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giorgio

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  1. La correction de la densité sèche in-situ n'a pas lieu d'être si, en laboratoire, lors de la réalisation de l'essai Proctor vous avez remplacé les éléments supérieurs à 20 mm (qui ne peuvent pas être compactés dans le moule Proctor) par une fraction équivalente d'éléments compris entre 5 et 20 mm (mode opératoire du manuel Peltier): ce qui renforce l'ossature de la granulométrie. Par contre si les éléments > 20mm sont éliminés lors de l'essai Proctor, il faudrait procéder à sa correction; cela revient à considérer qu'ils n'existent pas réellement : ce qui est faux. A mon avis, la solution présentée par le manuel d'essais routiers "Peltier" est plus proche de la réalité.
  2. Effectivement, comme l'a si bien dit Mr ABDOH, dans le domaine des enrobés les fuseaux de référence suggérés jusqu'à ces dernières années (et qui ont tendance actuellement à disparaître) sont basés sur les expériences effectuées tant en laboratoire qu'in situ; mais ils sont confortés par les résultats d'essais en laboratoire préalables notamment: tenue à l'eau, PCG, résistance à l'orniérage, module, résistance à la fatigue, ainsi que les observations recueillies sur les routes quant à leur bonne tenue après des années de mise en service.
  3. Comme partout ailleurs en Afrique, il "fait bon de vivre" pour quelle classe de la société? Tant mieux pour Marrakech s'il s'agit de la classe ouvrière et pas uniquement d'une élite! Les jugements sont toujours subjectifs et surtout relatifs.
  4. En Algérie, il y a des centres de formation privés mais ils sont beaucoup orientés vers les formations dans les gestions administratives mais pas dans les formations scientifiques ou techniques: dans ces derniers domaines, ils se limitent à donner des formations ne renfermant que généralités (exemples: systèmes d'information géographiques...). Les formations dispensés dans les domaines géotechniques sont dispensées par des bureaux d'études étrangers sur demande de pratiquants
  5. La conduite des travaux doit être menée suivant le document de référence édité par SETRA-LCPC et qui s'appelle le GTR, ou guide des terrassements routiers
  6. Le contrôle de compactage peut être effectué soit au gamma-densimètre soit à la plaque; l'inconvénient de la première méthode est la référence Proctor qui est prise comme étant constante pour le matériau utilisé (ce qui n'est généralement pas vrai), donc les valeurs des compacités calculées sont approximatives; par contre, l'essai de chargement à la plaque (suivant la norme Allemande) tient compte de deux natures de sols (cohérents ou non cohérents), donne des indications très précises sur le compactage (K) et sur la qualité des matériaux utilisés (modules EV).
  7. giorgio commented on Berenthor's comment on a file in Logiciels et outils
    Merci pour le logiciel
  8. giorgio replied to paulponts's post in a topic in Sols & fondations
    bonjour, Vous ne pourrez pas faire de corrélations entre les différents diamètres de la plaque pour la simple raison que les profondeurs d'investigation sont proportionnelles aux diamètres des plaques et que les densités obtenues après compactage décroissent avec la profondeur
  9. bonjour, La densité Proctor que vous avez prise en référence pour le calcul de la compacité est relative à une énergie de compactage donnée (énergie Proctor Normal); c'est normal qui si vous augmentez cette énergie la densité du matériau augmente aussi; en conséquence la compacité dépassera celle de référence; par contre, il ne faudra en aucun cas parler de sur ou de sous-consolidation dans le cas des compactage; cette dernière est évaluée à l'aide de l'essai oedométrique par rapport à la profondeur de prélèvement de l'échantillon et à son état actuel