BELLAMINE

Bonjour Si tu peux nous montrer quelques photos pour avis d'Expert Cordialement

Bonjour samideqlqpart Comme vous l'avez dit : Voilà pour être plus précis il s'agit de voile périphérique sous poussée de terres, le voile sera inclus dans un cadre formé par les deux poteaux, longrine, et semelle filante. Il s'agit donc d'un mur de soutènement !!! Les poteaux d'extrémités eux aussi sont sollicité par la poussée des terres et se déforment en parallèle avec le voile de liaison. La modélisation de cette liaison en un encastrement parfait ou appui simple du voile risque de provoquer l'instabilité de l'ensemble du voile périphérique !!! Donc la méthode la plus simple et courante est de modéliser le voile périphérique par un mur de soutènement en 2D. Etude de stabilité etc...

Bonjour Oui par ultrason c'est le seul moyen. Mais il faut attendre l'age de 28j Cdt

Bonjour Les méthodes forfaitaires prennent en considération des coefficients de sécurités valables pour un ensemble de cas particuliers. Les cas spécifiques sont traités à part. Si votre cas entre dans la gamme des cas particuliers des méthodes forfaitaires préconisées, il faut mieux utilisé ces méthodes forfaitaires (c'est le chemin le plus cours). Dans le cas contraire, il faut passé par un calcul détaillé (généralement par des logiciels ou une feuille de calcul Excel) en prenant en considération la rigidité de l’ossature proprement dite. L'inconnu du problème est le calcul de la déformation (flèche) càd l'évaluation de la matrice de rigidité de l'ossature ou élément d'ossature. Bonne journée

Bonjour 1 - Il faut connaitre la résistance du béton au décoffrage fixée et préconisée par le bureau d'Etude hauteur de la note de calcul BA; 2 - Viser un age du béton au décoffrage et ajuster le % d'adjuvant accélérateur de prise en conséquence en tenant compte des recommandations de la fiche technique du fabriquant du produit d'adjuvant utilisé et des contraintes de mise en oeuvre in situ ; Le procédé du béton chauffé est généralement utilisé en usine de préfa et rarement in situ : coût élevé par rapport à la variante accélérateur de prise. Si le % d'accélérateur de prise vue l'age du béton visé au décoffrage ne donne pas satisfaction. Généralement un surdosage en ciment ou l'utilisation d'un ciment plus résistant résoudra le problème. Bonne journée

Bonjour Portée de la travée isostatique équivalente : cas des ponts dalle hyperstatiques pour de plus amples détailles :

Bonjour La masse modale c'est la masse équivalente correspondant au mode de vibration d'une structure (harmonique : l'un des termes de développement en série de fourrier). C'est la masse fictive à la fréquence de vibration du mode correspondant. Elle est donc variable au sens mathématique et non physique du terme proprement dit. https://fr.wikipedia.org/wiki/Masse_modale

Bonjour

Bonjour breton2250 Oui si vous prenez la convention de signe RDM : Le moment est négatif s'il a tendance à décomprimer la fibre supérieure et positif dans le cas contraire. Par contre si vous choisissez une convention de signe liée à un repère global de votre structure : par exemple moment positif s'il a tendance à s'orienter au sens inverse des aiguilles d'une montre. La condition d'équilibre du nœud constituant l'appui j est telle que la somme des moments à gauche et à droite de l'appui j est nulle. Donc MGj = -MDj. La formule citée par hsourou2 est bien celle qui figure au document PSIDA EL du SETRA relative aux ponds dalles à travées continues. C'est très facile à démontrer pour des travées continues sur appuis simples. Il suffit de faire l'égalité entre la flèche à mi-travée de la travée isostatique équivalente de même inertie avec celle de la travée hyperstatique en prenant en considération l'effet des moments sur les appuis de gauche et de droit (Mi,j et Mi,j+1) de cette dernière. Les deux travées sont bien sur uniformément chargées par une charge unité. Cette égalité traduit la condition de compatibilité de déformation entre le modèle travée isostatique équivalente et la travée continue. La portée de la travée isostatique équivalente ne sert que pour évaluer les coefficients de répartition transversale de Guyon-Massonet . Le reste du calcul de la dalle se fait comme une poutre continue. Et tu as raison si on suit le même résonnement sus visé c'est la même formule. Il suffit de noter Mi,j = MG et Mi,j+1=MD. Mais le calcul de MG et MD ne se fait pas de la même manière que celui sur appuis simple d'une travée continue !!!! Merci pour votre motivation

