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comment_4114

posté par TN

ce que ca veut dire le cuvelage ? e c'est quoi la hauteur critique dans le calcul de coeficient de securite des talus de sol???

merci nos freres!

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  • posté par bentafat_rachid Méthodes classiques d’étude de stabilité ( article choisi par le biaie du net ) --------------------------------------------------------------------------------

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  • Auteur
comment_4115

posté par console

dans le mot cuvelage il ya le mot cuve et sans doute réaliser une forme de cuve et je pense que cela doit avoir un rapport avec des fondations ou des puits

  • Auteur
comment_4117

posté par bentafat_rachid

vis à vis des constructions neuves , le problème de l'étanchéité est généralement assuré par la combinaison d'un cuvelage extérieur et d'un système de drainage. Cette solution n'est pas envisageable pour les constructions enterrées existantes. Par ailleurs, même s'il reste possible de placer des drains sous les murs de la cave, l'eau peut toujours suinter par le sol. Pour

toutes ces raisons, on choisit généralement d'étanchéifier les caves existantes par un cuvelage intérieur des murs. Bien que le résultat soit relativement efficace lorsque le cuvelage est correctement exécuté, il subsiste un risque d'infiltration à travers les joints et le sol ou à travers le

sol lui-même.

Concernant le cuvelage intérieur, il faut distinguer les cuvelages souples et rigides. Pour un cuvelage intérieur souple, les murs et le sol peuvent être, par exemple, revêtus d'un film imperméable, telle qu'une membrane à base de bitumes polymères. Ce revêtement est ensuite protégé par une maçonnerie et un nouveau sol en béton armé. Cette protection massive est nécessaire car le revêtement en lui-même ne résisterait pas à la pression de l'eau qui pourrait s'infiltrer à travers les murs. En cas d'infiltration d'eau, les fuites d'un cuvelage intérieur souple sont d'ailleurs difficiles à détecter.

http://www.noaqua-vochtproblemen.be/det ... ctID=42873

POUR PLUS D'INFORMATIONS CONSULTE LE LIvRE DE RENE BAYON QUI TRAITE CE SUJET PROFONDEMENT .......ETANCHEITE DES OUVRAGES ENTERRES .

  • Auteur
comment_4123

posté par console

donc le cuvelage d'apres ma lecture est là pour résister à la pression de l'eau souterraine , il est donc pratiqué pour assurer une etanchéité ....je dois dire qu'il doit etre extremement onereux selon toujours ma lecture de l'article

  • Auteur
comment_4124

posté par bentafat_rachid

POUR LA HAUTEUR CRITIQUE DES TALUS .. consulte le livre "" pratique des sols et fondations edité par Goerge Filiat .

ce sujet est vaste

  • Auteur
comment_4127

posté par console

posté par Ehtpiste

merci a tous,svp c'est koi suintement

suintement d'un mur

je ne sais pas si tu as remarqué ceux qui font de la peinture vinyl sur un mur tres humide non preparé pour cette peinture ...apres quelque temps si la piece est soumise à un chauffage pas tres homogene qui varie on notera des formation de bulles sur ce mur et des boursouflures puis eclateront et laisseront comme un liquide qui coulent ...c'est un suintement du mur

  • Auteur
comment_4128

posté par TN

oui console c'est ca juste j eut savoir aussi esque il ya un lien entre le cuvelage e le radier general?? ???? ???? ?? ????? ?? ????????

  • Auteur
comment_4158

posté par bentafat_rachid

Méthodes

classiques d’étude de stabilité ( article choisi par le biaie du net )

--------------------------------------------------------------------------------

Objectifs

A la fin de cette unité, l’apprenant sera en mesure de procéder à des analyses

de stabilité des talus (rupture plane et circulaire) en tenant en compte de

l’influence de l’eau. Une étude comparative de ces méthodes est présentée dans

cette unité.

[iI-U2] 1.

