Tout publié par BELLAMINE
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calcul de flèche avec expert BA
Bonjour Vous n'avez pas à saisir ou introduire les moments. Ils sont calculés automatiquement à partir des données du pb à savoir : ** lo, q et P ** les dimensions de la section de la barre en porte à faux ** les données des caractéristiques du matériau de la barre en porte à faux. Ici pour cette petite application le béton ** la valeur au dénominateur de la flèche admissible (500 ou autre : généralement 500 pour une console) Une fois ces données sont introduites click sur l'onglet "calculer". L'application calcul les sections As1 et As2 pour que la flèche calculée reste inférieure à la flèche admissible. Cordialement
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Gros béton
Re bonjour Ici vous avez un pb incompréhensible concernant la valeur de la contrainte admissible donnée par votre laboratoire pour une profondeur d'ancrage de 9,5m ! En effet, la contrainte admissible est donnée par la formule suivante à savoir : qad =(qu-qo)/F + qo avec qo=gama.h , gama en moyenne vaut 1,8t/m², h : proprofondeur d'ancrage de 9,5m ce qui donne qo = 17,1t/m²=1,71bars ce qui représente 87% ?! de qad préconisée par votre laboratoire à savoir 1,97bars. Maintenant calculant qu à partir de la formule précitée pour un coefficient de sécurité F=3 à ELS On a tout calcul fait : qu = F(qad -qo)+qo = 2,5bars ! Quelle est la coupe lithologique du terrain ? ....
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Gros béton
Bonjour Pourquoi vous avez opter pour des semelles ? Pour les calculs et les justifications je t'invite à lire la partie des fondations semi profondes du fascicule 62 titre V ou alors l'EC7 Cdlt
- BALCON
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Gros béton
Bonjour Il est tjrs possible de passer par un béton cyclopéen... Cdlt
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Gros béton
Bonjour Vous avez deux étapes de calcul à entamer : Premiére étape : partie géotechnique, justification de la portance du sol sous le gros béton, Deuxiéme étape : partie BA, justification de la semelle au dessus du gros béton Cdlt
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poinconnement
v=0,6(1-25/250)=0,54 D'où vRd_max=0,5*0,54*16,67=4,5Mpa = 45bars=45kgf/cm²=450N/cm²=4500KN/m² Pour le premier calcul vEd 0 = β VEd /(u0d)=1 x 5/ (1.4*0.09)=40KN/m2 Le calcul numérique des formules présentées est juste. Mais la différence est considérablement importante Je t'invite à revoir les formules de justification car on voit clairement dans votre démarche de calcul que l'épaisseur de la dalle n'intervient pas!!!!!!
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poinconnement
Bonsoir uod = ? fck = ? fcd = ? β = ?
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Différence entre facteur partiel et facteur de réduction
Non ce n'est pas la même chose. Ils n'ont pas le même rôle. Je prend un exemple : La contrainte de compression dans la partie comprimée d'une section en béton est prise égale à 0,85fck/gama_c avec fck : résistance caractéristique du béton gama_c : coefficient de sécurité selon l'état limite de combinaison d'actions
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Différence entre facteur partiel et facteur de réduction
Bonjour Les coefficients de pondération des charges "coefficients partiels" en combinaisons d'actions sont des valeurs caractéristiques issues d'une étude de probabilité pour laquelle on accepte un risque de 5% sur les valeurs des charges pondérés. Par contre les coefficients de réduction sont des coefficients de sécurité. Aucune relation entre les deux car il s'agit de deux notions totalement différentes. Cdlt
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Remblai de grande hauteur
Bonsoir Le laboratoire se contredit : il fait mention dans ces recommandations au compactage manuel et en même temps l'utilisation d'un remblai argileux. Hors plus un remblai est argileux (IP<15) plus l'énergie de compactage est considérable et cela nécessite un compactage mécanique contrairement à un compactage manuel. Un sable propre qui se compact facilement et hydrauliquement en présence d'eau sans la possibilité de faire des essais de compacité in situ n'arrange pas le laboratoire du point de vue activité et chiffre d'affaire ...
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Différence entre facteur partiel et facteur de réduction
Concernant quel sujet ?
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Remblai de grande hauteur
Bonjour Le sable est utilisable en remblai. Il présente l'avantage d'être facilement serré en présence d'eau (compactage hydraulique). Toutefois les essais de compacité in situ après mise en oeuvre ne sont pas nécessaire et difficilement réalisables pour les raisons suivantes à savoir : ** les parois du trou cylindrique réalisé pour faire l'essai au densitométre à membranes sont tjrs instables (sable propre!). Donc impossible de faire un trou parfaitement cylindrique pour effectuer un essai au densitométre à membranes ! Le seul moyen pour contrôler sa mise en oeuvre et l'essai de plaque ou alors gama densimétre Cdlt
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Calcul effort de freinage par ml sur un dalot 1x(3.50x2.50)
Bonsoir Regarde le fascicule 61 titre II Vous pouvez le télécharger à partir du moteur de recherche Google
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Dalles
Autre point très important à retenir en gardant tjrs le réflex pour le vérifier avant tout recours aux méthodes forfaitaires ou similaires à savoir : Les méthodes forfaitaires ou similaires ont tjrs des limites d'utilisation ! Donc faut tjrs vérifier les critères de validité avant application.
