GUISSET

Bonjour, Les deux modélisations sont possibles et se valent mais la première est plus difficile à mettre en oeuvre car vous avez des barres avec des sections importantes et les déplacements relatifs des sections communes doivent être neutralisés par des liaisons rigides... Il vaut peut être mieux, pour éviter les complications, garder votre 2° modélisation surtout si elle plus stable avec Robot. quelles sont les formules de votre calcul manuel ? cela n' est pas forcément anormal, augmentez le nombre de modes ou bien utilisez le mode résiduel. Salutations

Bonjour, désolé mais NON exemple simple : hauteur d eau = hauteur de terre = 3.00 m cas 1 : poussée terres + surcharges hypothèses : masse vol terres = 1.8 T/m3, surcharge = 0.5 T/m² et coef de poussée = 0.33 moment à la base : M1 = 0.33x1.8x3x3²/6 + 0.33*0.5*3²/2 = 3.42 Tm/m cas 2 : poussée de l' eau hypothèses : masse vol eau = 1.00 T/m3 moment à la base : M2 = 1x3x3²/6 = 4.5 Tm/m M2 >> M1 , de plus de 30 % donc si vous ferraillez la face intérieure avec les efforts du cas 1, vous n' êtes pas dans le sens de la sécurité, votre réservoir va fuir !! Il faut vérifier 2 cas distincts : plein d eau et sans poussée de terres vide et poussée terres + surcharges Salutations

Bonjour, Quelles normes de calcul utilisez vous ? Salutations

Bonjour, pouvez vous nous dire la provenance de cette méthode et son aspect réglementaire ? êtes vous sur que cela permette d' analyser l' aspect "dynamique" du vent (question posée) ? Merci et salutations

bonjour, les calculs de platine avec échancrure sortent du domaine d' application des méthodes habituelles des pieds de poteaux encastrés. Vous avez Robot : utilisez le en faisant un modèle de plaque (EF) sur appuis élastiques unidirectionnels et des appuis simples du côté des tiges tendues, vous aurez alors la distribution des contraintes dans la platine. Salutations

bonjour, je ne comprends pas les distinctions que vous faites (et d' autres participants aussi) entre " longrines" ne reprenant pas M, mais H et servant ou pas de chaînages, et "poutres de redressement" ne reprenant que M ... peu importe l' appellation, je parle de poutre BA qui reprendrait le moment à la base du poteau; par ailleurs rien n' empêchent ces poutres de servir de liaisons anti-sismiques, voire de chaînages. Le tout est de bien identifier la ou les fonctions de cette poutre et de l' armer en conséquence ! non ! si votre conception est adéquate alors le surcoût parasismique sera faible (de l' ordre de 1 à 3 % du coût total de la construction) c' est simple, si vous considérez une rotule en pied de poteau alors le moment y sera nul , les efforts vont se reporter au niveau de l' encastrement poteau/poutre supérieure. Salutations

Bonjour, tout dépend de la valeur de p, "résistance du sol" , s' il s' agit d' ELU alors S> Nelu/p, sinon s' il s' agit d' ELS alors S> Nels/p et ceci c' est le rapport de sol qui doit le préciser. Normalement le dimensionnement des semelles se fait à l' ELU avec une contrainte de calcul q déterminée à l' ELU ( = min de qu/2 et celle dispensant de prendre en compte les tassements différentiels) mais bien souvent , en France, on ne trouve dans le rapport de sol qu' une contrainte qels, donc l' Ingénieur structure dimensionne ses fondations avec des charges ELS et cette valeur de contrainte admissible, de plus il suppose implicitement que le rapport qelu/qels est de l' ordre de 1.5, comme le rapport des charges ELU/ELS est en général compris entre 1.35 et 1.5, on voit que la vérification à l' ELS couvre celle à l' ELU ; mais ce n' est pas le cas toujours, par exemple en présence de vent il est indispensable de vérifier les ELU. aïe aïe aïe ! le but n' est pas que la structure plaise au maître d' ouvrage mais qu' elle tienne... si vous avez un moment sismique en pied de poteau, il ne peut disparaître comme par enchantement, et ce n' est pas une affaire de règlement mais de bon sens, il y a 3 solutions : * vous tenez compte du moment dans le dimensionnement de votre fondation, quelle que soit la taille de la semelle obtenue * vous prévoyez une longrine qui s' encastre dans le poteau et qui reprendra ce moment * vous changez votre modèle de calcul en mettant une rotule en pied et vous relancez vos calculs Salutations

Bonjour, non, quand vous considérez la poussée hydrostatique intérieure, vous devez négliger complètement les actions opposées favorable comme la poussée des terres extérieures. Il faut calculer vide/poussée des terres et surcharges , et plein/rien à l' extérieur Salutations

bonjour, le poinçonnement concerne une charge concentrée sur une dalle (ou une semelle), dans votre cas il ne s' agit pas de poinçonnement; vous devez vérifier l' effort tranchant de votre dalle (cisaillement) avec une formule un peu plus défavorable que le cas général (0.05 au lieu de 0.07). Salutations

bonjour, s' il y a un bureau d contrôle sur cette opération, alors il est étonnant qu'il n' ait pas donné d' avis sur les inclusions; je ne vois pas comment il pourra se prononcer sur vos fondations sans contrôle des inclusions ! il est urgent, non pas de calculer, mais d' éclaircir la situation... Salutations

