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etienne94

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  1. etienne94 replied to Narcisse57's post in a topic in Structures
    Bonjour, Si vous souhaitez vérifier la cohérence de vos efforts, il faut regarder les axes locaux de vos profilés. Or dans votre DDC, les efforts sont dans le sens global. En tout cas, le modèle reste une machine. Si vous avez orienté votre effort vertical, il en tiendra compte. Cdt. Etienne
  2. etienne94 replied to Narcisse57's post in a topic in Structures
    Bonjour, Dans le modèle du portique, les appuis sont des articulations. Pas de moment donc. Si tu met un encastrement, tu auras une structure hyperstatique avec un moment en pied. Dans celui de l'auvent, si ROBOT peut calculer des moments, c'est parce que tu as bloqué le ddl associé. Si on s'en tient à ta DDC, tu as mis un encastrement dans les trois directions (ce qui en réalité est rarement le cas). Nota : pour l'auvent, le moment My peut venir du vent ou des charges verticales (poids). En effet, dans un portique avec une continuité entre la traverse et le montant, le moment est repris par le poteau (voir modèle portique). Bonne réception. Cdt.
  3. Bonsoir à tous, Je travaille actuellement sur un collège à paris. Je suis en train d'étudier son contreventement. Localement, j'ai un escalier en sous sol soutenu par deux murs. Volonté architecturale, l'un des murs coté extérieur n'est pas relié au plancher haut. Afin d'éviter pour le moment de dimensionner le mur en console au vent (hauteur moyenne 2.65m), je me suis demandé s'il n'était pas possible d'utiliser les marches de l'escalier en béton armé comme des entretoises. Si oui, alors on peut considérer que les efforts hors plans du mur extérieur dus au vent sont redistribués par les marches à l'escalier (fonctionnement entretoises) vers le mur intérieur qui est butonné en pied et en tête. Les efforts sont alors repris par le plancher haut et redistribués par des murs de contreventements que j'ai placés dans le bâtiment (l'autre partie des efforts en tête sont repris par les fondations du mur). Qu'en pensez vous ? Est ce que quelqu'un a une idée pour les reprises de coffrage au droit des marches de l'escalier : sauf erreur de ma part, il faudrait assurer un chainage entre les marches et les murs de l'escalier. Idéalement, je souhaiterais que l'escalier reste préfabriqué. J'imaginais que l'on pouvait amener 1 marche + 1 contremarche préfabriqué et les enfiler sur le ferraillage au fur et à mesure du montage de la cage d'escalier (du bas vers le haut). On pourrait demander au fournisseur d'escalier un lot constitué d'une paire Marche + contremarche avec des fers en U sur les marches (chainage avec le mur) et des fers droits pour la contremarche pour assurer l'appui sur le mur. Qu'en pensez vous ? Merci pour votre retour. Bien cordialement. Etienne
  4. Bonsoir, Je vous remercie pour l'aide apportée. Je vous tiendrais au courant de l'issue du projet. Bonne continuation. E
  5. Bonsoir, Merci pour vos réponses. @FRIDJALI: la modélisation visait à chercher une solution alternative à celle d'une poutre de reprise. . Comme la section de la poutre m'était étrangère (120x120) j'ai essayé de regarder avec une dalle ou un réseau de poutres croisées. En fait je pense que cette question s'est déjà posée sur d'autres bâtiments et que des solutions ont déjà proposées. Mais lesquelles ? Nota : Je n'ai pas rentré des valeurs de 600 tonnes en action mais 600 kN. (plus raisonnable). Je vous rejoins sur les fondations (6000 kN + 2000)/2 kN avec un sol à 0.6 Mpa, cela donne des sections de semelles de 4/0.6 = 6m²!!! MAIS, si la poutre de reprise est appuyée sur un mur, (comme la hauteur du mur est de 4m), on peut considérer une diffusion à 45°, soit 8000/2/8m = 500 kN/ml avec un sol à 0.6 MPa on a des semelles filantes avec une largeur d'1m. @HIGHER : malheureusement la conception est arrêtée. Je rejoins cependant cet avis. Avec une charge pareille, il faudrait reprendre la conception à zéro afin d'éviter de poser la question : comment je reprend 600 tonnes sans poteau? @canartik : non, le poteau tombe dans l'accès au parking. C'est bien le problème, on ne pas mettre de poteau et la conception est arrêtée. j'ai essayé avec une dalle de 50 cm. On a des section d'aciers de 40 cm²/ml sur la nappe inférieure. Cela va engendrer un gros surcoût pour la réalisation de la dalle. On sort du bâtiment pour aller vers un ouvrage de génie civil. De vous à moi chers confrères, avez vous déjà rencontré ce genre de cas en étude ou en construction ? D'un point de vue RDM : la dalle est elle mieux placée que la poutre pour reprendre une action ponctuelle très importante ? Merci pour votre retour. Cdt. E
