Tout publié par BELLAMINE
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Recouvrement des treillis soudé superposé
Bonjour Au début on parlait d'une dalle épaisse et maintenant on se retrouve avec un massif de fondation pour une grue ! C'est donc un autre sujet....
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Recouvrement des treillis soudé superposé
C'est quoi Vrdc ?
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Recouvrement des treillis soudé superposé
Non treillis soudés ça marche pas pour un radier. Seulement pour les dalles où l'effet de l'effort tranchant est négligeable.
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Recouvrement des treillis soudé superposé
Épaisseur de la dalle ? Espacement des barres dans les deux directions ? Attention au centre de gravité de la section d'armatures par rapport à celle de calcul d et d' !!!!!!!!!!!
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Recouvrement des treillis soudé superposé
Bonjour Je ne pense pas que la solution de plusieurs lits de treillis soudés superposés est pratique pour une dalle épaisse. Quelle que soit l'épaisseur de la dalle (généralement entre 8 et 30cm maximum pour un bâtiment) nous pouvons tjrs jouer sur le diamètre des barres, l'espacement des barres et la section des armatures comprimées pour ne prévoir qu'un seul lit en nappe supérieure et un autre en nappe inférieure. Le recouvrement est généralement pris également à 50phi. Cordialement
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
Bonjour @Zied1 Ce qu'il faut retenir : En situation sismique nous sommes en présence d'une perte de rigidité de la structure par fissuration du béton. En conséquence à cela, 1) coefficient de Poisson = 0 2) module d'young = module de déformation instantané 3) soit alpha le coefficient moyen (très compliqué à quantifier car les éléments de la structure ne se fissurent pas de la même façon), compris strictement entre 0 et 1 caractérisant cette perte de rigidité de la structure par fissuration. Le système d'équations linéaire régissant l'équilibre de la structure est comme suit : alpha.[K].{u} = {A} où ** [K] : matrice de rigidité de la structure non fissurée càd avant l'action sismique ** {u} : le vecteur de déplacement des nœuds de modélisation de la structure ** {A} : le vecteur des actions sur la structure (le torseur des actions) d'où {u} = [K]'.{A}/alpha [K]' : la matrice inverse de [K] Donc pour alpha=0,50 (50%) les déplacements {u} de la structure non fissurée seront multiplier par 2 (le double) pour la structure fissurée pendant le séisme. Il en est de même pour les sollicitations (moments fléchissant, efforts tranchant etc ...) 4) Nous pouvons dire que la fissuration du béton est compensée par la présence des armatures et par conséquent, la rigidité de la structure en béton armé est relativement proche de celle (la rigidité) du béton seul (non armé). Ceci prouve que l'approche de 50% de la rigidité non fissurée dans le cas courant est largement suffisante si l'action sismique reste dans les tolérances prévues initialement pour le dimensionnement de la structure. 5) Pour une structure mixte acier - béton on a : [K] = [K1] + [K2] avec [K1] : matrice de rigidité de la structure en béton [K2] : matrice de rigidité de la structure en acier Et par conséquent, le système d'équations linéaire s'écrit : [alpha.[K1] + [K2]].{u} = {A} alpha concerne uniquement la structure en béton. La notion de fissuration de l'acier n'a aucun sens ! => de même pour la structure en acier : module d'young = module instantané => coefficient de Poisson pour la structure en acier = 0,3 non nul !!! cordialement
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
Bonsoir En réalité ce n'est pas la rigidité du béton seul que l'on vise, mais plutôt celle du béton armé (section du béton+armatures). Pour un élément complètement tendu la section des armatures en béton homogénéisé est prise en considération
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
A moins qu'une analyse plus précise des éléments fissurés ne soit réalisée... Donc la prise en compte de 50% de la rigidité est en relation étroite avec la fissuration des éléments de structure. Dans le cas où une analyse plus précise est faite reflétant par exemple seulement 30% de béton non fissuré, faut prendre alors 30% de la rigidité de l'élément. Le pourcentage de x% de la rigidité est donc lié à l'inertie de la section non fissurée du béton. Le module d'young n'a rien avoir là dans !!!
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
Re bonjour Pourquoi L'Eurocode 2 dit qu'il faut diviser la RIGIDITÉ par 2 au lieu de dire le module d'young instantané par 2 !? Y a-t-il une différence entre les deux ? La division par 2 techniquement parlant concerne l'inertie de la section du béton ou alors le module d'young ? A vous lire davantage...
