Tout publié par GUISSET
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Videos de Genie parasismique
Bonjour, les vidéos sont interessantes pour ceux qui s intéressent au génie parasismique, Zacek et Bard sont trés compétents et en plus pédagogues. Un bémol toutefois concernant le film " La construction parasismique de maisons individuelles (version générale) " : ce film réalisé à la demande de la DDE est parsemé de nombreuses anomalies et l' exemple présenté n est absolument pas "parasismique" malgré le titre, j ai dénombré plus de 20 problèmes, donc méfiance. Je pourrais donner plus de précisions si cela intéresse certains. Salutations
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plaques et coques avec exercices??
Bonjour, ci joint un exercice corrigé sur le calcul d une coque : Salutations exo-theme7-site-ParisTech.pdf
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, Je ne vous comprends pas, de quels efforts parlez vous? Je pense que votre formule n est pas dans les unités attendues pour un glissement (Force/longueur), donc elle est fausse... je ne pense pas que la modélisation volumique soit utile (heureusement!) mais d' où sortez vous vos 5 bimoments ? Si c' est Jalil qui le dit, je suppose qu il a raison. Je crois que les non linéarités dans Robot ne peuvent être déclarées que dans des rotules, dont la position est forcément fixée par l utilisateur. Donc je pense que vous avez raison, ce n est qu une approche du comportement non linéaire; pour mieux faire, il faudrait pouvoir utiliser des modèles à fibres mais Robot n en dispose pas encore. Pour les connaisseurs des autres logiciels (Graitec, Etabs, Sap...) , est ce que ces logiciels permettent de faire des modèles à fibres ? Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, Un grand merci à medeaing de s être penché sur ce délicat problème, je suis tout à fait en accord avec lui sur la méthode proposée : On peut simplement préciser qu' en cas d ' analyse modale, ce processus est à faire pour chaque mode sélectionné, puis les résultats modaux sont combinés quadratiquement (CQC) avant de calculer le ferraillage (en flexion composée) tout en prenant en compte le domaine de concomittance des sollicitations. C' est exactement ce que fait le logiciel Epicentre. Une question subsiste cependant, elle concerne le traitement de l'effort tranchant : comment calculer l'effort tranchant de calcul pour chaque tronçon rectiligne de la section ? A priori, on doit partir des contraintes élastiques de cisaillement, puis en raisonnant sur un tronçon, peut on "uniformiser" les contraintes pour trouver un effort tranchant de calcul pour le tronçon qui nous servirait à faire les justifications règlementaires ? Enfin, dernière interrogation, à partir de quels efforts doit on calculer les aciers horizontaux de liaison entre tronçons liés par une aréte commune ? Pour les utilisateurs d Epicentre, cette dernière question est importante car il faut savoir que le logiciel ne calcule pas (pour l instant) ces aciers de liaison. Oui, en cas d utilisation des éléments finis, le passage par les efforts réduits de chaque partie du voile est indispensable pour effectuer les vérifications règlementaires. Il ne faut cependant pas oublier les sollicitations hors plan dont les sollicitations donnent des ferraillages sur chaque face qui sont à cumuler à ceux issus des efforts réduits. Pouvez vous préciser votre pensée ? Merci Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, si vous avez des exemples de calcul push over "utilisable en bureau d'étude" donc pas trop complexe, nous serions ravis que vous en faisiez profiter le forum ! je ne crois pas que cette méthode soit si simple, elle servira surtout pour les constructions existantes (et bonne chance à ceux qui devront l'appliquer..., il faudra se mettre à l'anglais). Je ne crois pas que les règles tiennent compte implicitement de ces efforts que vous désignez comme "secondaires résiduels"; il faut en tenir compte dans le calcul des sollicitations. Le dimensionnement en capacité n'a rien à voir avec ces effets non plus. désolé mais je ne comprends toujours pas votre formule qui n'est pas homogène. non, Epicentre ne traite que des structures à voiles. ce serait plutot de la théorie des poutres Sur quels éléments vous basez vous pour ignorer les effets de torsion ?; si les sollicitations dans les raidisseurs issues de la torsion d ensemble sont du même ordre de grandeur que les sollicitations issues de la flexion d ensemble, pensez vous que l on puisse malgré tout négliger ces effets? de quel type de voile parlez vous ? S il s agit de voile élancé (hauteur >> longueur), alors le dimensionnement à l aide des efforts globaux me semble pertinente puisque qu ils peuvent relever de la théorie des poutres... Salutations
