Tout publié par GUISSET
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choix de longueur critique pour flambement et déversement
Bonjour, Le choix des longueurs de flambement et de déversement est assez complexe et ne doit rien au hasard. Si vous utilisez l EC3, il faut le consulter pour calculer notamment les longueurs de flambement dans le plan des portiques suivant le type d analyse effectuée (structure à noeuds déplaçables ou pas), pour les longueurs de flambement hors plan, il faut prendre en général les longueurs d épure sauf présence de dispositif d anti flambement; pour le déversement, il faut analyser les conditions de maintien aux extrémités aussi bien vis à vis de la flexion transversale que de la torsion et tenir compte aussi de liens anti déversement le cas échéant. Chaque barre doit être analysée individuellement vis à vis des instabilités. Robot ne peut pas vous donner toute ces informations ... Salutations
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paramétrage pondération séisme de fonctionnement
Bonjour, comme alternative aux combinaisons manuelles et au fichier rgl, vous pouvez simplement utiliser le module de combinaison automatique ou vous pouvez affecter chaque cas de charges d un coefficient de votre choix, il vous suffit de prendre 0.2 pour le séisme et le tour est joué. Si vous calculez suivant EC3 et que vous avez du séisme, j en déduis que vous utilisez l EC8, aussi comment faites vous pour déterminer vos accélérations de sol agr puisque l annexe nationale renvoie à un futur décret qui n est toujours pas sorti ? Salutations
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Attention à au calcul du moment d'inerie massique
Bonjour, la formule M(Ix+Iy)/S correspond à M(a²+b²)/12 pour un rectangle axb uniformément chargé et résulte de la formule générale que vous avez indiqué : intégrale(r²dm). Pouvez vous expliciter "l' erreur" que vous signalez ? Merci salutations
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coefficient de pondération
Bonjour, Je ne suis pas d accord avec vous : quand on se trouve sur la branche descendante du spectre, il n y a pas d inconvénient à surestimer les masses. démonstration : l accélération RE(T) est proportionnelle à 1/T c' est à dire à (m/k)puissance( -1/2) l effort F est proportionnel à m RE(T) c' est à dire à (mk)puissance(1/2) donc si on augmente m, l effort F augmente malgré la diminution de l accélération salutations
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Calcul des blocs de radiothérapie
Bonjour, Pour les non spécialistes du nucléaire, vous trouverez ici un calculateur pratique: http://www.radprocalculator.com/ à utiliser avec discernement... Salutations
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reprise de betonnage des voiles de contreventements
Bonjour, de quelle reprise de bétonnage parlez vous ? de la reprise horizontale en partie inférieure de chaque niveau, ou bien des reprises verticales liées au rotation de banche ? Merci
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POUTRE EN V
Bonjour, en imposant que la flèche à l intersection des 2 poutres est la même pour chaque poutre: principe : * poutre 1 avec son chargement + une charge concentrée P à l intersection * poutre 2 avec son chargement + une charge concentrée -P à l intersection soit une inconnue P et une équation : égalité des flèches à l intersection vous avez un système à une inconnue et une équation : facile à résoudre Salutations
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mur de cloture aproximite du bloc avec un talus apparent
Bonjour, Je pense que cet exemple montre clairement ce qu il ne faut pas faire en matière de terrassement en dessous du niveau des avoisinants. Il faut TOUJOURS prévoir les mesures adéquates AVANT de commencer à batir... Qui peut garantir la tenue des talus, notamment en cas de fortes pluies ? La responsabilité de tous les intervenants (pas seulement l entrepreneur) est engagée, je conseille l arrêt du chantier, de faire évacuer les éventuels occupants des constructions voisines, de faire venir un géotechnicien sur place, puis de réunir tous les "responsables" autour d une table. La SECURITE avant tout !! Salutations
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RADIER RIGIDE OU SOUPLE????
Bonjour, Il s agit d une méthode approximative pour quantifier la rigidité du système structural, le paramètre KR est défini en G1.1.(7) et dépend notamment du module de déformation du sol. Je pense que la plupart des ingénieurs seront rassurés par les alinéas (4) et (6) de G1.1 mais seront rebutés par le (5) et le niveau 3 de G1.2 ! Salutations
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RADIER RIGIDE OU SOUPLE????