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
Non ce n'est pas parceque c'est de l'instantané. Le coefficient de poisson est nul à l'ELU de résistance : béton fissuré !!!
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
La dernière phrase de l'extrait : "De même pour un calcul en phase élastique, il ne faut pas diminuer la valeur du module instantané" !!!!!!
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
Bonjour 1) pour le coefficient de poisson ma réponse est confirmé par EC à savoir : Béton fissuré (ELU ) coef_Poisson = 0 et 0,20 dans le cas contraire (ELS) 2) Ce n'est pas le module d'young qu'il faut diviser par 2 !!! Mais plutôt la rigidité de l'élément de structure càd l'inertie de l'élément non fissuré fois le module d'young. Généralement t=28j donc Ecm(t)=Ecm (module sécant à 28j) Si nous faisons une comparaison dans le cas général entre BAEL et EC2 : ** BAEL : rigidité = inertie x Ei (module déformation instantané du béton) ** EC2 : rigidité = inertie x Ecm /2 On en déduit Ei ~ Ecm/2
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Coefficient de poisson et module Young en situation sismique
Bonjour Quel module d'young du béton à diviser par 2 ? 1) L'action sismique est une action de courte durée d'application ! Donc faut utiliser le module de déformation instantané du béton; 2) Pour le séisme, la justification se fait en combinaison accidentelle de l'ELU de résistance. Le béton est fissuré à l'ELU de résistance ! Et par conséquent, faut prendre un coefficient de poisson nul; 3) A l'ELS le béton n'est pas fissuré. Donc coefficient de Poisson=0,20. A cette état limite, la notion de fissuration nuisible, préjudiciable et non préjudiciable correspond à une classification de l'ouvrage selon le degré d'agressivité de son environnement (rien avoir avec la fissuration mécanique proprement dite) càd une majoration de la section d'armatures pour éviter la fissuration. Donc le béton est supposé non fissuré à l'ELS. 4) Dans la méthode de calcul des armatures pour béton à l'ELS on ne suppose pas le béton fissuré dans la zone tendue de la section. On néglige tout simplement la résistance à la traction du béton. Cordialement
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Calcul de la stabilité de radier
Bonjour Merci beaucoup pour ce message direct, constructif et consistant qu'il faut tjrs rappeler sur ce site à toutes fins utiles. C'est un Devoir pour tirer la profession vers le haut... Cordialement
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Difficulté pour la réalisation des sondages géotechniques
@anchor 1) Le profil du terrain existant est illustré sur la coupe du projet ! Pourquoi l'équivalent de deux étages pour les terrassements ? 2) Quelle est alors l'approche et le programme de reconnaissance qui vous semble le mieux adapté pour ce site ?
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Difficulté pour la réalisation des sondages géotechniques
1) pour la plateforme de la maison à construire : il suffit de prévoir des sondages manuels pour la reconnaissance géotechnique. Le terrain à terrasser au RDC n'excède pas sa hauteur (au pire des cas 3m). 2) pour le risque d'instabilité de l'ensemble du talus. L'existant prouve le contraire
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Difficulté pour la réalisation des sondages géotechniques
Bonjour Tout à fait d'accord, mais généralement les terrassements pour ce cas se font par tranches de 1m et suivant planning de phasage défini préalablement pour éviter tout risque d'éboulement. Nous pouvons aussi envisager la variante de terrassement par escalier pour donner au projet un aspect architectural similaire à celui de l'existant. Cordialement
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Difficulté pour la réalisation des sondages géotechniques
Terrain en pente n'implique pas qu'il est instable en profondeur après terrassements. C'est l'étude géologique et l'enquête du voisinage qui généralement donnent une bonne idée sur l'instabilité du terrain. La hauteur des sondages sur la partie à terrasser ne sera pas exploitable. Donc un surcoût sur le prix de revient de l'étude géotechnique. Le programme de cette étude géotechnique préliminaire en G1 que je vois personnellement s'articule sur les trois axes suivants : 1) enquête sur le terrain de l'existant (bâtiments déjà construits); 2) étude géologique en exploitant les données de la carte géologique de la zone 3) vous n'êtes pas obligé de démolir la partie à droite pour faire vos sondages carrotés. Il suffit de réaliser des sondages manuels à l'intérieur et de faire des prélèvements d'échantillons pour essais de laboratoire en attendant les travaux de terrassement de la zone verte pour faire si nécessaire des sondages carrotés.