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Dalles
Bonjour Et bien voilà, on ne considère pas que les panneaux sont ENCASTRES ! à leur contour comme il vient dans votre post, mais plutôt SIMPLEMENT APPUYÉ ! Ensuite on applique des coefficients forfaitaires pour tenir compte de la continuité. Ces coefficients ne sont pas déterminer au hasard ! Ils ont fait l'objet d'études de plusieurs cas de figure par la méthode des EF tenant compte de la continuité des panneaux. Rappel du contenu de votre post : "Bonjour nabilaymen! Généralement, peut importe que la dalle soit portée par des poutres ou des voiles, on considère qu'elle est encastrée si à son extrémité il ya continuité d'une autre dalle et que la dalle est articulée si c'est une dalle de rive." Cordialement
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Dalles
Bonjour Bon pour illustrer votre démarche de modélisation en considérant la continuité de la poutre ou dalle au niveau des appuis simples comme un encastrement. Je prend un exemple : Soit une poutre continue à trois travées de 3m-5m et 3m de section rectangulaire 40x30cm en béton B25/30 chargée par une charge uniformément répartie de 1KN/ml Premier cas : en faisant le calcul suivant la méthode classique des poutres continues on a pour la travée centrale de 5m de longueur ** moment fléchissant max à mi travée : 1,32KN.m ** moment fléchissant sur appui de gauche : -1.81KN.m ** effort tranchant sur appui de gauche : -2,50KN Deuxième cas : en considérant la travée centrale encastrée à ces deux extrémités ** moment fléchissant max à mi travée : 1,04KN.m soit une sous estimation par rapport au premier cas de l'ordre de -21,21% !!!!!!! ** moment fléchissant sur appui de gauche : -2.08KN.m soit une surestimation par rapport au premier cas de l'ordre de +15% !!!!!!! ** effort tranchant sur appui de gauche : -2,50KN égalité avec le premier cas car charge uniformément répartie !!!!! On dégage donc avec cette exemple simple que l'ordre de grandeur des erreurs en passant par le deuxième cas (-21,21% et +15%) est intolérable ! Cordialement
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Dalles
Travailler avec une valeur CARACTÉRISTIQUE veut dire que l'on accepte réglementairement un risque de 5% à ne pas atteindre cette valeur à la réalisation. Toutefois, il y a des critères de conformité ! à respecter Une valeur d'essais de contrôle qui ne satisfait pas les critères de conformité normatifs n'entre pas dans la fourchette des 5% du risque que l'on accepte réglementairement et par conséquent elle est déclarée officiellement NON CONFORME.
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Dalles
Bonjour Attention ! à votre démarche de modélisation cela pourrait entraîner des conséquences graves à la réalisation. Les incertitudes relatives au matériau sont prises en compte par la réglementation qui donne des valeurs CARACTÉRISTIQUES ! pour cela + le suivi de la qualité des travaux par un laboratoire. Complications de calcul : ça dans les années 70 et peut être avant mais actuellement avec tous les moyens à notre disposition aucune complication n'est présenté Bonne journée
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Remblai de grande hauteur
Pour un compactage mécanique oui vous avez raison. Dans le cas d'un compactage manuel faut mieux. Mais en général la décision pour stabiliser ou pas en ciment la dernière couche viendra après les résultats des essais de compactage des couches successives. Si les résultats s'avèrent concluants (90% de l'OPM pour les 2,5m et 95% de l'OPM pour les 0,5m restant) pas la peine... Cordialement
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Dalles
Bonjour Dans ce cas on n'aurait pas dû développer la théorie des poutres continues sur appuis simples idem pour les dalles. La continuité n'implique pas un encastrement ! Dans le premier cas la dérivée de la déformée sur appuis est non nulle, dans le cas d'un encastrement elle est nulle. Donc la répartition des efforts dans les deux cas est différente ! Cordialement
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Dimensionnement Une semelle filante Excentre
Re bonjour Alors là déjà nous pouvons dégager les remarques suivantes à savoir : ** Pour l'ELU la justification selon la réglementation devra se faire pour les deux combinaisons d'actions suivantes : fondamentales et accidentelles le cas échéant ** Pour l'ELS la justification selon la réglementation devra se faire pour les trois combinaisons d'actions suivantes : rares, fréquentes et quasi-permanentes ** Normalement (pas forcément) le recours à un ingénieurs géotechnicien pour la justification des fondations est fortement conseillé ! l'ingénieur structuraliste se limite à donner la descente de charge pour les cinq combinaisons d'actions sus citées. Cordialement
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Dimensionnement Une semelle filante Excentre
un lien de discussion à toutes fins utiles : Un document à télécharger Un fichier EXCEL à télécharger Bon courage
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Dimensionnement Une semelle filante Excentre
Bonjour votre dessin ne donne pas les dimensions de la semelle : épaisseur, largeur et longueur éventuellement la profondeur d'ancrage par rapport au TN Qu'est ce qui vous permet de conclure qu'il s'agit d'une semelle filante ?
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Remblai de grande hauteur
Oui un sable propre (sable de mer par exemple) qui se compact en présence d'eau (compactage hydraulique)