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BELLAMINE

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Tout publié par BELLAMINE

  1. Bonsoir Un lien à toutes fins utiles https://www.researchgate.net/publication/295667186_Evaluation_du_potentiel_de_liquefaction_du_sol_d'assise_de_cinq_ponts_Strategiques_dans_la_wilaya_de_Chlef_Algerie Attention : pour le SPT, N est le nombre de coups pour un enfoncement de 30 cm !!!!!!! selon graphiques de corrélations des courbes de base simplifiées d'après SEED Cordialement
  2. Bonjour Ici vous exposez une question D'HOMOGÉNÉITÉ de la section d'armatures avec celle du béton ! Rien ne vous empêche de prévoir 2 files au lieu de 3. Mais de préférence, et compte tenu du principe d'homogénéité sus cité. Plus vous avez la possibilité de faire autant de files réparties sur toute la largeur de votre élément de structure, en respectant l'épaisseur d'enrobage, l'espacement entre les files (pour faciliter le serrage du béton à la mise en œuvre), le diamètre minimal des barres etc ... c'est encore mieux. Cordialement
  3. Bonsoir Personnellement je pense que c'est faisable sans longrines longitudinales. Toutefois, faut prévoir un chaînage longitudinale entre les poteaux au dessus du plancher en bois sur les murs porteurs en maçonnerie. الله يسر الأمور تحياتي
  4. Bonsoir Oui effectivement, mais par prudence cela n'empêche pas de faire un fruit des deux côtés. La théorie des murs de soutènement est délicate. Il y en a si j'ai une bonne mémoire 6 méthodes d'approche selon chaque auteur (Boussinesq-Flamant, Résal, Rankine, Caquot, Coulomb et Reimbert) Je t'invite pour de plus amples détails à consulter l'ouvrage de A.GUERRIN "Traité de béton armé, murs de soutènement et murs de quai" L'auteur de l'ouvrage présente son étude comparative entre les 6 approche sus citées. Cordialement
  5. Bonjour Épaisseur des murs porteurs ? Et qu'es ce qu'il y a derrière ces murs : du vide ou la terre ? Et pour voir plus clair, un dessin ( même à main levée) plan+coupe de l'existant avec indication des longueurs, largeurs, hauteurs et épaisseurs ... A vous lire...
  6. Bonjour Liens à toutes fins utiles Personnellement j'ai deux remarques pour cet exemple comme suit : 1) Pourquoi un fruit du coté aval de l'écran du mur de soutènement ? Un fruit du coté amont est plus avantageux pour donner un plus à la stabilité du mur au renversement !!! 2) La paroi de l'écran du mur de soutènement est à réaliser de préférence par un coffrage rugueux pour mobiliser davantage le frottement entre le sol et l'écran et donner encore plus à la stabilité du mur au renversement. Pour le talus en amont, je pense que c'est juste un schéma de principe pour l'auteur. Cordialement
  7. Bonsoir @Joshman Satisfait ou Non ?
  8. Bonsoir Très bon travail... Une petite remarque "page 73/112 plan d'implantation des pieux" : normalement l'espacement des pieux e (entraxe) est pris supérieur ou égal à 3 fois le diamètre du pieu. Dans votre mémoire vous avez préconisé e <= 3phi sans prendre en considération dans vos calculs de l'effet de groupe des pieux. Je vous invite à consulter le fascicule 62 titre V pour de plus amples détails au sujet de l'effet de groupe des pieux. Bon courage
  9. Bonjour L'examen visuel des photos sous réserve d'une expertise approfondie, en ressort ce qui suit : 1) Il s'agit bien des traces d'oxydation des armatures du béton 2) pour ce genre d'ouvrage le béton est systématiquement rendu étanche par ajout d'un adjuvant hydrofuge lors de sa mise en œuvre. Les traces de rouille apparaissent là ou l'étanchéité du béton est défectueuse, au droit des trous de communication entre l'intérieur et l'extérieur du réservoir. C'est à dire au droit des zones poreuses de la masse du béton mal vibré (ou serré) 3) s'il n'y a pas actuellement de fissures apparentes cela veut dire que la pression de gonflement des aciers par la corrosion n'a pas encore atteint le seuil de résistance du béton sur place à la traction. Ceci dit, la fissuration apparaîtra dans le temps, si les mesures de confortement et de réparation n'ont pas été réalisés en l'état actuel. 4) pour le traitement je pense que la technique du monophluorophosphate de sodium conviend pour ton cas Cordialement
  10. Pour les appuis intermédiaire c'est une évidence. La continuité du moment à gauche et à droite de l'appui fait que ce dernier n'est pas transmis au poteau sous réserve que l'ensemble de la structure n'est pas traité comme un portique. Dans le cas de l'appui de rive jonction console, une partie du moment d'encastrement est transmise au poteau. Le lien que vous avez partagé parle de TIRANTS pour reprendre l'effort de soulèvement, mais ça reste valable pour les structures métalliques ou mixtes indépendamment des structures courantes en béton armé ! Numériquement, vous pouvez traiter comme vous voulez mais sous réserve que cela soit réalisable techniquement sur le terrain et à moindre coût. Cordialement
