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BELLAMINE

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Tout publié par BELLAMINE

  1. Bonsoir @medeaing J'ai bcp apprécier cette terminologie de flexion composée uni-axiale, flexion composée bi-axiale Elle est plus claire et compréhensible que le fait de dire flexion composée et flexion déviée Je pense que c'est une bonne traduction des textes américaines ... Merci bcp
  2. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    Bonsoir @lelab Selon O.Combarieu, il faut plutôt retenir E = k x Em/alpha avec k = 1 à 3 - Lorsque l'on fait des modèles aux éléments finis, avec Plaxis par exemple, il est courant de considérer Eref = 2 x Em/alpha. Selon quel critère la valeur de K est prise ? K dépend de quoi ? de la nature du sol ou autres ? Et pourquoi il est d'usage courant de prendre K=2 ? Quelle est l'incidence et l'erreur si nous prenons un K différent de 2 ? Amicalement
  3. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    L'objectif de cette méthodologie est donc pour calculer le module de réaction et non pour l'évaluation du tassement Non ? Et puisque Kv vaut contrainte (en t/m2) divisée par le tassement (en m) sa dimension est alors en t/m3.
  4. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour Voici un lien de discussion à toute fin utile
  5. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    Non je parle du calcul type éléments finis tel que mentionné dans votre message. L'iteration se fait selon quel argument ? Pour le fascicule, je sais. Il n'y a pas d'iterations. C'est juste la somme du tassement sphérique et déviatorique
  6. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    L'inconnu du pb est l'évaluation du tassement. Comment alors itérer jusqu'à obtenir l'équivalence de tassement ? je n'ai pas compris le processus A vous lire ...
  7. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    Le module de réaction d'un sol est exprimé en t/m3, alors que les modules d'Young ou pressiométrique sont exprimés en t/m2 Pour passer du module de réaction aux modules d'Young ou pressiométrique il suffit de multiplier de module de réaction par la largeur de la fondation ou le diamètre pour un pieu
  8. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Ressources pédagogiques
    Attention ici, je parle d'une plaque parfaitement rectangulaire !!! Si la plaque présente un biais géométrique ou de forme géométrique quelconque. Je vous invite à consulter la notion de biais mécanique et la technique de maillage par EF à toute fin utile.
  9. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Ressources pédagogiques
    Bonjour Quand on fait tourner un vis, sa direction vectorielle de son déplacement est celle indiquée par son enfoncement ou son extraction. Elle est donc parallèle à son axe de rotation. En conséquence à cela, Mxx (flexion de la plaque suivant ou dans le sens "je n'ai pas dit autour !!!" de l'axe des x) tourne autour de l'axe des y et sa direction vectorielle est parallèle à y. Les contraintes produisent par Mxx dans une section d'abscisse x (Sx, Ix) sont perpendiculaires à la direction vectorielle de Mxx, c'est à dire parallèles à l'axe des x et les armatures qui équilibre ces contraintes lui sont éventuellement // Myy (flexion de la plaque suivant ou dans le sens "je n'ai pas dit autour !!!" de l'axe des y) tourne autour de l'axe des x et sa direction vectorielle est parallèle à x. Les contraintes produisent par Myy dans une section d'ordonnée y (Sy, Iy) sont perpendiculaires à la direction vectorielle de Myy, c'est à dire parallèles à l'axe des y et les armatures qui équilibre ces contraintes lui sont éventuellement // Cordialement
  10. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Projets d'étude et PFE
    Un moment de flexion qui tourne autour de l'axe des x sa direction vectorielle est parallèle à l'axe des x et les contraintes sont parallèles à l'axe des y. De même un moment de flexion qui tourne autour de l'axe des y sa direction vectorielle est parallèle à l'axe des y et les contraintes sont parallèles à l'axe des x
  11. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Ressources pédagogiques
    Bonsoir La direction vectorielle des moments de flexion est tjrs perpendiculaire à celle des contraintes qu'ils engendrent dans la section du béton. Quand vous faites un maillage par EF d'une plaque regarde le schéma de distribution vectorielle des contraintes dans la plaque pour déduire la direction des moments de flexion. Le sens des armatures est parallèle à celui des contraintes. Cordialement
  12. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Projets d'étude et PFE
    Bonjour Pour les dalles le ferraillage pour des considérations pratiques est tjrs uniformément répartis en nappes inférieure et supérieure. Ensuite au niveau des appuis et selon les conditions aux limites on renforce les armatures de la nappe supérieure sur une certaine longueur réglementée de part et d'autre de l'appui pour reprendre le moment négatif sur appuis. Si la dalle est biaisée le ferraillage se fait tjrs perpendiculairement à la direction vectorielle du moment. C'est à dire, la facette du béton de la dalle où les contraintes dues au moment lui sont perpendiculaire. L'essentiel, pour enlever toutes ambiguïtés, est de connaitre la direction vectorielle des moments ou des contraintes Et attention à internet, on y rencontre le meilleur comme le pire !!! Cordialement
  13. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Projets d'étude et PFE
    Bonsoir Non, il ne faut pas faire un raisonnement par bande. Impossible à réaliser et coûteux. Le ferraillage dans la partie courante de la dalle dans les deux directions et pour chacune d'elles reste le même après avoir fait les calculs avec Mxxmax Mxxmin et Myymax Myymin. Au niveau des bandes au voisinage des appuis de la dalle. Il faut faire la même chose, mais attention regarde le BAEL ou EC pour comprendre la procédure méthodologique à suivre Selon la convention de signe RDM : moment positif ==> fibre inférieure tendue (nappe inférieure armatures) moment négatif ==> fibre supérieure tendue (nappe supérieure armatures) Si Mxxmax >0 et Mxxmin <0, vous commencez par déterminer les armatures de la nappe inférieure Asinf avec Mxxmax ensuite en tenant compte de la présence des Asinf vous calculez les armatures de la nappe supérieure Assup. De même dans l'autre direction Cdlt
  14. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Projets d'étude et PFE
    Bonsoir Pour chaque point du maillage d'indice j vous avez un Mxxj et un Myyj Dans la direction des x : Mxxmax = Maximum(Mxxj) et Mxxmin=Minimum(Mxxj) et le ferraillage se fait pour une bande de 1ml avec Mxxmax et Mxxmin de même dans la direction des y : Myymax = Maximum(Myyj) et Myymin=Minimum(Myyj) et le ferraillage se fait pour une bande de 1ml avec Myymax et Myymin
  15. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Projets d'étude et PFE
    Bonsoir Pour un calcul manuel, je t'invite à consulter le BAEL 91 R99 ...
