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Simo Nouusair a commencé à suivre wassimfeki
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Stabilité Fondations
pour une argile Normalement consolidé, on peut prendre C=0kPa monsieur. Faisant avec les données. Etude: - calculer la capacité portante du sol (semelle isolée) pour éviter les modes de repture (poinconnement et basculement); - évaluer le tassement; - vérifier la tassement admissible(<5cm pour ce cas ou sauf indication contraire); - faire un essai de teneur en sulfate et agent agressif; - étudier le cas du poteau chargé et le cas du poteau non chargé et prendre une enveloppe; N.B: semelle soumise à effort axial centré plus un couple moment. Excécution: - stabilité latérale de la fouille (poussé de terre) contrainte horizontale = contrainte vertical * ka * poids propre du sol: méthode de Rankine (Sol rectiligne horizontale et isotrope) * surcharge due à l'eau: si l'eau est stable, on ajoute la pression de l'eau. Si il est en mvt, on doit tenir compte dans le calcul de la poussée des efforts générés par le gradiant hydraulique. N.B: les travaux de tel type d'ouvrage doivent être mener à bien et rigoureusement pour ne pas perturbé les CF.
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Construire sur un sol en présence de nappe phréatique
Salam a tous, Bien sûr qu'on peut construire sur un sol en présence de nappe phréatique Abdallah. Dans tout projet, il faut bien mener une étude géotechnique, qui peut être par la suite compléter par une compagne géotechnique complémentaire ciblée. D'après les données que tu a présenté, il faut bien être précis sur la surface de ton projet et le nombre et le type des essais effectués, la litho stratigraphie, et les caractéristiques mécaniques des différentes couches. Donc, si tu peux nous fournir plus de renseignement à ce sujet. Suite à la présence d'eau, il faut faire attention: - à bien connaitre le débit de cette nappe phréatique et quelle type d'équipement nécessite pour la rabattre (si ça s'avère nécessaire); - veiller à ce qu'on ne dépasse pas le gradiant hydraulique critique (en cours et après construction de l'ouvrage) pour assurer la stabilité du béton coulé et du massif de sol en place à long terme sans création de cavité; - faire une étancheité de la partie de l'ouvrage en contact du sol (ne pas transformer, d'après, le sous sol en bassin ou le rendre inaccessible comme si le cas pour certains ouvrages en quelque pays du monde); - vérifier la stabilité à court et à long terme de ta fondation; - il faut mieux pousser la compagne géotechnique par un essai de Pénétromètre statique avec mesure de la pression interstitielle poussé à 20m; - au refus mécanique irronée des essais SPT ou PD suite à la rencontre des niveaux d'eaux (on confend le refus mécanique de ces essais généralement suite à la rencontre de la nappe--> c'est un signal de la présence d'eau à ce niveau et non pas d'une bonne résistance mécanique); - porter une grande attention au retrait et au gonflement, mais ton sol ne présente aucun risque de gonflement si tu nous ne donne pas la litho stratigraphie. Ta question touche le géotechnicen qui doit bien savoir recommander et interpréter les essais géotechniques nécessaires, bien que l'entrepreneur qui est sensé d'être bien équipé techniquement et technologiquement pour exécuter l'oeuvre. Alors si tu peux cibler plus ta question, avec des détails litho stratigraphique et mécanique, ca sera bien qu'on avance. et bonne chance.
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proctor ou proctor modifié tel est la queston ???
* Choix de l'énergie: Un essai de compactage est dit proctor normal lorsqu'on utilise une énergie normal, proctor modifiée lorsqu'on utilise une énergie modifiée. Dans les deux opérations on a diminuer l'indice de vide. Si tu cherche à le diminuer au maximum (forte charge, ou tassement est question prépondérante dans ton projet) tu a intérêt à utiliser une énergie modifié. Dans le cas contraire, si le sol tasse d'une manière faible ou forte ne présente pas de problème vis à vis la stabilité de votre ouvrage, pourquoi alors gaspillé de l'argent pour le compacter? * Essai proctor Modifié Le moule proctor (10cm de hauteur) est utilisé avec l'énergie modifié (5couche avec 25coups/couche) que dans le cas où Dmax<5mm (granularité du matériaux) et si vous n'envisager pas de faire un essai CBR ou IPI par la suite. Une couche doit épouser dans ces conditions 2cm de hauteur. NF P94-093 * Densité d'un TV Un TV de coupure 0/D, varie de densité selon sa granularité. La ?d de l'optimum proctor varie de OPN ou OPM. Je possède pas un ordre de grandeur (>1,9t/m3), mais il faut savoir que la norme exige une correction sur les caractéristiques optimums (wop et ?op) selon le pourcentage des élèments >20mm. La densité elle varie bien avec la granulométrie et avec la coupure en fait et la nature du sol. N.B: on ne peux pas introduire lors de l'essai Proctor des élèments >20mm ---> d'où nécessité de la correction pour tenir compte de la fraction totale réelle du sol. * Essai