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Difficulté pour la réalisation des sondages géotechniques
Bonjour Qu'est-ce qui vous empêche de prévoir l'étude géotechnique après travaux de terrassement de la zone du projet verte ? Une étude géotechnique ne se fait pas forcément avant les travaux et d'une façon définitive. Vous pouvez faire une étude géotechnique préliminaire en se basant sur les données de l'enquête des bâtiments déjà construit au voisinage et des données géologiques de la zone (carte géologique). Fort probablement le terrain en profondeur est rocheux. Cordialement
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Chargement sur auvent métallique
Bonjour Pour l'assemblage sur la photo précitée nous pouvons envisager deux solutions comme suit : 1) prolongement du poteau IPE, assemblage de la poutre IPE et la poutre treillis : https://www.google.com/amp/s/dokumen.tips/amp/documents/calcul-dun-assemblage-dune-poutre-a-treillis-sur-un-poteau.html 2) remplacer la poutre IPE par une poutre treillis puis assemblage des deux poutres treillis qui prendront appuis sur le poteau IPE par l'intermédiaire d'une platine Cordialement
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Semelle excentré
Bonjour L'extrait du document que vous venez de partager § 2.5.2.2 parle du calcul des tassements sous combinaison d'actions à ELU. C'est bizarre !!! Normalement, les tassements se mobilisent pour des charges de longue durée d'application (à long terme). C'est la raison pour laquelle la réglementation prescrit le calcul des tassements pour la combinaison d'actions Quasi permanente. Ou peut être l'auteur du document fait la confusion entre tassement au sens géotechnique du terme avec déplacement vertical...
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Semelle excentré
Bonjour Oui mais attention ici il s'agit d'un poteau alors que votre question au départ concerne un mur ou la raideur est suffisamment grande pour une réparation rectangulaire. Pour les détails concernant le ferraillage voir EC2 Cordialement
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Raideur du sol à partir des essais au pénétromètre statique (Suite)
Bonjour @KARIMTCA C'est dommage pour le verrouillage de votre sujet précité. J'ai créé le présent sujet pour donner un plus constructif à toutes fins utiles concernant l'estimation de K à partir d'un tassement calculé conformément au fascicule 62 titre V, comme suit : 1) le calcul du tassement à partir des essais en place se limite au pressiometre de Ménard voir annexe F.2 §3 page 134. Le dit fascicule ne donne aucune méthode d'estimation du tassement à partir des essais au pénétromètre statique ! 2) Conformément à l'annexe F.3 §1 page 138 concernant l'évaluation de K sous une fondation superficielle à partir des essais au pressiometre de Ménard : "L'attention est cependant attirée sur les points suivants : ** la rigidité de flexion de la semelle dans le sens de sa largeur B doit être suffisante (§5 page 139), ce qui exclut l'étude des grands radiers ; ** les déplacements ainsi obtenus sont peu représentatifs des déplacements réels" Maintenant si nous voulons respecter la condition de rigidité du radier conformément à l'annexe F.3 §5 page 138 à savoir : B <= 2.racine_quatrieme(h^3.E/3K) ce qui correspond à h >= racine_cubique (3.K.B^4/4E) h : épaisseur du radier Donc la solution la plus économique avec un radier suffisamment rigide est de prendre pour K un Kmin !!! Et par conséquent @Bisudi Bazola Aimé a raison intuitivement sans pouvoir le justifier. Cordialement
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Semelle excentré
Bonjour Le moment dû à l'excentricité e au centre de gravité de la semelle vaut M=+pu.e celui qui équilibre M dans le mur vaut M'=-M. Donc au centre de gravité de la semelle on a un moment M" = M+M'= 0, équilibre des moments. La semelle sera donc sollicité uniquement par un effort normal pu centré. D'où répartition rectangulaire Cordialement
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Charges roulantes
Bonjour Pas forcément une charge d'exploitation. Par exemple pour un pont roulant, son poids propre est une charge permanente par contre le poids de la masse accrochée et manipulée est une charge d'exploitation. Cordialement