Bonjour tidi44 Voici une méthode numérique qui vous permettra de calculer la rigidité d'une pile quelque soit sa forme géométrique. Et c'est d'ailleurs la méthode numérique utilisée par la plus parts des concepteurs des piles d'ouvrage d'art. Elle consiste à discrétiser de bas en haut votre pile par tronçons où chaque tronçon est supposé d'Inertie constante (plus la discrétisation est fine plus votre résultat est précis). Pour cela, vous prenez la moyenne d'Inertie de la section d'indice i et i+1 du tronçon i notée Ii. Donc pour i=1 to n vous allez calculer I1.....In. La flèche sous une charge unité (P=1) en tête d'un poteau à inertie variable par tronçon est : La rigidité est égale à 1/f(P=1) Bon courage

Bonjour Le sujet est très important. Mais il y a des points d’arrêt à maîtriser avant d'entamer la discussion proprement dite à savoir : 1 - On se réfère à une formule dite de ERNST pour faire des interprétations sur le choix de la variante d'ouvrage la plus économique au delà des 300m. Trés bien, Mes questions : Quelles sont les hypothèses et les conditions aux limites pour lesquelles cette formule a été élaborée par son hauteur ? S'agit il d'une formule analytique ou d'une formule empirique basée sur des résultats de l'expérience sur modèle réduit ? Pour quel type de variante d'ouvrage cette formule a été proposée par son auteur ? Peut on extrapolé ou utilisé cette formule pour les deux variantes d'ouvrages ? 2 - La formule en question prend elle en considération l'effet dynamique de vibration particulièrement des ponts suspendus qui généralement (l'effet dynamique) est étudier expérimentalement sur modèle réduit spécifique à chaque cas de figure. Donc, un surcoût à prendre en considération pour l'aspect dit économique ou pas ? A vous lire

Bonjour hzourou2 La formule que vous avez proposée est spécifique pour les ponts dalles à travées continues. Pour les travée continues le moment sur un appuis hyperstatique est le même à gauche et à droite mais de signe différent (équilibre du nœud). Pour un portique ce n'est pas la même chose. Il y a un guide du SETRA pour le calcul et le dimensionnement des ponts cadre portique...

Bonjour FRIDJALI C'est une formule qui donne le taux de travail (contrainte admissible) d'un sol de nature rocheux en fonction des résultats d'essais de compression sur carottes extraites. On l'appelle chez nous "Formule de Weibull" par hazard OuAllahou A3lam

Bonjour Pour évaluer les valeurs à long terme, les résistances en compression obtenues sont divisés par un coefficient de correction qui vaut : 2 pour la craie; 3 pour le gypse et 1.2 à 1.5 pour des calcaires compacts On parle de formule de Weibull, mais de quoi il s'agit et d'où elle vient à mon niveau j'ai cherché mais j'ai rien trouver dans la littérature? Google non plus. Mais comme on dit ne casse pas la tète : pour un grès calcaire vous pouvez prendre comme taux de travail 2,5bars en ELS et 3.25bars en ELU

Les sujets d'innovation et de recherches scientifiques sont plus intéressants que les sujets d'études courantes pour les PFE !!!