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Poutre de section variable
Bonjour, effet résal sur les poutres de hauteur variable : effet Resal.pdf
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Poutre de section variable
Bonjour, il faut tenir compte de l'effet Résal. Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, Merci à Medeaing pour sa réponse très détaillée concernant l' incidence du bi-moment sur les voiles liés, je suis globalement d'accord sauf sur quelques points : et de l'article 11.8.2.1.1du PS92 cet article concerne exclusivement les trumeaux , voir 11.8.2.1 , donc, nécessairement, pour une section rectangulaire, on a pas de flexion déviée mais de la flexion composée. Le PS92 n' envisage pas, et c 'est bien là la question posée, de section "complexe" en flexion composée déviée + torsion; mais peut être faut-il comprendre que le règlement suggère de justifier une telle section en isolant chaque partie (trumeau) et à raisonner avec les efforts réduits associés ? C' est par exemple ce que fait le logiciel Epicentre... Peut-on systématiquement négliger les effets de la torsion gauchie sur la base de ces considérations générales ? il ne faut pas oublier que les dispositions peuvent être très diverses: absence de symétrie, effort normal non centrée, présence de files d'ouvertures (linteaux), changement de géomètrie sur la hauteur.... Il ne me paraît pas possible d' éliminer ce problème comme ceci une fois pour toute ! nous nous rejoignons donc sur le constat. Donc si je vous suis bien, on utilise la méthode des 3 pivôts pour le calcul en flexion composée (éventuellement déviée) et la "méthode des bandes" pour le bi-moment. Mais je ne suis pas sûr que cela soit trés cohérent de mélanger les 2 méthodes suivant les types de sollicitations; ainsi si on raisonne sur un cas simple, mettons une section béton armé en I doublement symétrique sollicitée en flexion suivant sa "mauvaise" inertie et en torsion se traduisant par un bi-moment; le bi-moment se traduit par des flexions antagonistes des deux semelles; la flexion peut se traduire par une flexion identique de chaque semelle; si on isole une semelle, les effets de la flexion d' ensemble et de la torsion se traduiront donc par une flexion unique qui peut très bien servir à dimensionner les armatures. Pourquoi donc "mélanger" les 2 méthodes ? Oui c'est évidemment possible de procéder de la sorte mais je ne suis pas sûr que cela soit si commode et je pense que cela n'est pas absolument nécessaire de tenir compte des largeurs de table réduites. Pouvez vous expliciter votre formule ? elle ne me semble pas homogène au niveau des unités, le glissement doit être en N/m. Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, Le diagramme bi-linéaire est à priori plus défavorable. oui je suis tout à fait d accord, ce sont les outils à disposition de l ingénieur qu il faut savoir utiliser efficacement. Concernant les murs "complexes", oui je sais j' insiste, je crois que la difficulté reste entière pour les justifier même avec l aide des logiciels : Il ne s' agit pas d' une "simple" vérification d' une poutre en flexion composée déviée, éventuellement à l'aide d'un logiciel. Car du fait des dimensions de la section vis à vis de la portée (hauteur), on ne correspond pas nécessairement aux hypothèses d' un élément de poutre (notamment section faible par rapport à la portée). De plus, les effets de la torsion sont à examiner de près et il ne faut pas oublier que mêmes les charges verticales entraînent des effets de torsion; ainsi par exemple une charge verticale concentrée P appliquée en un point de la section "complexe" implique la création d'un bimoment concentré (B= PxOméga, Oméga étant l'aire sectorielle au point d'application de P), donc cette charge P entraîne un effort normal, deux moments de flexion (suivant les axes principaux) et un bimoment (torsion), il va de soit qu 'il faut prendre en compte l'ensemble de ces effets; concernant le bimoment, voir le commentaire du chapitre A4 du BAEL, quel est l' examen particulier à réaliser ? Je suis persuadé que la plupart des voiles de bâtiments courants ne sont pas calculés en associant toutes les parties liés; je pense même que beaucoup d' ingénieurs (dont moi) sont loin de maîtriser parfaitement les subtilités du calcul en torsion gauchie des systèmes de contreventement. Aussi je (re)pose la même question : comment calculez vous les voiles "liés" de contreventement ? Salutations
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Réservoir enterré