Bonjour, A quel article du BAEL faites vous allusion ? Salutations
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SVP J'AI BESOIN DE VOTRE AIDE POUR L'UTILISATION DE NV65
Bonjour kati, pour la surface totale, il faut prendre la surface totale de la paroi concernée (surface "éclairée" par le vent) salutations
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prolongement d'un linteau
Bonjour lego91, évidemment que non ! je vous déconseille de suivre votre artisan, il ne s agirait que de "bricolage" ne permettant pas d assurer la pérennité de votre structure. dans votre cas, il faut réaliser une véritable reprise en sous-oeuvre , à faire par une entreprise spécialisée Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour, justement, si vous voulez une meilleure précision, il faut étudier une "enveloppe polyédrique" comportant de nombreux sommets, donc c est long. la particularité d Epicentre est de pouvoir rapidemment modéliser des batiments à voiles, mêmes irréguliers, pour realiser un calcul sismique règlementaire : analyse modale spectrale, sélection des modes utiles, directions sismiques suivants les directions principales (qui ne sont pas en général les axes X et Y), calcul des ferraillages calé sur les prescriptions règlementaires et ceci sans la lourdeur des logiciels aux éléments finis , pas de maillage, calculs en quelques secondes, note de calcul automatique et possibilité de saisir les voiles à partir d un plan autocad... non, car si vous calculez un moment "hors plan" réduit cela revient à faire une moyenne des moments unitaires alors que la variation de ces moments sur la longueur du mur peut être importante; il n y a pas d autres choix que de traiter ces sollicitations à part des torseurs réduits. Notons au passage que la prise en compte de l ensemble des sollicitations (dans le plan et hors plan) par le logiciel sous forme de cartes de ferraillage théorique ne permet pas en général de respecter les prescriptions règlementaires concernant les voiles. dans le cas d utilisation de logiciels EF, cela ne dispense pas pour autant de vérifier que ces sollicitations sont suffisamment faibles pour pouvoir les négliger. il appartient bien sûr à l Ingenieur de concevoir des structures stables. Dans certains cas particuliers, il n est pas impossible de sortir du DTU23, ainsi il m est déjà arrivé de devoir encastrer une dalle sur les 2 voiles parrallèles afin de constituer un portique "transversal" en l absence de contreventement transversal, c était il est vrai pour une structure soumise au vent mais pas au séisme. Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour, vous voyez bien la necessité de diminuer le nombre de paramètres pour faire le calcul, il n y a pas d impossibilité théorique mais des difficultés à raisonner dans des espaces de dimension > 3 et donc à calculer dans des délais raisonnables ... attention pour l armature transversale il faut prendre (V-N) donc pour les sections "complexes", il me paraît difficile de raisonner "globalement", c est bien ce que vous indiquez : Une fois les efforts réduits élastiques modaux (Mi,Ni) récupérés, il faut calculer le coefficient de correlation, puis les sommets de l octogone encadrant l' ellipse puis calculer les armatures.C' est dommage que les logiciels ne soient pas capables de le faire, alors que se doit être possible et surtout beaucoup plus rapide que le post traitement de ce calcul par l utilisateur (courageux) muni de sa feuille excel ... sur ce point, je ne suis pas d' accord avec vous. On ne peut négliger les sollicitations "hors plan" que si elles sont très faibles; dans le cas général, il faut déterminer les ferraillages correspondants et les cumuler à ceux issus des efforts réduits. La pratique courante de réaliser des modèles 3D et de ne ferrailler les voiles qu' avec les efforts réduits peut conduire à des sous-dimensionnements si ces moments "hors plan" ne sont pas négligeables. La modélisation des structures est une vrai spécialité et il faut un certain savoir-faire pour réaliser des modèles corrects et par exemple la raideur "hors plan" des voiles est à regarder de près. Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour et bonne année à tous, Vous avez raison, il faut être plus rigoureux; pour bien comprendre ma pensée, il faut remplacer "(ellipse ou polygone circonscrit)" par "(hyper ellipsoide d ordre n et son encadrement)" dans ma phrase. Certes, mais je crois que le raisonnement est le suivant : dans le cas général d' une section complexe comportant plusieurs variables d intérêt ( > 2), le calcul du domaine de concomitance des sollicitations n'est pas du tout facile, même si ce dernier ne dépend pas à priori de la forme de la section. La difficulté majeure réside dans la détermination d un hyper ellipsoide et de son encadrement. Aussi, je persiste et je suis preneur de tout programme ( ou simple feuille de calcul Excel ou autre) permettant le calcul rigoureux pour une section quelconque comprenant : un effort normal, deux moments de flexion, un bimoment et éventuellement un moment de torsion !! Je répète que le logiciel Epicentre contourne la difficulté en se ramenant à un problème à 2 variables d intérêts via les contraintes élastiques, voir mes messages précédents. il faudrait contacter le concepteur du logiciel, voir le site. Si un " contre exemple" montre une mauvaise répartition ou un sous dimensionnement important, prière de le poster pour le signaler au concepteur. Les méthodes de calcul de ce logiciel (comme de tous les logiciels d ailleurs) sont perfectibles et les utilisateurs peuvent contribuer à les améliorer... Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour, En fait, on dit à peu près la même chose tous les deux : dans le cas général, les points les plus "pessimistes", c est à dire les plus éloignés de l ellipse, dépendent de ro; dans le cas particulier que j ai présenté précedemment, il s agit des points B et D. Je laisse le soin à ceux qui le souhaitent de démontrer que les points de l ellipse conduisent aux tangentes au diagramme des contraintes, la première partie de la démonstration (tangente vers ellipse) m apparaissant comme suffisante pour justifier la méthode d Epicentre. Je ne suis pas sûr que cela soit si facile car pour une section quelconque, vous avez 4 composantes (et non 2) à considérer pour justifier les ferraillages et les contraintes de compression du béton, à savoir : effort normal N, deux moments fléchissants suivant les axes principaux My et Mz et le bimoment B. Donc, suivant la méthode rigoureuse, il faudrait envisager un hyper ellipsoide de dimension 4 (voir document posté par Gilberto); pour simplifier et pour se ramener à deux paramètres, on calcule les contraintes normales élastiques (à partir de N, My, Mz et puis on isole chaque tronçon rectangulaire de la section complexe et par intégrations des divers diagrammes tangents aux points de calcul à l enveloppe des contraintes normales,on détermine un certain nombre de couples (Mi, Ni) que l on peut "traiter" selon la méthode de l ellipse. Il me semble difficile de raisonner globalement sur la section "complexe" entière, même si l on dispose d un logiciel permettant de tracer les courbes d interaction car il s agit de déterminer la courbe de concomittance pour 4 paramètres. Qu en pensez vous ? en fait, Epicentre découpe la section en 11 points régulièrement répartis , ce qui fait, compte tenu de la symètrie, 22 points sur l ellipse, certes la méthode n est pas parfaite comme je l ai déjà indiquée puisque le polygone envisagé est inscrit dans l ellipse (alors qu il devrait être circonscrit) par ailleurs il faudrait vérifier la répartition des points sur l ellipse. Cependant pour rassurer les utilisateurs d Epicentre, les tests montrent que les sections d aciers calculées sont très proches des sections "exactes" et suffisantes dans la plupart des cas compte tenu de la précision habituelle des calculs sismiques. Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour, Je n ai pas dit que les points les plus pessimistes étaient B et D, mais plutôt qu il fallait vérifier les 4 sommets et retenir les ferraillages les plus défavorables. Oui, je pense que c est cela, cela montre bien toute la difficulté de combiner les 3 directions sismiques et d encadrer l ellipse des couples probables ! Précisons simplement que les méthodes d approximation de l ellipse par des polygones supposent la convexité des diagrammes d ' intéractions, ce qui est toujours le cas à ma connaissance. je voulais simplement dire que l on part des CQC de chaque composante, puis l on retrouve les 4 sommets en faisant varier les signes. Je ne suis pas du tout d accord avec vous sur ce point, si c est le problème de l utilisateur, alors à quoi sert le logiciel ? Doit on calculer " à la main" plusieurs centaines de combinaisons (sans se tromper bien sur!)