Bonjour Sidamed Faire un projet de fin d'étude sur des structures complexes en utilisant des logiciels prés à l'emploi à mon avis n'est pas intéressant. Tout simplement parce que vous allez agir comme un consommateur de produit. Vous allez utilisé des gadgets de logiciels qui font des calculs d’ingénierie en arrière plan. Et c'est ce qui se passe en arrière plan qui est intéressant pour un travail de fin d'étude!!! Proprement dit, la travail que vous allez présenté et celui de l'auteur du logiciel mais pas le votre!!! Ou alors vous allez de la publicité d'un logiciel gratuitement pour son auteur ... De préférence, il faut choisir des sujets simples et pertinents qui reflètent un effort personnel du candidat Bon journée

Bonjour breton2250 Comme j'ai dit via mon message, vous pouvez décoffrer à 7 jours mais sous réserve d'atteindre la résistance dite au décoffrage fixée par la note de calcul du BET. Le coefficient d'évolution du ciment sans ajouts (généralement dit coefficient d'évolution du béton) càd le rapport entre la résistance obtenue à 28j et celle obtenue à 7j est compris entre 1.45 et 1.55 Pour votre Béton CEM 1 52,5 N 324Kg ciment/m3 : ce rapport est de 1.21; ce la veut dire que le ciment a évolué rapidement entre 0 et 7j comparativement à une évolution normale sans ajouts. Donc, il y a un ajout d'un adjuvant accélérateur de prise dans votre composition du béton!!! Quant au Béton pour pieux, ce coefficient est de 1.66 et ça prouve l'effet d'un retardateur de prise et comme vous lavez dit : bonne résistance aux sols agressifs,prise lente!!! C'est la composition du béton qui est déterminante pour atteindre l'objectif visé Cordialement

Bonjour Si pour mettre en danger l'état de santé des gens et de polluer l'environnement l'utilisation du souffre est à proscrire. Le bon homme sur la vidéo ne porte même pas un masque de protection et c'est dommage. Rien que la vidéo de publicité de la rectifieuse fait plus que 3mn ! et pour une seule face des 3 éprouvettes !!!! c'est une machine robuste mais trop chère. Utile pour un laboratoire de recherche scientifique, mais je ne pense pas que son rendement est intéressant pour un laboratoire serviteur des prestations techniques sur chantiers. Et je complète pour notre camarade FRIDJALI : vous avez parlé de la l'importance de la résistance du souffre. Oui mais pas forcément. Si c'était vrai, que peut on alors dire des plaques néoprènes ? c'est un caoutchouc souple et non rigide comparativement au souffre et plâtre !!! Il faut mener une recherche pour inventer une machine simple et non coûteuse utilisant du plâtre. Cordialement

Bonjour Mr FRIDJALI J'ai dit : pour valider ce principe vous pouvez faire des essais au souffre et au plâtre et comparer et vous allez voir ! sous réserve d'utiliser un plâtre de bonne qualité. Et Merci pour votre motivation

Bonjour Le soufre est toxique même en utilisant des masques et des aspirateurs pour protéger l'opérateur. Mais il faut prendre aussi en considération la question de l'environnement et le voisinage. L'opérateur est protégé mais la pollution de l'environnement et le voisinage càd l'entourage : Quoi faire ? Et c'est la raison pour laquelle la machine rectifieuse a été inventée. Toute fois, il y a un inconvénient pour ce moyen qu'est la rectifieuse des éprouvettes (et d’ailleurs très cher pour son acquisition) . Donc, à part son coût d'investissement, Imaginer que vous avez une cinquantaine ou une centaines d'éprouvettes à l'essai... vous allez passé peut être une semaine à rectifier vos éprouvettes pour réaliser tous les essais et tardivement en plus... Il y a un autre moyen normalisé et utilisé par les chinois : il consiste à utiliser du plâtre! Et comment ? 1 - Se doter de lames de verre de dimensions carrée 25x25cm et de 4mm d'épaisseur minimum et d'une réglette à niveau 2 - préparer des gâchées de plâtre au fur et à mesure 3 - verser une quantité de plâtre sur les facettes de l'éprouvette (une après l'autre) exercer une pression sur la quantité de plâtre versée manuellement en utilisant les lames de verre et la réglette à niveau 4 - attendre environ 5 minutes jusqu'à la prise du plâtre et soulever les lames de verre progressivement. Et voila, un état de surface plane et lisse Vous allez peut avoir des difficultés au début de cette manip. Mais comme on dit et avec le temps : en forgeant vous allez devenir un bon forgeron ! Et pour valider ce principe vous pouvez faire des essais au souffre et au plâtre et comparer Bonne journée

