GUISSET

Bonjour, Non, en matière de stabilité il n'y a aucune tolérance, c'est stable ou instable ! La vérification de chaque point d'appui est indispensable, l'extrait du livre sur les Treillis soudés ADETS est clair et rejoint d'ailleurs les explications de M Demeusy et de moi même. Salutations

Bonjour, La formule ci-dessus suppose que le radier est rigide et fonctionne dans son ensemble; elle correspond à des efforts considérables pour lesquels le radier est rarement prévu; par ailleurs, le calcul des sollicitations est assez complexe. Aussi, le plus souvent, les radiers calculés "à la main" sont supposés souples et calculés avec la méthode des tranches. Le sujet a déjà été traité dans le forum. Salutations

Bonjour, mais si on souhaite le justifier, existe t il des règles ou des recommandations ? Ne pensez vous pas qu il faudrait adopter ces dispositions même sans séisme pour éviter les désaxements ? J ai déjà fait cela en contrôle de plans de charpentier et effectivement on ne peut justifier l excentricité en général. disposez vous des raidisseurs au niveau du raccordement d un jarret sur une traverse ? est ce qu un liernage travaillant en traction seule (PHI 10 par exemple) et reliant les semelles inférieures des pannes permet de réduire la longueur de flambement hors plan et la longueur de déversement à L/2 ? ( notamment si l onde de flambement ou de déversement a tendance à solliciter la lierne en compression) Merci salutations

Bonjour, non pas du tout ! voir le BAEL, vous ne pouvez pas calculer fqi directement car la contrainte de l' acier intervient dans l inertie If, il faut garder fpi-fgi Salutations

Bonjour, tout à fait d'accord, cette vérification est indispensable car il faut aussi vérifier que la résultante des charges descendantes coincident avec celle de la poussée de la nappe. Si cette vérification n' est pas satisfaite pour certains points d' appuis, on peut prévoir des éléments (longrines par exemple) reportant la poussée sur des points d' appuis suffisamment chargés. La vérification de la stabilité doit donc être globale et locale. Salutations

Bonjour, Un grand merci à M Demeusy pour la précision et la rapidité de sa réponse ! et félicitations pour votre nouvelle couleur. l article 5.212 des CM66 indique qu il doit être prévu des raidisseurs au droit des appuis et la formule d interaction (moment, tranchant) concerne uniquement les raidisseurs intermédiaires. Ce qui explique ma question : en l absence de raidisseurs aux appuis, quelles sont les justifications à produire ? Quelles sont les justifications à mener ? J ai l impression que dans la pratique, on considère que le bac "tient" la semelle supérieure au déversement mais sans le justifier, n est ce pas ? Qu en pensez vous ? Pourquoi 0.7L dans le cas de pannes continues ? Faut il tenir compte des désaxements entre pannes/traverses et poutre au vent ? Autre question sur les fixations des pannes sur les traverses : Ces attaches sont souvent réalisées par l' intermédiaire d échantignolles soudées sur la membrure supérieure de la traverse et boulonnées sur l ame des pannes, comment les justifiez vous ? Merci Salutations

Bonjour, quelques petites questions utiles pour dimensionner une structure métallique de type portiques superposés : * concernant le dimensionnement des poteaux : - en l' absence de dispositifs anti-flambements, quelle longueur de flambement hors plan prenez vous dans le cas d' un poteau continu au dessous et au dessus du niveau considéré ? Lf = hauteur d 'étage? ou bien Lf=0.7h en considérant une continuité ? - en l' absence de dispositifs anti-déversements, quelle longueur de déversement prenez vous dans le cas d' un poteau continu au dessous et au dessus du niveau considéré ? Ld= hauteur d 'étage? ou bien Ld=0.7h en considérant une continuité de la semelle comprimée ? * concernant les poutres porteuses des planchers simplement appuyées: - faut-il toujours prévoir des raidisseurs aux appuis ? * concernant les pannes : - il est d' usage de considérer que la semelle supérieure ne peut déverser car elle est bloquée par le bac acier, faut il produire des justifications particulières du bac pour valider cette hypothèse ? - pour les pannes montants de poutre au vent , quelle longueur de flambement dans le plan du versant prendre en compte ? peut on tenir compte du blocage par le bac acier étant donné que ce blocage est excentré par rapport au centre de gravité de la panne ? Merci Salutations

Bonjour, On s' aperçoit donc que pour le cas pourtant très courant de portique à traverse brisée, il est très difficile de fixer la longueur de déversement de la traverse en l' absence de bracons anti-déversement. Donc je complète ma question : à partir de quelle pente considérez vous que la traverse est " suffisamment brisée" pour retenir LD=6/cos alpha ? Merci Salutations