bonjour, donc vous dimensionnez votre largeur comme une semelle filante sur un sol homogène (à 3 bars), vous supposez donc que vos semelles s' appuient sur le sol sur toute leur surface ici je suppose que vous voulez dire que vous calculez le ferraillage comme une semelle sur plusieurs pieux, donc vous considérez que l' appui est uniquement constitué par les inclusions il y a une contradiction évidente entre le dimensionnement du coffrage et celui du ferraillage de vos semelles ! notez que votre façon de faire n' est de plus pas économique car si vous considérez une semelle filante, vous mettez trop d' aciers et si au contraire vous considérez une poutre sur inclusions alors vous mettez trop de béton éclaircissez le mode de fonctionnement de vos fondations et calculez en cohérence salutations

bonjour, désolé d' insister mais on en revient toujours au même point : votre système de fondation est il une consolidation du sol ou bien des fondations par pieux ? La réponse de l' entreprise semble aller dans le premier sens mais est elle valable en l' absence de matelas de répartition ? Si vous calculez en semelle sur pieux, vous ne pouvez pas respecter les dispositions constructives d' attentes entre pieux et semelles (même pour des pieux en compression centrée). Donc votre fondation est à valider... Quel est l' avis du contrôleur ? Salutations

bonjour, sur votre deuxième envoi, je remarque que les charges concentrées (poteaux) sont proches des appuis; vous pouvez donc déduire la transmission directe des charges aux appuis pour calculez le cisaillement et vérifiez la bielle d' about avec la totalité des charges. Salutations

bonjour, avez vous des liaisons entre vos inclusions et les semelles (par des armatures) ? salutations

bonjour, vous pouvez aussi reprendre votre moment de désaxement dans la dalle, s' il est trop fort vous pouvez prévoir une poutre (en retombée) perpendiculaire. il vaut mieux éviter de solliciter les éléments en torsion salutations

bonjour, il serait préférable de prendre comme bras de levier Z = 0.8h - e , avec h = mini( portée; hauteur mur) et e = distance entre aciers tendus inférieurs et parement inférieur salutations

bonjour, oui je suis d' accord avec vous, ils "oublient" de tenir compte du second ordre ce qui peut remettre en cause la sécurité de leur construction. je pose une question à ceux qui ont souvent des structures où la stabilité horizontale est assurée par les poteaux : comment calculez vous vos longueurs de flambement dans les ossatures à noeuds déplaçables ? Salutations

bonjour, 2349 tm : cela représente un effort horizontal sismique de 213.5 T appliqué à 11 m de hauteur (soit les 2/3 de la hauteur de votre batiment), si ce moment doit être repris par un seul poteau 40x40 alors ce n est pas la peine de calculer une semelle gigantesque car votre poteau explosera ! vérifiez vos ordres de grandeur ... Salutations

BONJOUR, voir cette discussion : http://www.civilmania.com/forum/robot-structural-analysis/6891-modelisation-dun-radiers-avec-robot-3.html le calcul d un radier est assez complexe aussi n hésitez surtout pas à demander le salaire de l ingénieur "défaillant" ! Salutations

Bonjour, les voutes de décharge et les poutres voiles ont la même finalité à savoir transmettre des charges verticales appliquées sur une poutre de grande hauteur aux appuis, le BAEL ne prescrit pas grand chose pour les voutes de décharge et notamment pas de condition de hauteur; donc l initiative est au projeteur et la hauteur mini dépend de la forme de votre funiculaire. éventuellement, mais que faites vous des charges basses de votre mur (plancher) et du poids du mur "sous la voute", il faut bien les remonter "sur" la voute par des aciers verticaux (suspentes), il faut aussi vérifier les compressions de vos voutes, notamment aux appuis... mon conseil : le BAEL paramètre trés bien le calcul des poutres voiles qui de plus est assez simple, il vaut mieux donc l' utiliser plutôt que les voutes de décharge dont le calcul est plus aléatoire et où on risque fort d oublier des vérifications ! Quand au voute de décharge dans les maçonneries, je les déconseille franchement. Salutations

bonjour, le plus simple pour calculer les renforcements autour des réservations est de faire suivant le cour du CHEBAP de M. Coin: * décomposer le moment général en efforts normaux appliqués sur les membrures inférieures et supérieures * calculer les sollicitations locales de chaque membrure sous les charges directement appliquées en les supposant biencastrées * partager l effort tranchant total entre chaque membrure et transmettre l effort tranchant résultant de chaque membrure d une extrémité à l autre * calculer chaque membrure en flexion composée en cumulant toutes les sollicitations précédentes * calculer les suspentes verticales de part et d autre des membrures pour transmettre l effort tranchant général aux membrures et aussi pour reprendre les composantes verticales dues à l ancrage des aciers des membrures Salutations

bonjour, cela ne règle pas votre problème de calcul : calcul sur un sol "homogène" ou sur des 'points durs' ? salutations

bonjour, il serait bon de préciser un peu votre demande pour obtenir des réponses adaptées : votre bache est elle en métal ou en béton ? salutations

bonjour, oui tout à fait, cela relève de la responsabilité de l' ingénieur d' études et non de celle exclusive de l' entreprise. je confirme la pente de 1/3 en zone sismique et 2/3 sinon. En fait, vous devez justifier votre gros béton comme un mur poids qui retient la poussée des terres sur la hauteur du dénivellé entre les 2 radiers et soumis à une surcharge sur le radier supérieur correspondant à votre R+ 6 soit de 8 à 10 T/m² quand même ! Salutations

bonjour, quelle est la hauteur de vos réservations 30 ou 60 cm ? si c est 60 cm, vous aurez du mal à justifier vos membrures... Salutations