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BELLAMINE

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  1. Bon, pour nous simplifier la vie Nous avons une grandeur réglementaire ! qui dépend de deux autres grandeurs. L'une relève des compétences de l'ingénieur gèotechnicien et l'autre de l'ingénieur de structure. Donc,chacun est responsable de ses attributions. Si l'ingénieur gèotechnicien donne le qnet, cela veut dire qu'il a dépassé les limites de ses attributions et pourra conduire l'ingénieur de structure en erreur et vis versa. Un projet de fondation commence par l'intervention de l'ingénieur gèotechnicien qui va donc faire son travail sans emprunter sur celui de l'ingénieur de structure. Ce dernier exploitera les données de l'étude de sol pour dimensionner les fondations. Pour un laboratoire on n'a pas besoin d'un ingénieur géotechnicien pour calculer une contrainte admissible. Nous avons besoin d'un ingénieur géotechnicien qui pilote une équipe de techniciens pour réaliser un programme de reconnaissance géotechnique en bon et dû forme depuis le terrain jusqu'au essais in situ et au laboratoire. Nous avons besoin d'un ingénieur géotechnicien qui manipule les essais avec ses propres mains. Nous avons besoin d'un ingénieur géotechnicien qui maîtrise les incertitudes des mesures des différents essais pour nous donner des résultats fiables. Nous avons besoin d'un ingénieur géotechnicien qui nous donne des recommandations sur le terrain et sur la nature du sol en concertation avec la nature du projet.. Le calcul final de la contrainte admissible sous une fondation revient donc au BET et BCT. Tout le monde est engagé, et chacun en ce qui le concerne ! Malheureusement, sur le terrain est depuis des décennies ...
  2. Bonjour Je vous remercie pour votre contribution et l'intérêt que vous avez donné à cette question délicate que j'espère personnellement développer encore plus sur ce site pour enrichir le débat. La contrainte admissible sous une fondation (sachant bien que cette grandeur et comme le pense, pas mal de nos ingénieurs, n'est pas une caractéristique intrinsèque du sol !) n'est autre qu'une valeur nette que l'on divise par un coefficient de sécurité en rajoutant ce que nous avons retranchés à savoir, la contrainte qo qui existait avant travaux de terrassement. Finalement, le plus important dans cette expression de la contrainte admissible est le terme qui correspond à la contrainte ultime qu. Cette dernière qu est fonction : - des caractéristiques intrinsèques proprement dit du sol selon la nature des essais de laboratoire ; - la profondeur de la nappe phréatique le cas échéant ; - les dimensions de la semelle ; - la profondeur d'encastrement de la semelle (le z du sol d' assise); - l'excentricité de la charge due aux moments de flexion appliqués en tête dans l'une ou les deux directions de la semelle ; - l'inclinaison de cette charge en cas de présence d'efforts horizontaux (vent, séisme...). Ajoutant, à cela toutes les combinaisons d'actions à ELS et ELU qui vont intervenir dans le calcul de qu. Donc, il y a plusieurs valeurs de qu spécifiques à chaque cas de chargement et d'état limite. En conséquence à cela, la contrainte admissible ne peut être considérée comme une valeur unique ou intrinsèque du sol. Elle est donc théoriquement et réglementairement variable selon la situation et le cas de chargement considéré. d'ailleurs, on ne trouve nul part dans les textes réglementaires que la contrainte admissible peut-être fixée et imposée (cad considéré comme une valeur intrinsèque du sol) par un laboratoire. L'approche n°1 de votre dernier message qui représente 90% des cas en France est donc malheureusement hors réglementation. La responsabilité, ne revient pas au laboratoire qui a donné qq chose non conforme à la réglementation, et au BET auteur du projet structure en fondation . Elle revient au Bureau de contrôle technique qui a VALIDÉ le travail des deux autres. A SUIVRE...