  11. Bonjour 1) Le soulèvement est une erreur de conception sur les portées des travées des poutres !!! Donc de la position des poteaux qu'il faut revoir pour éviter ce genre de déformation déconseillée professionnellement 2) l'équilibre du nœud de liaison, jonction console - poteau - poutre implique forcément que le moment d'encastrement est envoyé éventuellement au poteau. 3) Dans certains cas, il est impossible de faire autrement, surtout dans le cas d'une console. Le logiciel vous prévient afin que vous traitiez correctement la liaison poteau/poutre. Dans ce cas comment traiter pratiquement la liaison poteau/poutre ? Un plan de détail exécutable sur le terrain est le bienvenu.., Cordialement
  12. Bonjour Donne une capture d'écran de votre plan de coffrage pour recevoir des réponses fiables et compatibles avec ton cas spécifique. C'est le seul moyen pour répondre à votre pb concrètement. A vous lire...
  13. Bonjour J'ai trois remarques pour cette discussion : 1) la dalle en porte à faux avec ou sans suspens est forcément accessible par un moyen d'accessibilité non présenté et non conçu par son auteur. En l'absence de suspens ce moyen d'accessibilité (escaliers) une fois lié à la dalle va donc travailler sous le comportement de déformation de celle ci (la dalle). Donc avant de penser à faire des calculs faut d'abord penser à la conception du moyen d'accès à la dalle et de son monde de liaison avec la dite dalle en porte à faux. 2) en l'absence de suspens les charges d'exploitation dissymétriques (d'un seul côté) en plus du moment qu'elles crées sur les poteaux. Il y a aussi le moment de torsion dans la poutre d'appui à prendre en considération. 3) en zone sismique cette conception que vous voulez concrétiser ne marche pas ! Cordialement
  14. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour Que ce soit une poutre continue à deux travées ou à plusieurs travées. Si le rapport entre la portée de la travée de rive et la portée de la travée adjacente est inférieure à 0,6 ou 0,7 le pb de soulèvement de l'appui de rive persiste. Mais là s'agissant d'un bâtiment contrairement aux ouvrages d'art, faut tenir compte dans votre modèle de calcul les réactions d'appuis apportées par le système des poutres dans l'autre sens, généralement perpendiculaire au plan moyen de la poutre étudiée. Et s'il y a tjrs un soulèvement faut alors agir sur la disposition des poteaux de votre plan de coffrage pour y remédier en satisfaisant la règle précitée. Cordialement
  15. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour je complète, Descente de charge d'un poteau = réactions d'appuis des poutres s'appuyant sur le poteau en question + poids propre du poteau + les charges transmises par les étages supérieurs à l'étage considéré. Et attention ne pas oublier d'appliquer la loi de degression des charges conformément à la norme. Cordialement
  16. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour Vous avez une construction mitoyenne et vous pouvez s'en inspirer moyennant une petite enquête sur le terrain. Personnellement, je pense qu'elle est fondée superficiellement. La présence de nappe ne pose pas de pb sous réserve de tenir compte de sa variation saisonnière et éventuellement le pb d'agressivité à analyser par un laboratoire qualifié. Donc au pire des cas une fondation par radier général sous réserve d'une étude géotechnique qui tranchera définitivement. Cordialement
  17. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonsoir Je corrige certaines erreurs de language technique en géotechnique survenues dans certains posts de discussion du présent sujet. Tout d'abord le terme fondation en géotechnique veut dire sol + l'élément de structure en contact avec le sol. 1) Dans tout les livres et les normes envigueur de géotechnique on ne rencontre jamais l'appellation "capacité portante du sol". Il s'agit bel et bien de la notion de "capacité portante d'une fondation !!!!". Et ce n'est pas une caractéristique intrinsèque propre au sol car elle dépend des caractéristiques intrinsèques du sol proprement dit et éventuellement des dimensions de l'élément de structure en contact et interaction avec le sol. 2) l'auteur du sujet dans son post parle de classification du sol ensuite entre parenthèses précise (cohésion, angle de frottement). Non ce sont deux notions différentes. La première est relative aux caractéristiques physiques du sol alors que ce qui se trouve entre parenthèses est relative aux caractéristiques mécaniques du sol. Cordialement
  18. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Projets d'étude et PFE
    Bonsoir Pas forcément que le rez de chaussée soit partiellement enterré pour que l'on puisse parler d'un entresol. Ne pas confondre entresol et mezzanine !!! En plus un rdc partiellement ou totalement enterré devient un sous-sol. Le rdc comme son nom l'indique est construit à partir du niveau zéro qui coïncide approximativement (0+1m maximum) avec celui de la chaussée d'où le terme RDC. Cordialement
  19. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour Une charge linéaire proprement dit par unité de LONGUEUR est rarement rencontrée en pratique. Mais étant donné que la longueur d'application de la charge est significativement grande par rapport à sa LARGEUR l'erreur de la considérer linéairement répartie sur sa longueur est significativement négligeable. Donc, il suffit de la diviver par la largeur (la largeur effective d'application de la charge) pour l'avoir en unité de surface.