? Le logiciel devrait en tenir compte directement surtout s il prétend calculer les ferraillages. Laissez ce soin à l utilisateur ne me parait pas résoudre le problème. oui vous avez raison, ma démonstration se limite aux sections rectangulaires; il faut comprendre dans la conclusion que les deux méthodes sont équivalentes pour les sections rectangulaires (ce qui apparait dans le titre de ma deémonstration). Cependant, même s il s agit d un cas particulier, avouez que la section rectangulaire couvre quand même la quasi totalité des cas de figures puisque le calcul des voiles se ramène la plupart du temps à un calcul BA en flexion composée sur une section rectangulaire ! Je suis preneur d abaque d intéraction pour des sections "complexes" et de logiciels permettant le calcul rigoureux (ellipse ou polygone circonscrit) avec des sections "complexes"... exact, en prenant les points sur l ellipse, Epicentre peut (légèrement) sous-dimensionner comme vous le montrez, mais comme je l ai déjà indiqué précedemment tous les logiciels sont perfectibles et j ai bon espoir que ce logiciel soit amélioré sur ce point comme sur d autres lors de la version Eurocode. oui c est la seule, mais malheureusement elle est peu appliquée. Un grand merci à medeaing d avoir pris le temps de bien détailler cette méthode, cela aidera certainement beaucoup d' ingénieurs chargés de dimensionner les voiles au séisme qui ne la connaissent pas. Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour, Il s' agit des sommets B et D du rectangle circonscrit à l' ellipse. Si vous les ignorez, alors vous n' encadrez pas l' ellipse (même par excès) et vous sous-dimensionnez votre voile ! D' ailleurs, il semblerait que Robot ne considère pas les 4 sommets puisque : Donc , Robot oublie la moitié des combinaisons, qu en pensez vous ? Salutations
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béton faible (Chateau d'eau)
Bonjour, je ne suis pas spécialiste de la question, vous trouverez cependant quelques éléments ici : http://www.bbri.be/antenne_norm/beton/f ... litige.pdf Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour, quelques réflexions sur la méthode de calcul des "armatures de bord" et des armatures verticales pour "la compression" par Robot : Il me semble qu il y a une certaine confusion dans la méthode de calcul de Robot : concernant la reprise du moment et de l effort normal, il s agit d un calcul ELU en flexion composée donc il est est évident qu il faut considérer en même temps M et N; le fait de les séparer comme le fait Robot pour vérifier "voile armé" ou "voile non armé" est incorrect et insuffisant. De plus cela induit une mauvaise appréciation sur la distinction entre voile armé ou non armé. Pour y voir plus clair, il faut d abord essayer de bien comprendre la "philosophie" du DTU 23.1 : cette norme fait très bien la différence entre les voiles "armés" et "non armés" avec des formules différentes (coefficient alpha), il faut bien comprendre qu il s agit de voiles armés ou non VIS A VIS DE LA COMPRESSION, et uniquement de la compression ! C est le seul critère important, dans le cas de voile armé, il s agit d armer tout ou partie de la zone comprimée avec des aciers travaillant en compression; pour un voile non armé, cela signifie uniquement qu il n est pas nécessaire de compter sur la résistance à la compression d éventuels aciers verticaux. Et rien d autre ! En conséquence, les aciers tendus ne sont pas concernés par le DTU 23.1 et un voile "non armé" (au sens de ce DTU) peut très bien en comporter... Poursuivant la réflexion, on pourrait se poser la question suivante " quel critère retenir pour choisir entre voile armé ou non armé ?"; j ai bien dit choisir car dans la plupart des cas, il s agit d un choix initial de l ingénieur. La méthode rigoureuse serait bien évidemment de faire deux calculs complets (y compris aciers d efforts tranchants) avec les 2 hypothèses (armé et non armé) et de retenir celle comportant la quantité minimale d aciers. Une méthode plus simple dictée par mon expérience consiste à retenir un voile non armé sauf évidemment dans les cas où les efforts sont très importants (vis à vis du mur) et amènent à une mauvaise utilisation de l acier (contrainte inférieure à la limite élastique). Pour en revenir à Robot et à la question que j ai posée dans un message précédent : si c est le cas et étant donné que cette valeur est très proche de celle de Robot, on peut en déduire que Robot a bien pris un voile non armé pour calculer la contrainte du béton; à vérifier cependant dans d autres cas de figure avant de "valider". Sur les considérations de calcul en capacité : tout à fait d accord avec