Bonjour Un bâtiment en R+1 qui était avant à usage d'habitation je pense et par la suite le propriétaire veut l'utiliser pour un usage d'enseignement. Quelle démarche alors à suivre pour menée une étude de faisabilité ? 1- s'il n'y pas de plans (coffrage, etc...) et même s'ils existent un diagnostic structurel instrumenté (Expertise de reconnaissance structurelle) est conseillé pour recueillir les données nécessaires à cette étude de faisabilité, 2 - En parallèle à ce diagnostic, il faut prévoir un essai de chargement d'un planchez témoin du bâtiment en prenant en considération les nouvelles charges d'exploitation projetées. Cet essai de chargement renseignera sur le comportement réel (rigidité réelle) des planchers qui recevrons les nouvelles charges d'exploitation vis à vis des recommandations de limitation des flèches. 3 - Ne pas oublier de faire des sondages de reconnaissance pour relever le type de fondation et la nature du sol d'assise !!! Et je ne pense pas que le RPA 2003 impose des dimensions de poteaux, poutres ... pour un R+1 (ces dimensions sont déterminées et justifier par le calcul de structure et en BA). Le parasismique est conseillé quant la hauteur du bâtiment dépasse une certaine limite. Mais ceci n’empêche pas de faire des vérifications de diagnostic in situ par auscultation magnétique (pachomètre) des armatures d'effort tranchant au niveau des jonctions poteaux-poutres qui généralement sont les endroits de génération des rotules plastiques lors des secousses sismiques et sa dépend de la zone de sismicité ou se trouve la bâtisse. Bon courage

Bonjour Cet essai est normalisé par les documents suivants : NF P 94-070 et NF P 94-074. Si vous ne pouvez pas arriver à télécharger ces documents sur le Net vous pouvez les demander auprès de votre formateur. La remise des documents en relation fait partie aussi du programme de formation je pense ? Bon courage

Bonjour Le délai de décoffrage est fonction de la résistance du béton au décoffrage généralement fixée par le BET auteur du projet de structure en BA. Décoffré un tablier de pont à 7 jours ce n'est pas évident !!! sauf si vous utilisez des ciments spéciaux à haute résistance à jeune âge ou des accélérateurs de prises pour atteindre la résistance de décoffrage à 7 jours Et quel genre de tabliers de ponts (à poutres préfabriquées, dalle coulée sur place ...) ?!! Cordialement

Bonjour Si je vois bien vous parlez de l'effet du gradient thermique càd la différence de température entre deux parements d'un élément de structure en BA (les dalle terrasses de bâtiments et ponts dalle hyperstatiques par exemples). Le gradient thermique engendre des efforts supplémentaires généralement prises en considération par les logiciels de calcul (et il faut s'en assurer !!). Par contre les joints de dilatation ou de rupture c'est un autre phénomène inévitable, et il n'y a aucune solution pour les proscrire. Parce qu'il est relier au retrait du béton à jeune âge. Donc un élément de structure en BA (les voiles particulièrement) d'une longueur supérieur à 15m se fissurera forcément. la réponse de djamelnagh est pertinente !!!! Et bon courage

Bonjour C'est une formation très intéressante. Tu fonce ... Appliquer logiciel Excel pour le traitement des résultats de l'essai c'est juste une feuille de calcul Excel avec des graphiques et peut être des macros en VBA. Très facile à faire soit même si vous êtes familiariser avec l'outil Excel et la programmation en VBA. L'essentiel est de savoir et d'apprendre les démarches et précautions à suivre pour la réalisation de cet essai. Généralement cet essai commence à être rarement utiliser en géotechnique car il pénalise les études de projets du point de vue temps et coût de l'essai. Le pressiomètre de Menard est plus efficace et rapide et renseigne les lois de comportement des sols in situ et à des profondeurs à pas de 1 à 1.50m. Mais pour les études de contraintes admissibles à court terme : le tri axial fait foi !! Cordialement