Bonjour, non, il ne faut pas prendre en compte un coefficient d'élasticité Kz pour les voiles. Les effets des terres sur le réservoir sont modélisés par les diagrammes de poussée sur les parois. Certes, il s agit d une façon très approximative d approcher l intéraction entre le sol et la structure mais c est la solution habituelle qui a fait ses preuves depuis longtemps. Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, oui, tout à fait d'accord; il serait bon que l'on trouve dans la littérature technique une sorte d'état de l'art des calculs sismiques des batiments en béton courants; cela aiderait grandement les ingénieurs qui travaillent souvent dans leur coin et peuvent se sentir "seul" devant la complexité de ces calculs... J en fais partie et j avoue qu il m arrive souvent de négliger les liaisons, certains murs vis à vis d autres, certains linteaux ...; le modèle est alors simplifié mais plus facile à traiter sans dénaturer le comportement d' ensemble. oui mais je ne suis pas sûr que ces ouvrages apportent des réponses aux questions pratiques qui se posent en BET quand il faut justifier un batiment au séisme ... en un temps limité ! Pourquoi ne pas isoler quelques questions importantes et les soumettre à nos spécialistes ? avec un maximum de signatures bien sûr, M. Dupont (BET Machin), M. Durand (entreprise Chose) ... Pour espérer des réponses précises ! Pourquoi ne pas solliciter les experts de l AFPS dont la mission est : "l 'étude des tremblements de terre, celle de leurs conséquences sur le sol, sur les constructions et sur leur environnement, et la recherche et la promotion de toutes mesures tendant à minimiser ces conséquences et à protéger les vies humaines." Est il acceptable qu un même batiment étudié par différents ingénieurs ait une sécurité vis à vis du séisme différente suivant les méthodes de calcul employées et la plus ou moins grande rigueur dans la démarche de calcul ? oui, exact, les déformations de cisaillement ne sont pas prises en compte; mais est ce bien grave ? oui et cela me paraît être un grand avantage sur tous les logiciels aux éléments finis (EF). oui effectivement, j ai vérifié la conformité de cette méthode au moment où M. Hénin l a introduite dans Epicentre. Je ne pense pas que les logiciels EF en tienne compte d ailleurs. Je suis tout à fait d accord avec vous Medeaing, c est effectivement comme ceci que l on aborde les sections en flexion composée déviée. Ce que je voulais dire c est que : il me semble que les voiles béton ne sont pas justifiés en général en flexion composée déviée, même s ils sont liés entre eux et forment des sections complexes. Je pose la question aux ingénieurs structures: calculez vous les voiles en flexion composée déviée en général ? Si oui, comment faites vous ? Faut il être équipé d Etabs ou Sap ? trés rarement "à la main", j utilise plutôt la calculette Robot Je ne crois pas car est ce que ces logiciels : - font les vérifications de contrainte limite des bandes (DTU 23.1) - font les vérifications de cisaillement et non glissement (PS92) - font les vérifications au niveau des reprises de bétonnage (règle des coutures) - tiennent compte des sollicitations issus de la Torsion à faible variation de distorsion (Vlassov) qui se traduisent par des bimoments et des ferraillages supplémentaires - tiennent compte des contraintes d appui dues à l encastrement des linteaux sur les voiles - tiennent compte de la descente de charge "réelle" sur chaque tronçon de mur, y compris la diffusion des charges concentrées fonction du type de ferraillage des voiles - permettent une optimisation en se plaçant délibérement en mur "non armé" au sens du DTU 23.1 - tiennent compte de largeur de table "règlementaire" ??? dans l absolu, vous avez raison; l ingénieur est aussi payé pour optimiser. Mais pour optimiser, il faut du temps, denrée rare, et je ne pense pas me tromper en disant que les conditions d études des batiments courants en France ne le permettent tout simplement pas ! Par ailleurs, en matière parasismique, il ne faut pas forcément chercher à dimensionner au plus juste, il y a tellement de paramètres inconnus, les effets de sites par exemple peuvent doubler ou tripler les accélérations et ces effets sont trés mal pris en compte par les réglements. Optimisation et parasismique ne vont pas forcément de pair ! je ne suis pas du tout d accord, je crois au contraire que c est complexe et que l informatique ne résoud pas tout. Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, Je reviens sur le calcul des sections de voiles "complexes". oui mais comme vous le précisez, cela nécessite de faire un prédimensionnement, le problème est alors : avec quelle méthode? Ces logiciels permettent d optimiser mais le problème en BET se pose plutot en ces termes : définir un modèle, calculer les sollicitations, justifier les sections BA (contraintes, ferraillage...); l optimisation vient éventuellement (et rarement il faut bien le dire) dans un second temps! Donc ce n est toujours pas réglé.