  3. Mémento de cours Gèotechnique selon Eurocode Voir le fichier Bonjour Je partage ce fichier que j'ai téléchargé via l'application Google, que je trouve personnellement très intéressant comme mémento ou guide technique en Gèotechnique des fondations. Hier, j'ai créé un nouveau sujet intitulé "A qui revient le calcul et l'engagement de la contrainte admissible sous une fondation superficielle et pourquoi ?" Au fur et à mesure du débat et au fil des discussions sur le sujet , on va se référer à ce mémento et éventuellement au fascicule 62 titre V, pour développer et enrichir le débat sur ce point qu'est la contrainte admissible sous une fondation qui jusqu'à présent échappe à la quasi majorité de nos ingénieurs. Qui fait Quoi et Comment ? Contributeur BELLAMINE Soumis 09/15/20 Catégorie Support de cours  
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    Bonjour Je partage ce fichier que j'ai téléchargé via l'application Google, que je trouve personnellement très intéressant comme mémento ou guide technique en Gèotechnique des fondations. Hier, j'ai créé un nouveau sujet intitulé "A qui revient le calcul et l'engagement de la contrainte admissible sous une fondation superficielle et pourquoi ?" Au fur et à mesure du débat et au fil des discussions sur le sujet , on va se référer à ce mémento et éventuellement au fascicule 62 titre V, pour développer et enrichir le débat sur ce point qu'est la contrainte admissible sous une fondation qui jusqu'à présent échappe à la quasi majorité de nos ingénieurs. Qui fait Quoi et Comment ?
    Gratuit
  4. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonjour Tout est possible, selon des souhaits esthétiques exigées par le maître d'oeuvre (architecte). Ceci dit, pour l'ingénieur le ferraillage est différent car les charges ne sont pas les mêmes Cdlt
  5. Bonjour J'ai constaté aux travers les différentes discussions et débats sur ce site, que la question de contrainte admissible d'un sol (je préfère personnellement dire contrainte admissible sous une fondation) n'est pas maîtriser par la quasi-majorité de nos ingénieurs. Pour cela, j'ai choisi de traiter ce sujet via son titre sous forme d'une question. A vous lire.....
  6. Bonsoir La seule est unique façon fiable et décisive est la réalisation d'un essai de chargement ... Cdlt
  7. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Formation Professionnelle
    .........
  8. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Outils et Tableurs
    عيدكم سعيد تقبل الله منكم واعاده عليكم وانتم في صحة وعافية ومزيد من السعادة والتقوى والايمان
  9. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Géotechnique & fondations
    Bonjour Si vous ne connaissez pas ces symboles cela veut dire que vous n'êtes pas qualifié pour faire une étude de sol. Faut mieux engager un spécialiste pour cette prestation d'étude. Et arrêter de banaliser la profession de l'ingénierie par vos interventions stupides. C'est souvent l'absence d'un ordre des ingénieurs qui vous poussent à brader la dignité de cette profession noble. Cdt
  10. Bonjour Pour rester sur la même longueur d'onde que voulez vous dire par dalle sur appuis continus et quel article du BAEL qui en parle?
  11. Bonsoir Tout modèle de calcul dépend de ses degrés de liberté. Chaque liaison ou noeud procède 6 degrés de liberté (3 translations et trois rotations). Si les degrés de liberté de deux modèles de calcul ne sont pas les mêmes, les résultats seront éventuellement différents. Rappelons que la solution d'une équation différentielle est la somme d'une solution homogène + une solution particulière. C'est cette dernière (solution particulière) qui est la plus importante car elle dépend des conditions aux limites. Quant les conditions aux limites changent selon le modèle de calcul en jouant sur les degrés de liberté ==> la solution changeras en conséquence. Cdt
  12. Bonsoir La flèche est fonction de la charge, la portée et l'inertie. Cette dernière (inertie) est fonction de la largeur et la hauteur pour une section rectangulaire. La flèche étant limitée par la réglementation. Quant la portée augmente, pour garder la même flèche, il faut jouer sur les autres paramètres à savoir : la largeur et la hauteur. Généralement, pour des raisons économiques, on garde la largeur et on augmente la hauteur. Cdt
  13. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Béton armé
    Bonsoir Les éléments verticaux sont sollicités à la flexion composé cas du séisme par exemple. Un poteau élancé par exemple pour résister au flambement nous avons intérêts à augmenter son inertie. Cas d'une pile de pont de 45m de hauteur par exemple. Cdt Bonsoir Je n'ai pas compris ce que vous voulez dire.....
