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Ucef El Mir

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  4. jasmine tai a commencé à suivre Ucef El Mir
  5. un message dans un sujet a posté Ucef El Mir dans Béton armé
    Oui, bien sur c'est : elmir.betec@gmail.com
  6. SARA R a commencé à suivre Ucef El Mir
  7. un message dans un sujet a posté Ucef El Mir dans Béton armé
    Bsr, Oui il y a la dilatation, le retrait et les mouvements différentiels mais moi je parle des joints de dilatation. Il est bien évident qu'un joint de dilatation est un joint de retrait (mais c'est pas réciproque). Par contre un joint sec sans épaisseur est un joint de retrait et de mouvement différentiel mais pas un joint de dilatation. salutations
  8. un message dans un sujet a posté Ucef El Mir dans Béton armé
    Bjr, Un joint sec au sens du document déjà cité est un joint sans épaisseur donc c'est un joint qui bloque la dilatation de l'ouvrage. Moi je parle du joint de dilatation càd un joint avec ouverture d'ailleurs la question posée à la base c'est la distance entre joints de dilatation cdt
  9. un message dans un sujet a posté Ucef El Mir dans Béton armé
    Bjr, il y a plusieurs propos que je n'arrive pas à comprendre dans votre réponse : - D'abord, pourquoi vous supposez que le talus est en pente? et quel talus vous parlez (celui derrière le mur de soutènement ou parallèle au mur)? - La majorité des effondrements des murs de soutènement (comme ceux de Tanger) sont liés à d'autres causes : vieillissement et corrosion des armatures, non compatibilité entre les charges de calcul et celles appliquées réellement, problème de calcul, etc mais pas précisément à l'absence de joints de dilatation tous les 6m . Pour répondre une fois pour toute à la question posée, je précise que la distance entre joints de dilatation est de : - un joint de 1 à 2cm tous les 20m environ dans le cas d'un mur fondé sur une semelle horizontale avec un sol ne pose pas de problème de tassement différentiel excessif; - un joint de 1 à 4 cm tous les 8 à 10 sinon. Pour plus de détails, se référer au guide des ouvrages de soutènement "MUR 73" de SETRA. cdt
  10. un message dans un sujet a posté Ucef El Mir dans Béton armé
    bsr, A moins qu'on soit sur un sol médiocre je trouve que 6m est une distance trop sécuritaire, personnellement je recommande 10 à 15m. cdt
  11. Bjr, Ce sujet a fait l'objet d'un débat sur cette plateforme auquel j'ai participé brièvement faites une petite recherche. cdt
  12. Non c'est pas ce que je voulais dire moi j'ai fait allusion à la qualité des rendus notamment des plans d'exécution bien élaborés et des notes de calcul assez détaillées. Néanmoins, Pour des structures en 3D "non étagés" soumises à divers cas de charges (Charges gravitaires, poussée hydrostatique, vent, etc.) et ou une analyse approfondie des résultats (cartographie des efforts, déplacements, etc) est requise je préfère Robot ou Advance Design (ça reste un avis personnel). cdt
  13. Bjr, Je n'ai pas le livre de FUENTES maintenant mais Le est à mon avis la longueur élastique et non la longueur entre nus. Dans le cas de sol marneux à caractère gonflant, la solution de radier général est à éviter car la résultante de gonflement du sol risque de soulever le bâtiment. Pour apporter une réponse plus concrète à la question posée, je préfère jeter un œil sur le livre de FUENTES et/ou THONIER et faire un calcul numérique assez détaillé et si j'aurais le temps je pourrais même faire une comparaison avec une modélisation numérique sur Robot. Cela me semble un sujet très intéressant. cdt
  14. Bjr, A mon avis CYPE est un logiciel assez puissant pour le calcul des bâtiments étagés. Pour des structures en 3D (coupole par exemple) je préfère personnellement travailler avec Robot ou Advance design. cdt
  15. Bjr, Vous m'envoyer votre modèle, je pourrais vous aider. cdt
  16. un message dans un sujet a posté Ucef El Mir dans Béton armé
    Bjr, La condition h/L>Mt/15M0 donne dans le cas de poutrelles isostatique h>L/15 ce qui est loin d'être économique. Dans un souci d'optimisation j'éviterai de respecter cette condition et je préfère faire le calcul de la flèche avec les méthodes élaborées dans le CPT plancher. cdt
  17. un message dans un sujet a posté Ucef El Mir dans Béton armé
    Bjr, D’où est vous avez sorti ces nomenclatures (Norme, livre, ...)? cdt
  18. Bjr, Etant donné que la longueur totale du voile est de 5.10m et celle de l'ouverture est de 3.36m alors 2 cas sont possibles : Cas 1 : la liaison entre voile en haut et les 2 piliers est considérer comme encastrée, dans ce cas j'estime que vous aurez des contraintes de cisaillement très importantes au niveau des 2 piliers difficile à équilibrer. Cas 2 : Liaison entre voile du haut et piliers est articulée. Dans ce cas il vaut mieux articuler aussi les pieds des piliers comme ça aucun effort horizontal ne passent aux piliers. Cela suppose que vous avez d'autres éléments assez rigides (voiles ou portiques) qui peuvent assurer le contreventement de votre structure. Pour la faisabilité d'une telle conception, je joint une photo tirée du RPS 2000 pour toute fin utile. cdt
  19. Bjr, Puisque vous avez eu des efforts horizontaux en pieds des poteaux sous charges gravitaires alors j'en déduit que vous n'avez pas articulé la tête de vos poteaux. Cela est pleinement justifié si votre bâtiment est contreventé par portiques ou en mixte. Si votre structure est contreventée par voiles alors vous pouvez articuler les têtes des poteaux comme ça tu aura des réactions horizontales nulles en pieds des poteaux et tous les efforts horizontaux passent aux voiles y compris les efforts sismiques ou du vent. cdt
  20. Bjr, Mettre en place des cornières sous la dalle n'est pas une bonne solution car le diaphragme aussi équilibrer un effort de compression est aussi un effort tranchant provenant de la torsion du bâtiment. Alors je vois mal comment ces cornières résoudront le problème. Le mieux serait de considérer le plancher comme un coque comme ça tu tiens de la raideur du plancher dans l'analyse sismique. cdt