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questions sur dds
Bonjour, Vous trouverez un certains nombres d éléments dans ce cours : http://www.enpc.fr/fr/formations/ecole_ ... /index.htm la différence essentielle est la prise en compte ou non du temps dans les équations d équilibre, si vous considérez une charge sollicitant une poutre; si la charge est appliquée progressivement , on peut considérer que la charge est subdivisée en plusieurs charges appliquées de manière quasi statique sur la poutre, le temps n intervient pas et on est dans le cas STATIQUE (RDM classique); tout autre mode d application de la charge necessite de considérer le temps et donc il s agit de cas DYNAMIQUE, par exemple, si vous appliquez la charge en une seule fois (on la pose sur la poutre et on lache), on peut démontrer que la flèche et les contraintes sont doublées par rapport au cas statique. Salutations
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modélisation mathématique
Bonjour, Pouvez vous préciser votre demande: que voulez vous modéliser ? Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, Si les HA6 e=10 sont des cadres et non des U et si aucune liaison n'est prévu entre les 2 murs, peut on négliger la liaison ? Je n ai pas bien compris, cela veut dire qu Etabs et SAP2000 permettent de tracer la courbe d intéraction d une section quelconque (composée d une successions de tronçons reliés entre eux) ? c'est bien beau mais pratiquement comment exploite on les résultats pour déterminer le ferraillage ? - on modélise par une section unique composée de parties rectangulaires liées entre elles ou s’intersectant ; jusque là trés bien et comme l a montré Medeaing c'est tout à fait possible avec Robot (l exemple proposé est intéressant car il ressemble à ce que l on voit régulièrement en France) - on fait un calcul sismique (analyse modale) sans être inquiété par les problèmes de maillage (incohérence, convergence...) - on obtient des déplacements et des sollicitations (N, T, M) - puis tout se complique car : * comment calculer le ferraillage d'une telle section "complexe", aucun ouvrage de BA n'envisage ce cas, faut il raisonner "globalement" à partir des efforts "globaux" mais avec quelles méthodes ? ne pas oublier qu il s agit de calcul BA (méthode 3 pivots...) ; ou bien faut il envisager chaque tronçon isolément en y associant une table de largeur règlementaire (section en I en T) et calculer les armatures, mais si le calcul BA est plus simple (I) avec quelles sollicitations procéder?, autrement dit comment passer des efforts globaux aux efforts pour chaque tronçon ? * autre question, comment calculer les efforts normaux issus des charges permanentes et surcharges car la modélisation proposée ne permet pas de retranscrire les planchers (du moins pour la répartition des charges verticales) ? On le voit le problème reste entier ! Pour ma part, j utilise très souvent le logiciel Epicentre qui est très pratique pour les bâtiments contreventés par des voiles. Salutations
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ASSEMBLAGE POUTRE HEA400
Bonjour, il suffit d appliquer la norme NFP 22-460 Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, Tout à fait d'accord, je pose les questions suivantes : est il nécessaire de considérer la liaison entre 2 murs perpendiculaires, peut on la négliger si on ne justifie pas les aciers (start) de liaisons ? Si on justifie en I un voile avec raidisseur, est il logique de considérer le raidisseur en entier pour l inertie et une partie seulement pour le calcul BA (limitation de la table) ? Bravo Gilberto ! Messieurs Coin et Bisch vous ont écouté et, pour vous éviter les maux de tête, ont publié rien de moins que la "bible" de l'ingénieur structure : Conception des murs en béton suivant les Eurocodes (presses des Ponts et chaussées) à acquérir d' urgence... Salutations
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actions du vent sur les parois