  14. Bonjour Autre point de différence entre les différents modèles de calcul entre logiciels. La dalle réellement repose sur les poutres. Il s'ensuit que les deux plans moyens de la dalle et poutres sont désaxés. Cette situation réelle présente une ambiguïté pour la modélisation du plancher par la méthode des EF. Pour cela par exemple robot, réajuste le plan moyen de la dalle (élément plaque) à celui des poutres (élément barre). Et comme cité plus haut dans un commentaire, il faut faire attention au choix du maillage ! En général on fait un premier calcul avec un maillage M1 qui va nous permettre de localiser les zones de concentration des contraintes, ensuite on affine le maillage aux droits de ces zones et on refait le calcul... La dalle repose sur les poteaux (appuis indéformables) et les poutres (appuis déformables) comme indiqué sur le schéma en pièce jointe. La rigidité des appuis est donc importante et influe sur les résultats de calcul entre logiciels.Ceci n'est pas pris en considération pour la méthode forfaitaire ! pour laquelle les appuis de la dalle entre poteaux sont supposés fixes et indéformables et c'est la raison pour laquelle le moment sur appuis de la méthode forfaitaire est plus important que celui des autres méthode EF.
  15. Bonjour Le prétexte d'encastrement parfait que j'ai mentionné ne te reviens pas! Il est cité dans les commentaires de notre confrère monsieur l'ingénieur... que personnellement je trouve à côté de la plaque ! L'encastrement parfait suppose que chaque panneau de dalle se comporte indépendamment des autres ce qui est totalement faux et en plus en contradiction avec la RDM Cdt
  16. Bonsoir Bien sûr la rigidité des appuis est importante. Elle se traduit par l'encastrement élastique de la dalle de part et d'autre. Mais aller jusqu'à dire qu'il s'agit d'un encastrement parfait .... pour justifier la différence entre les deux résultats numériques, alors là, il y a qq chose qui ne va pas
  17. Bonsoir J'ai dit je préfère proscrire la 2 c'est à dire l'écarter ne pas la prendre en considération !!! Cdt
  18. Bonjour 1- Robotbat d'après la note de calcul que vous avez présentée a fait le calcul par éléments finis en considérant la dalle pleine comme une plaque reposant sûr des appuis. C'est la note de calcul la plus rigoureuse des deux autres 2- L'autre logiciel comme l'indique le schéma de présentation des diagrammes des moments fléchissants à fait les calculs en prenant une bande de 1ml de largeur dans les deux sens en assimilant cette tranche de dalle à une poutre continue sur appuis simples. Cette méthode de calcul n'a pas pris en considération la répartition transversale des efforts !! 3- Méthode forfaitaire... Personnellement, je préfère proscrire les calculs pour le 2 point Quant au ferraillage, si la différence entre 1 et 3 est significative financièrement sur la quantité de fer de l'ensemble du projet (généralement c 3 qui donne un peu plus de fer que 1) faut mieux ferrailler avec la 1. Et ce n'est pas nécessaire de coupler entre les deux ou les trois car cela entraîne un gaspillage d'argent tout simplement. Cdlt
  19. Bonjour Robotbat ou plus précisément la méthode de calcul des structures Rdm, ne considère pas qu'au niveau des appuis intermédiaires la dalle est parfaitement encastrée !!!! Tout simplement parce que la rotation au niveau des appuis intermédiaires n'est pas nulle !!!! Les moments au niveau des appuis sont dits : moments de continuité Personnellement ce prétexte d'encastrement parfait au niveau des appuis intermédiaires est injustifiable. La différence entre méthode manuelle est méthode de calcul rigoureux fait par robotbat ou autres est dûe tout simplement au modèle de calcul. La méthode manuelle prend des hypothèses forfaitaires pour les moments de continuité donc un coefficient de sécurité relativement supérieure par rapport à la méthode rigoureuse rdm. Cdlt
  20. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Ressources pédagogiques
    Bonjour Il s'agit d'une étude comparative entre les différentes variantes de dalles, techniquement et financièrement (Avantages et inconvénients). La structure de ton rapport est comme suit : ** Prprésentation de chaque variante : hypothêtes de calcul (modélisation), domaine d'utilisation, limites d'utilisation, avantages et inconvénients ... ** Comparaison des variantes Cdt
  21. BELLAMINE a posté un message dans un sujet dans Formation Professionnelle
    Bonjour Et pourquoi ferrailler là dalle. Il suffit d'ajouter des fibres carbones dans le béton pour améliorer sa résistance à la traction et à la compression. Cdt
  22. Bonsoir Le poinconnement est l'effet d'une charge localisée (ponctuelle) sur une plaque d'épaisseur ht. L'épaisseur ht est donc celle relative à l'endroit où la charge localisée est appliquée. Si la charge localisée se trouve à l'endroit de l'épaisseur totale c'est donc cette épaisseur qu'il faut prendre en considération, dans le cas contraire c'est celle de la dalle Cdt