  6. Seif.eddine started following etienne94
  7. etienne94 replied to Seif.eddine's post in a topic in Béton armé
    Bonsoir, C'est intéressant ce coefficient m, est ce que tu peux contextualiser ? Comment tu en as eu connaissance ? Textes, réglements ? Merci pour ton retour. Cdt. E
  8. Bonsoir, Ton radier est en flexion, une flexion supérieure au poids propre du radier et aux charges qu'il reprend. Ce qui est très curieux. Normalement, même si la flexion est prédominante, tu devrais avoir à minima un diagramme bitriangulaire symétrique. Ce qui n'est pas le cas. Donc cela veut dire que les charges verticales descendantes sont inférieures à des charges verticales ascendantes. Classiquement, les charges verticales ascendantes proviennent de la remontée des nappes. Donc si tu en as, cela veut dire qu'il faut lester ton radier (gros béton sous radier + chevelus accroché au radier). Sinon, il faut vérifier le calcul. Cordialement. E
  9. Bonsoir, Avant de répondre à votre question, j'aurais besoin de quelques précisions : Aciers de coutures : vous parlez des aciers (perpendiculaire / au sens de la poutre) pour liaisonner la dalle à la poutre. On a donc des poutres en T (poutre préfa avec réalisation du plancher coulé en place). C'est cela ? Vis à vis du BC, l'indication grecques fait penser aux aciers dans une prédalle pour empêcher le glissement entre les prédalles. Est ce que vous pouvez confirmer ce dont le BC parle ? Est ce que vous pouvez indiquer les § de l'EC2 qui parlent de la nécessité des aciers de coutures. Pour moi, hormis pour les prédalles, c'est le dimensionnement qui impose des aciers contre le glissement entre la poutre T et la dalle ou des aciers contre le tranchant et le glissement dans une poutre. Merci. E
  10. Bonsoir, Au vu des photos que vous avez transmises, on a l'impression que les poutres sont en très mauvais état contrairement aux premières photos. Est ce que vous pouvez nous expliquer ce point ? Merci. E
  11. Bonsoir à tous, Dans le cadre d'un avant projet, nous étudions la reprise d'un poteau chargé de 600 Tonnes. Cette charge pour le moins importante est la conséquence logique de la structure suivante : 6 étage avec structure poteau poutre, grande portée des poutres, dalle de 30 cm en BA Le poteau du RDC qui supporte 600 tonnes provenant des étages supérieurs ne plombe pas avec le poteau du sous sol. Il doit être repris par une poutre au milieu de sa travée. -> Pour respecter la hauteur sous plafond imposé par l'archi on arrive à une poutre de 120x120 cm². N'étant pas habitué à ce genre de sections je me pose les questions suivantes : Est ce réalisable par un constructeur ? Est ce critique de reporter l'ensemble des charges verticales sur une poutre (le critère rupture à l'effort tranchant ne pardonnant pas, en cas d'erreur, c'est le bâtiment qui s'effondre sans possibilité de renforcements) ? Avez vous déjà vu ce genre de structures, si oui sur quel type de projets et comment aviez vous résolu ce problème? Pour information J'ai fait quelque modélisations EF suivant les principes suivants : Une dalle plus épaisse reprend le poteau -> résultats non favorables, une dalle épaisse ne semble être une bonne idée pour reprendre une charge ponctuelle, Une dalle d'épaisseur standard (20 cm) avec un réseau de poutres autour de la charge ponctuelle (voir image en PJ) -> résultats favorables : les sections de poutres sont standards. Seule problème, on créé un réseau de poutres autour des poteaux. Qu'en pensez vous ? Merci pour votre retour. Cdt. E
  12. etienne94 started following FRIDJALI
  13. MelissaMay started following etienne94
  14. Bonjour Je pense que si on s'oriente sur des fissures ar ressuage du béton, il faut regarder les poutres sur toutes les coutures. Dans la littérature, le ressuage est rarement localisé, on devrait donc voir des fissures suivant les armatures sur plusieurs points de la poutres. SI la fissure provient du retrait par dessiccation, il faut regarder le longueur de la poutre. Si cette dernière est très longue (40m) , on peut imaginer une fissure nette en milieu de travée. Cdt.
