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ucefelmir

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Solutions

  1. bonjour,
    On peut considérer la partie courante du voile comme une dalle pour évaluer le moment de flexion du à la poussée des terres. en ajoutant l'effort normal qui provient de la descente de charge on se ramène au calcul d'une section à la flexion composée. Bien sur on a besoin d'une semelle filante qui constitue un appui de notre dalle !!
    Je ne sais pas si tu es en zone sismique ou non mais les pages 30 et 31 du livre de FUENTES n'évoquent que les charges verticales et celles dues aux poussées des terres mais pas les actions sismiques. Dans ce cas on a un voile soumis au torseur (N, Tx, Ty, My, Mz). La méthode que j'ai proposé permet, à mon avis, de faire un bon calcul d'un voile de contreventement et soumis aux poussées des terres. Toute autre méthode est la bienvenue on est la pour apprendre et s'améliorer :)
  2. bonjour,
    Les dimensions de la semelle sont différents de celles du gros béton (GB)
    Je vous propose ci-après un exemple de calcul : 
    Nu=100t, sigma sol=3 bars (à l'ELU) Poteau de 40x40cm²
    1- Dimensions du gros béton : A'xB'>Nu/sigma,sol=3.33 m² Donc on prend A'=B'=1.85m
    2- Dimensions de la semelle : on prend une contrainte dans l'interface semelle/Gros béton de sigma,GB=10 bars
        AxB>Nu/sigma,GB=100/100=1m² On aura alors A=B=1m
  3. bonjour,
    Personnellement je vais considérer ma dalle comme étant appuyée sur 4 appuis Mais dans ce cas il faut dimensionner les poutres en conséquence (il vaut mieux les appeler "poutres" et non "chaînage" dans ce cas par ce que elles ne seront plus noyées). par ailleurs, il vaut mieux prévoir un contrepoids pour ne pas faire travailler la poutre liant les 2 poteaux à la torsion et ( à vrai dire minimiser l'effet du torsion) et aussi minimiser le moment de flexion transmis aux poteaux.
  4. bonjour,
     
    C'est bien la réponse que je cherche. Merci beaucoup