Bonjour et merci M. Demeusy, Donc si je vous suis bien, on considère le moment sous le gousset pour dimensionner le poteau. Mais est-ce une habitude, une tolérance, une approximation ? autrement dit, sur quelles bases théoriques (ou règlementaires) se base-on pour justifier de ne pas prendre le moment à l'épure (en général plus élevé) mais le moment sous le gousset ? je note qu'il est difficile de connaître la répartition exacte des contraintes sur la hauteur de l'assemblage... Par ailleurs et concernant le déversement de la traverse, quelle longueur de déversement doit-on considérer pour dimensionner la traverse d'un portique à double versant (à 2 pentes) sous moment négatif (semelle inférieure comprimée) en l'absence de point fixe anti déversement ? Salutations

Bonjour, Pour les spécialistes en construction métallique et aussi pour les autres : peut on dimensionner un poteau d' une structure métallique avec les sollicitations déterminées sous le gousset (de la traverse) au lieu des sollicitations dans l' épure (noeud poteau/traverse) ? dans un souci d optimisation ... Salutations

bonjour, oui Salutations

Bonjour, suivant quelle norme ? Salutations

Bonjour, ce point est important, en fait un tel dallage (comportant les liaisons "parasismiques") relève toujours du DTU 13.3 mais il faut obligatoirement le considérer comme dallage "armé", il comporte donc un % minimal d armatures indiqué dans la norme. Prévoir de faire participer le dallage dans les liaisons de fondations implique donc un ferraillage minimum sur l ensemble de sa surface. Attention donc à la quantité d armatures ! Salutations

Bonjour mina, bibliographie : http://logiciels-batiment.chez-alice.fr ... hie.htm#La construction en zone sismique cours en ligne : http://www.enpc.fr/fr/formations/ecole_ ... /index.htm Salutations

Bonjour, En résumé: * cas statique : on peut utiliser un module quelconque si on recherche uniquement les sollicitations, attention il faut également que la structure comporte un seul type de matériau (un seul module Young), si vous avez des bétons de résistance différente ou une structure béton/métal par exemple alors vous devez rentrer un module réaliste * cas dynamique: il faut utiliser un module dynamique, je maintiens que la fissuration peut être prise en compte en réduisant ce module (voir Eurocode 8 par exemple) pour les autres cas : recherche des flêches, dilatation, fluage ... alors le problème n est plus celui du module mais plutot celui du modèle, les logiciels éléments finis sont ils adaptés ? préférez les méthodes règlementaires simplifiées Salutations

Bonjour, Il faut faire le calcul statique et le calcul dynamique sur des fichiers différents Salutations

Bonjour, je suis aussi intéressé par la méthode push over, qui va devenir la méthode de référence pour l analyse sismique des batiments existants. j apporte une première contribution, attention, lire d abord la conclusion de la page 76 http://imacwww.epfl.ch/Team/Lestuzzi/Se ... horens.pdf. http://imacwww.epfl.ch/Team/Lestuzzi/Se ... orsais.pdf Salutations

bonjour Khaled, vous avez deux choix : * règlementaire : il n est pas interdit d avoir un premier mode de torsion, du moment que vous prenez en compte l' ensemble des sollicitations et déplacements issus de votre calcul modal. Vous n êtes pas tenu de surdimensionner les poteaux * "parasismique" : en conception parasismique, il n est pas bon d avoir un premier mode de torsion, signe d une sensibilité de la structure à la torsion, la torsion d ensemble est à minimiser dans les grands principes parasismiques . dans ce cas, il faut essayer d améliorer le comportement dynamique de votre batiment en jouant sur l adjonction (ou le déplacement) d éléments de contreventement (murs) pour réduire l excentricité structurale et augmenter la rigidité de torsion; il faut essayer d obtenir un premier mode de translation Il est évident que mon choix va vers la 2° solution ! Salutations

Bonjour, , Avez vous des informations sur le "quand" de l arrivée de l' EC8? Voilà une excellente disposition de l EC8, fini les voiles qui s appuient sur des poutres ou des dalles, le règlement va nous aider à convaincre les architectes d éliminer certaines structures nocives en zone sismique! Salutations

Bonjour M Demeusy, Où trouvez vous cette valeur ? pourquoi pas 45° ? s agit il de l angle par rapport à la direction du cordon ou bien celui par rapport à la direction perpendiculaire au cordon ? Merci et Salutations