Bonjour, le cas est prévu dans l article 6,4 des NV65 qui renvoie à des essais en soufflerie comme l' a indiqué M. Demeusy. attention, ces essais doivent tenir compte de l' ensemble des bâtiments réalisés et de leur environnement. Salutations
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, je remercie également medeaing pour ses explications sur les méthodes de Robot et d Etabs et je me joins à lui pour demander à Autodesk d améliorer la précision des efforts réduits sans être obligé d augmenter le maillage. Tous les logiciels sont perfectibles... il faut effectivement entrer des liaisons rigides si l on veut obtenir un modèle correct; à l'heure des mailleurs automatiques ("vous clickez, c est maillé !"), je pense que la modélisation et l entrée des données correspondent à une vraie spécialité trop souvent négligée par les ingénieurs. Salutations
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contrainte sous semelle
Bonjour kaizen85, Bonne remarque ! Bien sur, le diagramme de contrainte réelle dépend de la nature du sol, mais la répartition exacte est difficile à calculer... Par contre le diagramme de contrainte est parfaitement indépendante du type de sol car on fait l hypothèse d un diagramme linéaire (pour simplifier); même si cela ne représente pas la contrainte "exacte" cela est suffisant pour justifier les fondations. Salutations
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Mauvais calcul de flèche poutre Té
Bonjour, Pouvez vous SVP poster les fichiers des exemples que vous indiquez pour analyse ? Avec quelle version de Robot travaillez vous ? Merci
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robotbat et ces efforts reduits bizard
Bonjour, J' ai une question pour M. medeaing : N étant pas expert de la méthode des éléments finis, je ne comprends pas la différence entre Etabs et Robot pour calculer les efforts réduits; pouvez vous expliciter le processus de calcul ? les contraintes de Robot ne correspondent elles pas aux forces nodales d Etabs ?comment se fait il qu Etabs n est pas besoin de "dériver" , puisque pour passer des déplacements aux contraintes (en passant par les déformations) la dérivation est nécessaire ? Merci Salutations
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Calcul de flèches
Bonjour, Attention, le BAEL comme les autres règlements n' est pas un cours de béton armé ! Comme l'a indiqué medeaing : le bael n' a pas à fournir de formules, d' ailleurs imaginez le nombre de cas qu il faudrait envisagez si l' on veut couvrir l'ensemble des sections possibles ! L' application du Bael sans expérience ou à défaut sans un (bon) cours de béton armé me paraît dangereuse... salutations
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Calcul des contraintes d'un radier non uniforme en plan
Bonjour, dans un modèle de calcul, on peut faire les hypothèses que l'on veut; pour un radier, je conseille aussi de ne pas encastrer les éléments (poteaux, voiles) mais plutôt de les articuler; mais si on souhaite les encastrer il faut en tenir compte dans la détermination du ferraillage. dans l' idéal, vous avez raison, il serait préférable que ce coefficient soit donné par le géotechnicien, mais c'est (très) rarement le cas en France, mon conseil, demander au géotechnicien une estimation des tassements t sous la contrainte ?sol et calculer simplement : K= ?sol/t. De toute manière, la méthode de la plaque sur appuis élastiques est une approximation sur le plan théorique, alors il est illusoire de vouloir déterminer "exactement" K ! Salutations
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Paramètrage du calcul de stabilité en CM
Bonjour, Un grand merci à M. Demeusy. Je me suis mal exprimé, je voulais dire des raidisseurs verticaux à la naissance du jarret sur la traverse, voir fichier joint. Autre question : prenez vous en compte les effets de variations de température pour les structures de moins de 50 m mais comportant des contreventements (croix de saint andré) à chaque extrémité? si oui, comment et sur quels éléments ? salutations jarret portique.pdf