints, ces joints seront des joints de surface pratique à la scie à béton et rempli soit par un joint plastique -utilisation intérieure, soit par un produit bitumineux - utilisation externe- les reprises de béton se feront de préférence au niveau d'un futur joint et le béton durci sera coupé en surface à la scie à béton.A l'endroit de ce trait de coupe il sera appliqué un produit de collage type Sika latex.(ce dernier pourrait être aussi mélangé à la première gâchée de béton de la reprise. j'espère vous avoir fourni un max de renseignements. A+
  12. Salem Alikoum pour commencer je tiens à préciser que les latérites étant absentes sous notre climat je n'ai jamais eu affaire à ce matériau. cependant au regard de la granulo on note que ce matériau est constitué essentiellement de fines. ( entre 50 et 70 % de passants à 80 microns) par contre les limites d'Atterberg donnent un sol peu plastique (difficilement explicable au regard du pourcentage de fines. si vous devez utiliser ce matériau pour la confection de BTC il faudrait absolument revenir au pourcentage de fines préconisé soit entre 15 et 30 %. pour ce faire il faudrait soit augmenter le squelette par adjonction d'un sable si disponible soit réduire le volume et donc le poids des fines par tamisage ( solution peu pratique car il faudrait des tamis de 0.1 ou 0.08 mm , peu courants et qui se bourrent trop vite. quant à la différence entre argile et latérite il faut noter que la latérite est un matériau typique de part sa formation ( altération d'une roche mère spécifique sous un climat spécifique) et dans laquelle on retrouve donc un certain squelette e qui donne un matériau pulvérulent alors que l'argile est un matériau cohérent très fin. ouallah ou a3lam
  13. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    A mon avis le problème de la charge surfacique ne se pose pas puisque votre réservoir a un capacité connue et des dimensions connues. par contre en cas de séisme vous avez deux problèmes: - il faut absolument arrimer votre réservoir à la structure pour qu'en cas de séisme, il ne soit pas projeté à terre. - le fait que se soit un réservoir vous avez un autre problème qui est le comportement " appelé carène liquide."
  14. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    A mon avis le problème de la charge surfacique ne se pose pas puisque votre réservoir a un capacité connue et des dimensions connues. par contre en cas de séisme vous avez deux problèmes: - il faut absolument arrimer votre réservoir à la structure pour qu'en cas de séisme, il ne soit pas projeté à terre. - le fait que se soit un réservoir vous avez un autre problème qui est le comportement " appelé carène liquide."
  15. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Chantier et Réalisation
    SALAM ALILOUM en ce qui concerne les bitumes vous pourriez déjà faire un tour sur le site www.cours-génie-civil.com dans la rubrique routes / enrobés vous avez une bonne présentation de produits servant à la construction de routes.vous pourriez aussi lire l'article proposé en bas de cette page " le bitume: histoire d'un matériau routier.
  16. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Chantier et Réalisation
    Afin de pouvoir te répondre utilement il serait bon que tu nous donnes une liste exhaustive des matériaux utilisés dans ton projet.
  17. ci-joint la norme p-18-011 bonne reception
  18. FRIDJALI a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    la question du compactage à sec a été évoquée dans les années 70 à l'occasion de la réalisation de la route transsaharienne. le problème posé été alors comment réaliser une route traditionnelle alors que pour tout le tronçon qui va de Arak à 200 km au sud de Tamanrasset il y avait même pas assez d'eau pour faire boire les personnes affectées à la réalisation de la route -- ceci Etant du au caractère géologique de la région - zone de formation métamorphique suivi par le socle primaire au alentours de Tam et au manque de précipitation pour alimenter les inferoflux des oueds. j'ai eu moi même à travailler sur ce sujet et à étudier le compactage des arènes granitiques (principaux matériaux de la région) en absence d'eau. le travail se faisait dans les moules Proctor sur table vibrante. l'énergie de compactage étant directement liée au temps de vibration. deux conclusions ont pu être tirées. l'une très favorable puisque la densité sèche était supérieure à celle obtenue par un compactage conventionnel (essai Proctor) la deuxième qui posait de gros problème: le fait que la partie supérieure de l'échantillon restait décompressée. nous avions envisagé de compacter une épaisseur plus grande et de procéder par raclage mais nous avons été déçus puisque chaque fois qu'on procédait à un raclage la couche directement inférieure se décompressait à son tour. plusieurs solutions avaient été évoquées à l'époque ( cloutage -épandage d'un matériau assurant la cohésion en surface etc.. mais aucune n’était réalisable à l’échelle du chantier. en définitive, la route a été réalisée sur se tronçon dans les techniques traditionnelles en transportant de l'eau sur des centaines de Km ce qui a eu pour effet d'avoir une route mal compactée par économie d'eau et ce tronçon s'est dégradé plus rapidement que le premier tronçon réalisé pour lequel l'eau se trouvait en abondance et le matériaux étaient parfaits (courbe granulo de matériaux naturelle inscrite dans le fuseau de référence des graves 0/31.5)