Gilberto, il faut toujours garder à l esprit les principes du dimensionnement en capacité lors des calculs sismiques et notamment la hiérarchisation des modes de ruptures. A la différence des PS92, l EC8 précise bien cet aspect des choses. Le commentaire de l'ouvrage de Davidovici "Formulaire du béton armé" signalé par mkazekage que l on trouve aussi dans le PS92 est de la même veine. Concernant le dernier message de notre ami Gilberto, je suis globalament d accord avec lui sauf sur un point: Je pense qu il est plus exact, notamment pour le calcul sismique, de considérer une linéarité du diagramme des déformations et non des contraintes car il s agit de l hypothèse classique du calcul ELU. Le PS92 donne en tout cas cette méthode. Autre question sur le module voile de Robot : en cas de calcul en voile "armé" Robot cumule t il les aciers comprimés correspondants avec les aciers verticaux nécessaires pour le cisaillement et/ou le glissement ? Salutations
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Armatures de bords : voile soumis a la flexion composée
Bonjour, . Vous trouvez bien une section très proche de Robot, c'est donc "juste" et Gilberto a raison dans son explication, à savoir qu il faut tenir compte des signes + et - pour chaque composante de l action sismique (y compris N). Cette méthode simplifiée est à priori enveloppe, elle peut être trés défavorable pour certains couples car on s éloigne alors sensiblement de l ellipse des combinaisons probables. On peut préciser cela sur un exemple simple : soit une analyse modale d une structure ou l on retient 2 modes propres dont les périodes sont éloignées (pour simplifier): on recherche les couples M et N pour dimensionner les armatures de flexion composée du voile mode 1 : M1= 400 N1 = 200 mode 2 : M2= -150 N2 = -400 en faisant la CQC de chaque composante, on obtient facilement les 4 couples : (+427, +447) (-427, +447) (+427, -447) (-427, -447) Ces couples correspondent aux sommets A, D, B et C dans le diagramme de M en fonction de N. Robot (et d' autres logiciels) va dimensionné avec ces couples combinés aux effets des charges gravitaires et soit disant "optimisé". La méthode rigoureuse est celle de l ellipse comme indiqué par Gilberto, elle donne l ellipse suivante dans notre cas de figure : Comme on peut le voir, les points A et C sont relativement proches de l ellipse et peuvent être conservés pour dimensionner les ferraillages, par contre les points B et D en sont très éloignés et constituent des couples trop pessimistes pour pouvoir parler " d optimisation". A noter que le logiciel Epicentre tient compte de cette méthode rigoureuse à travers une technique de diagrammes tangents au diagramme de Newmark décrite ici : http://www.logiciel-epicentre.com/doc/t ... exion2.htm Avant d accorder une totale confiance dans ce module, je vous invite à vous poser la question suivante: Est ce que Robot calcule les aciers verticaux d extrémité avec un béton "armé" ou bien "non armé" au sens du DTU 23.1 ? Salutations
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Poteau sollicité en flexion composée déviée
bonjour, le mot de passe est Salutations
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CALCUL ET FERRAILLAGE POTEAUX INCLINES
Bonjour, vous pouvez calculer le portique constitué de la poutre et des poteaux reliés, le plus simple est de négliger l encastrement poteau/poutre et de faire transiter dans les poteaux uniquement des efforts normaux (compression et traction) comme ci dessous : Salutations
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avantages et les inconvenients des reglements CCBA et BAEL
Bonjour, Je ne crois pas que l'observation puisse vous renseigner sur les avantages et inconvénients des règlements de béton armé; la base reste le calcul et l application des règlements. Si l on examine l évolution des règlements de béton armé depuis le début du siècle dernier, on constate que la sécurité et les méthodes de calcul ont beaucoup évolué et on peut dire que les structures conçues avec les règlements modernes ont une fiabilité meilleure, y compris en zone sismique. Salutations
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avantages et les inconvenients des reglements CCBA et BAEL
Bonjour, à ma connaissance, l application correcte du BAEL pour dimensionner des poteaux n a pas donné lieu à des déboires. Donc je déments absolument, le BAEL est sûr pour les poteaux (et pour le reste aussi...). Pouvez indiquer en quoi le flambement serait en cause ? salutations