  20. Bonsoir Oui mais là une question se pose : Avant la découverte de Newton (accélération de la pesanteur, l'histoire de la pomme). Quelle était l'unité de mesure de la force par nos ancêtres ingénieurs ? ...
  21. Bonsoir fantômasse Effectivement j'ai dû confondre l'unité de vitesse avec celle d'une charge repartie par mètre linéaire. C'est pas grave je corrige mon erreur. Une masse de 1kg en chute libre est soumise à une force de 1kgf = mg = 1kgx9,81m/s^2 ~ 10Newton V en m/s donc C est forcément en kg/s Une masse par seconde ?!!
  22. Pour vous orienter à comprendre le thème de votre TIPE. Je vous propose la réalisation l'expérience suivante : 1) relier solidairement une masse m de forme sphérique à une tige métallique de longueur L (par soudage par exemple) 2) pour une deuxième tige idem 1) (masse et longueur), ajouter un ressort (en y introduisant la tige ) de raideur K en le fixant en bas de la tige en situation telle qu'il soit comprimé (énergie potentielle du ressort) 3) fixer les deux oscillateurs obtenus solidairement sur une table 4) exciter les deux oscillateurs en donnant aux masses à l'extrémité la même flèche et relâcher les. Et regarde le temps que les deux oscillateurs vont faire pour revenir à leur état d'équilibre statique.
  23. Bonjour Je vous souhaite la bienvenue sur ce site, malgré tout... Une petite remarque si cela ne vous dérange pas bien-sûr (Pas de pb ?) : Une constante normalement est une grandeur sans dimensions où alors si elle a une dimension, elle est donc fonction de qq chose. Exemple le module d'Young, une constante qui dépend de la nature du matériau. Donc logiquement parlant, si C.V est une force exprimée en [t] alors C est forcément une constante exprimée en [m]. Elle dépend de quoi la constante C ? Normalement le TIPE se base sur des mots clés qui peuvent traiter plusieurs variantes de thèmes. Mais là le thème est déjà figé et cela n'empêchera pas que des étudiants prennent des éléments et des données d'autres étudiants. Merci
  24. https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://pastel.archives-ouvertes.fr/tel-01291427/document&ved=2ahUKEwjN5O_qhMD8AhWKBcAKHW7zCCkQFnoECAoQAQ&usg=AOvVaw3jeuFCob7rXp30IwYQIZjy
  25. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonsoir D'autres remarques importantes : 1) il serait bon et ça va dans le sens de la sécurité de l'ouvrage de refaire un calcul des pieux sans tenir compte du frottement latéral et de voir qu'es ce que ça donne en résistance de pointe 2) les pieux doivent être ancrés au minimum de 0,5m dans la marne compacte rocheuse 3) l'horizon de la marne compacte rocheuse en profondeur est généralement pas tout à fait horizontal ! Les sondages de reconnaissance ne sont que des points ponctuels sur la surface de construction du bâtiment. Donc à l'exécution, le geotechnicien en coordination avec l'entreprise des travaux doit faire la réception de fouille de chaque pieu confirmée par un PV signé contradictoirement avec l'entreprise avec la mention que l'ancrage minimum de 0,5m dans la marne compacte rocheuse est atteint et la fiche du pieu est de 12,5m. Donc pendant la phase d'exécution il faut s'attendre à un travail de retour en fonction des données relatives à chaque emplacement de pieu Cordialement