  15. Bonjour, Je trouve curieux de ne pas mettre de garde au gel en particulier pour des ouvrages sensibles comme les grues avec des conditions de gel. Par contre, si le risque gel n'est pas avéré ou qu'on réalise un dispositif drainant qui évite la stagnation de l'eau sous la fondation, on peut ne pas se préoccuper du gel. Pour le schéma, il est en PJ. L'ancrage des fondations dans 100 cm de bon sol requis par le géotechnicien est à clarifier. Il faudrait lui poser la question sur la valeur des 100 cm et ce qui justifie ce choix. Cordialement. Civilmania_fondation panneau solaire.pdf
  16. Bonjour, J'ai un doute sur le diagnostic des fissures. Sur les photos, il me semble que les fissures sont sur toute la hauteur de la poutre. Or le sous dimensionnement des armatures en travée devrait générer une fissure seulement dans la partie inférieure de la poutre, car la partie supérieure est comprimée. Est ce que quelqu'un a une réponse à apporter ? Merci. Cdt.
  17. Bonjour Pour le hors gel, ce qu 'il faut avoir en tête, c'est le phénomène physique, lorsque la température dans l'air passe en dessous de 0°C, l'eau contenue dans le sol peut geler, le sol gonfle et pousse sur la fondation : on observe une augmentation de la capacité portante du sol. Lors du dégel, c'est l'inverse, le sol réduit en volume et la fondation s'affaisse. Donc même dans un désert, je me poserais la question : ce qui élimine la profondeur hors gel, c'est quand on est sûr qu'il n'y a pas de circulation d'eau dans le sol (nappe) et qu'on a placé la fondation à l'abri des eaux de ruissellement (drainage). Les efforts sont faibles et si le sol est rocheux, on devrait avoir aucune difficulté à vérifier des semelles superficielles. Avec le vent, je pense que tu devrais avoir un couple d'effort concomitant (compression/ traction) sur les deux appuis. Deux solutions : Une longrine sur deux semelles situées à l'aplomb des potelets, Deux semelles situées à l'aplomb des potelets. La longrine permet de prendre en compte le poids des deux semelles et d'équilibrer plus facilement (qu'avec deux semelles isolées) le soulèvement du au vent. Elle est dimensionnée pour reprendre le moment crée par les efforts de traction/ compression des potelets et son poids propre. Ex : la semelle reprend seule le soulèvement Avec 7 kN de soulèvement au vent, j'obtiens un poids propre de la semelle de 0.9G0+1.50.W = 0 -> G0 = 1.5*7/0.9= 11.7 kN . Poids du fut 0.2x0.25x0.25x 25 = 0.31 kN Poids de la semelle : 0.8x0.8x0.3x25 = 4.8 kN Poids de terres : (0.8-0.25)²*0.2x18 = 1.09 kN Soit un poids total de 0.31+4.8+1.09 = 6.2 kN < 11.7 kN ! La semelle seule n'équilibre pas le soulèvement. Ex : les deux semelles + la longrine reprennent le soulèvement Poids semelle + fut + terres x 2 = 6.2x2 = 12.4 kN Poids de la longrine : (3.2-0.2*2)*0.2*0.2*25 = 2.8 kN 12.4+2.8 = 15.2 kN >11.7 kN OK avec un ratio de 77 % ! L'ensemble longrines + semelles est à l'équilibre Chaque semelle reprend un poids du à la longrine de 0.2x0.2x(3.2-0.2*2)x25/2 = 1.4 kN On calcule l'effort de soulèvement de la semelle moins poids longrine moins poids semelle : 1.5*7-1.10*(1.4+0.8*0.8*0.3*25) = 3.7 kN soit un moment dans la poutre de 2.4*3.7 = 9kN.m (2.4 portée entre axes de la poutre) On vérifie la longrine 20x20 ! Il ne reste plus qu'à vérifier les semelles. Espérant t'avoir aidé. Cdt.