  16. Et enfin la couleur de l'herbe est verte Louange à Dieu le vrai bien-sûr
  17. Bonjour @alg-r15 Un document guide de bonne pratique qui pourra te servir à toute fin utile dans la conception est disposition des voiles et éléments de contreventement CHAPITRE3-CONTREVENTEMENTS-2016.pdf Bonne lecture
  18. Bonjour Personnellement, pas d'inconvénients c'est bon Cdlt
  19. Bonsoir Bravo mon cher confrère des compétences comme les votre sont très rares dans ces mauvais temps. Bien à vous que Dieu le vrai Dieu te protège et te facilite le chemin pour ton cursus professionnel. Amicalement
  20. Re bonjour Et pour vous prouvez que je ne suis pas entrain de défendre la position des ingénieurs structure au détriment des ingénieurs géotechniciens : Si le bâtiment se trouve dans une zone non sismique ou de faible sismicité, il y a l'effet du VENT et par conséquent nous avons tjrs un moment et un effort horizontal en tête, qui normalement devront être fournis par la DDC de l'ingénieur structure. Sauf dans des cas rares d'ouvrages d'art, pour le bâtiment nous avons tjrs un élément de structure de redressement (semelle, longrine, etc ...) en tête d'un groupe de pieu ou micropieu. Donc, il n'y a aucune raison valable pour parler des 400T en tête d'un pieu isolé pour justifier que l'affaire de prendre en considération l'excentrement est du ressort de l'entreprise des fondations "spéciales". Cordialement
  21. Bonjour Sérieusement parlant, si on s'amuse à lancer la balle entre ingénieurs géotechniciens et ingénieurs structure pour une simple opération de multiplication d'un effort normal par un excentrement dans les tolérances normatives que tout le monde peut faire, en disant "pour les bâtiments classiques le géotechnicien a essentiellement des DDC verticales centrées". A quoi bon alors, de penser à une coordination constructive entre ingénieurs géotechniciens et ingénieurs structure dans la réalisation d'un projet en bon et du forme ? A vous lire ... Une remarque à propos de la note technique et méthodologique de Mr Thonier telle quelle ressort du fichier partagé par notre confrère @zanetti : Dans cette note Mr Thonier avec tous mes respects pour lui, a essayé d'expliquer la problématique en traitant un cas simple pour un pieu isolé dans un monocouche supposé homogène et isotrope. Dans la pratique courante, les calculs se font sur la base des résultats d'essais pressiométriques de Mr Ménard qui donnent des modules pressiométriques du sol tous les mètres ou les 1,5m. Ce qui nous permet de faire un calcul rigoureux par tranche de sol de 1 ou 1,5m d'épaisseur. Donc un calcul de pieu en multicouches (Ici le terme multicouches est au sens géotechnique ou encore, mécanique des sols proprement dit, et non géologique!) Cordialement
  22. Très bien dit et très bien expliqué Bravo Toutefois, même dans une telle situation à savoir : Je confirme ce que dit @anchor, pour des bâtiments classiques le géotechnicien a essentiellement des DDC verticales centrées rien n'empêche le géotechnicien de tenir compte d'un moment d'excentrement dans les tolérances d'exe du moment ou ce moment n'est autre que le résultat d'une DDC verticale centrée multiplier par l'excentrement
  23. Un géomètre topographe pourra certainement vous aider ==> à consulter
  24. C'est qui l'ingénieur le bureau ou le chef chantier ? En tout cas c'est à vous de voir...
  25. Bonjour @fradi Je te donne un exemple (c'est juste un exemple) qui reflète concrètement que les discontinuités brusques de l'inertie (ou rigidité) des éléments de structure à la conception sont déconseillées. Je prend le cas de conception d'un bâtiment en zone sismique. Il est toujours recommandé par les experts de normalisation de veiller lors de la conception à prévoir des rigidités des étages qui ne soient pas significativement différentes. C'est ce que nous appelons un bâtiment régulier verticalement. Le cas 1 est dangereux pour un bâtiment en zone sismique ! Et c'est à vous de voir ... Cordialement