Bonjour, voir ce que dit l aide : colonne Gamma - la rotation du convoi autour de l’axe vertical peut être effectuée ; par conséquent, la position des forces sera changée (par contre, leurs directions ne sont pas modifiées) ; la rotation est définie par l’angle gamma dont la définition est la même que dans le cas de la définition de l’angle gamme à l’occasion de la description des caractéristiques des éléments de type barre. salutations

Bonjour, ce sont des coefficients qui multiplient les charges des roues pour créer des charges verticales ou horizontales voir ci dessous ce que dit l aide : colonne coeff. VG - coefficients pour de la force verticale (V) à gauche ; il permet de multiplier la valeur de la charge (par exemple, une force concentrée), de façon qu’on puisse obtenir la valeur réelle (de calcul) de la charge · colonne coeff. VD - coefficients pour la force verticale (V) à droite ; il permet de multiplier la valeur de la charge (par exemple, une force concentrée), de façon qu’on puisse obtenir la valeur réelle (de calcul) de la charge · colonne coeff. HG - coefficients pour de la force horizontale transversale (H) à gauche ; il permet de multiplier la valeur de la charge (par exemple, une force concentrée), de façon qu’on puisse obtenir la valeur réelle (de calcul) de la charge (charge horizontale perpendiculaire à la direction de la route) · colonne coeff. HD - coefficients pour la force horizontale transversale (H) à droite ; il permet de multiplier la valeur de la charge (par exemple, une force concentrée), de façon qu’on puisse obtenir la valeur réelle (de calcul) de la charge (charge horizontale perpendiculaire à la direction de la route) · colonne coeff. LG - coefficients pour la force horizontale longitudinale (L) à gauche ; il permet de multiplier la valeur de la charge (par exemple, une force concentrée), de façon qu’on puisse obtenir la valeur réelle (de calcul) de la charge (charge horizontale parallèle à la direction de la route) · colonne coeff. LD - coefficients pour la force horizontale longitudinale (L) à droite ; il permet de multiplier la valeur de la charge (par exemple, une force concentrée), de façon qu’on puisse obtenir la valeur réelle (de calcul) de la charge (charge horizontale parallèle à la direction de la route). Robot ne sait pas les calculer directement, déterminer les à la main puis vous faites le produit, ensuite vous les mettez dans VG et VD. oui vous pouvez afficher les positions que vous souhaitez Salutations

Bonjour keraz, je ne le pense pas, pour le calcul sismique vous devez prendre un module dynamique pour le béton (à court terme), éventuellement réduit pour la fissuration; alors que pour le calcul statique, il faut prendre un module qui tienne compte du fluage (donc à long terme à priori). oui si vous faites comme indiqué ci avant pour les déplacements, il faut vérifier que votre logiciel ne divise pas par le coefficient de comportement Salutations

Bonjour, Que l on considère le séisme comme ELU sismique ou ELU accidentel est peu important, je pense que le point important est l aspect phénomène dynamique, lors du séisme, le sol par lequel arrive les ondes sismiques présente des caractéristiques différentes de l état habituel; donc je ne vois pas comment considérer une partie statique puisque la structure devra résister à l ensemble des charges dans une configuration particulière imposée par le séisme. oui vous avez raison, la valeur de Vs qui interviend au carré semble trop faible ce qui donne un K dynamique < K statique, assez inhabituel; j ai déjà expliqué précédemment les raisons de ce choix. Tout à fait d accord, sans éléments plus précis sur les caractéristiques dynamiques du sol, il n est pas utile de faire trop de calculs en fourchette. Salutations

Bonjour à tous, absolument, il y avait une grande part d arbitraire en l absence d éléments précis sur le comportement dynamique du sol (par le géotechnicien), j ai retenu une valeur faible de K sismique mais je ne suis pas sûr d être toujours enveloppe... si les sollicitations sont proportionnelles aux actions, cela revient au même. je ne comprends toujours pas votre distinction entre partie statique et dynamique à l intérieur d une même combinaison (ELU "sismique"). Je crois qu il faut utiliser des valeurs de K dynamiques dans tous les cas. Experts de l ISS, donnez votre avis pour nous "départager" ! effectivement, j ai procédé de la même manière qui n est pas vraiment satisfaisante sur un plan théorique: calcul avec une structure parfaitement encastrée et calcul du radier en utilisant l ISS, normalement il faudrait aussi en tenir compte pour tout le calcul sismique. 100 % avec vous, Monsieur Pecker pourrait par exemple nous donner quelque explication sur la MAGNIFIQUE formule de la capacité portante des fondations de l Eurocode 8 !!! Salutations