CBR Pour dimensionner le corps de chaussée d'une route, on aura besoin de la classe du sol support. La capacité portante du sol (naturel ou après compactage) dépend de l'influence climatique (présence d'eau ou non). Le CBR (California Bearing Ratio) est un pourcentage de la capacité portante du sol par rapport à un sol référence (California USA). L'indice CBR est une moyenne entre indice CBRi (immédiat ou sec= mois sec) et indice CBRh (humide ou après immersion=mois humide). On définit ainsi un indice de la capacité portante du sol non pas seulement dans les mois sec (généralement fort) mais aussi on tient que compte de la chutte de cette capacité mécanique lors la présence d'eau (mois humide). D'une façon générale, on doit tenir compte de l'état hydrique. Au laboratoire, on est amené à effectuer les essais CBRi et CBRh pour en déduire CBR (pour le dimensionnement). Mais ca n'empêche de décider d'effectuer un seul essai CBR mais dans quel condition hydrique et pour quel but, c'est à l'ingénieur de le justifier selon son besoin. Un essai CBR (sec ou humide) est le fait de poinconner un sol confectionner dans une moule CBR dans des caractéristiques physiques (teneur en eau et masse volumique désiré) de choix (Optimum proctor ou de nature) avec un piston de section standard. Voir la norme NFP94-078. Je vous invite à se référer à la Norme AFNOR pour le mode opératoire. La compréhension de l'utilité et le principe de chaque essai, est primordiale pour un lab-man. J'espère que j'ai répondu à vos questions. De commentaire?
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Calcul des tassements
DTU 13.12: règles pour le calcul des fondations superficielles des ouvrages de bâtiments 1. Il faut toujours prendre compte de si. C'est réglementer, non négligeable et il faut pas oublier que le tassement instantané se produit lors du chargement, avant que ne se produisent les tassements de consolidation et il est dû à la déformation élastique de la structure du sol. La solution de ce problème repose sur une méthode préconisée par Skempton. Le tassement total est la somme du tassement instantané et du tassement de consolidation. Le tassement instantané moyen d'un mileu élastique situé sous une zone chargée de largeur B est donné par l'expression: s=Is.q.B(1-mu²)/E 2. Le coefficient de poisson est déterminer soit au laboratoire (chose délicate) ou peut être pris pour les argiles saturées 0,5. Le module de Young doit être pris au module de Young de ce sol sous cette charge. 3. Pour le calcul du tassement de consolidation, on aura recours à l'essai de consolidation par chargement par palier essai de compressibilité à l'oedomètre. On remarque que la courbe de la déformé n'est pas linéaire, parabolique non plus. On adopte alors la loi de comportement du sol, pour simplifier le problème, comme suit: - un premier comportement gouverner par la droite Cs; - un deuxième comportement gouverner par la droite Cc. L'intersection de ces deux droites nous donne le point de contrainte dite : contrainte de préconsolidation (mémoriser dans le sol et appeler par un cycle de déchargement-rechargement). Selon le type du sol, on doit se situer par rapport à ces deux comportement pour connaitre notre charge (état initial) elle est où dans cette loi, et que notre sol quel charge va subir (état final). Il faut donc, définir deux points. Le point de départ et le point d'arriver. Le point de départ consiste par la logique des chose à segma' v0. Le point d'arriver consiste à l'état final (segma'v0 + supplément de contrainte). * sol sous consolidé : ce sol n'a pas encore terminer sa formation (géologique). Il est médiocre. Conseille: ne pas l'utiliser comme sol support de fondation. Mais son tassement si tu tiens à le savoir est régie par la droite Cc. * sol normalement consolidé: on se situe exactement au point d'intersection des deux droites Cs et Cc. La loi de comportement de ce sol est régie par Cc (chargement). * sol sur consolidé: on doit passer par Cs et après Cc si l'état final dépasse sema'p. Comme on doit passer par seulement Cs dans le cas contraire. e0 : indice de vide de l'état initial. Je pense que tu ne connais rien en géotechnique. ahahahahahahahahah 4. Le tassement secondaire peut être effectivement déterminer en laissant au sol un temps plus vaste (7j au lieu de 24h) pour dévoiler ce tassement. Cas des vases il ne faut pas négligé ce tassement. Pour plus de détail, je peux mettre à votre disposition la méthode (4pages). 5. Pour cette question, je vous demande de l'éclaircissement.... Je ne me souviens pas de ce coefficient.. Mais où on doit l'utiliser plus précisément? Les applications numériques seront à vous de les établir avec ce que tu viens de retenir.. J'espère qu'on a répondu à vos questions.
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Logiciel de mécanique des solides
Je vous remercie pour votre effort ! Bien que "la calculette" soit trop chouette pour un ingénieur, mais les logiciels ne reflètent pas à 100% le titre du sujet. Merci.
wassimfeki
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