Calcul à la rupture

Ce mode de calcul suppose que le terrain se comporte comme un solide

rigide-plastique et obéit aux lois classiques de la rupture par cisaillement. Il

est utilisé depuis plusieurs décennies et a donné naissance, dans l’hypothèse de

ruptures rotationnelles, à plusieurs méthodes de calcul.

Les ruptures planes représentent un cas particulier très

simple dans son

principe. Pour les surfaces de rupture de forme quelconque, le calcul est

beaucoup plus complexe.

Pour évaluer la stabilité des talus par une méthode à l’équilibre limite, il

existe des méthodes linéaires et non linéaires. Les méthodes linéaires sont des

méthodes directes de calcul de FS et les méthodes non linéaires nécessitent un

processus itératif. Les méthodes les plus connues sont données dans le tableau

ci-après. Ce tableau montre les points de différence entre les méthodes de

calcul vis-à-vis des hypothèses adoptées. Les méthodes non linéaires différent

essentiellement par les hypothèses faites sur les forces inter-tranches (cf.)

[iI-U2] 1.1. Rupture plane

Le modèle de calcul est celui d’un massif de sol infini reposant par une

interface plane sur un substratum, avec un écoulement parallèle à la pente. La

figure suivante représente une tranche de sol et les forces qui lui sont

appliquées : W le poids du bloc de sol considéré, V et H les efforts sur les

côtés du bloc, N et T les réactions normale et tangentielle à la base du bloc,

UL l’effort dû à la pression d’eau latérale, et U l’effort dû à la pression

d’eau à la base. Compte tenu de l’hypothèse de pente infinie, on peut admettre

que V = 0 et que H et UL s’équilibrent de part et d’autre. En écrivant que la

résultante des forces appliquées est nulle, on peut calculer N et T, ainsi que

le coefficient de sécurité F = Tmax /T.

Le critère de rupture de Coulomb s’écrit :

Classi1.gif

obtient l’expression

suivante pour

[imghttp://www.lb.refer.org/kourdey/images/Classi2.gif]p><p>

[iI-U2]

1.2. Méthode de Fellenius

(rupture circulaire)

C’est la méthode la plus simple pour l’analyse de stabilité des talus. Fellenius

suppose que le volume de glissement délimité par la surface de glissement et la

topographie du talus est subdivisé en n tranches. Chaque tranche est considérée

comme un solide indéformable, en équilibre sur la ligne de glissement.

Considérons un talus recoupant un certain nombre de couches de sols de

caractéristiques différentes ci,fi,gi. La stabilité est étudiée en considérant

le problème 2D, c'est-à-dire en analysant l'équilibre d'une masse de sol

d'épaisseur unité dans le sens perpendiculaire à la figure.

Soit un cercle quelconque de centre O et de rayon R pour lequel on vérifie la

sécurité vis-à-vis du risque de glissement. La méthode consiste à découper le

volume de sol concerné (compris dans l'arc EMF) en un certain nombre de tranches

limitées par des plans verticaux. Etudions l'équilibre de l'une de ces tranches,

par exemple la tranche "ABCD". Les forces agissant sur cette tranche sont les

suivantes:

slope.gif

-son poids W;

-la réaction du milieu sous-jacent sur l'arc AB;

-les réactions sur les faces verticales BC et AD décomposées en réactions

horizontales H et en réactions verticales V. Il s'agit de forces internes au

massif étudié.

-les pressions hydrauliques.

Définissons par rapport au centre O :

-le moment moteur, comme celui du poids des terres W (et des surcharges

éventuelles), qui tend à provoquer le glissement ;

-les moments résistants, comme ceux des réactions s'opposant globalement au

glissement de la tranche.

La surface de rupture étant limitée par les points E et F, le coefficient de

sécurité global FS est défini par le quotient:

FS = SEF(des moments résistants maximaux)

/SEF(des moments moteurs)

Considérons la somme des moments pour l'arc EF, sachant que la somme des moments

des forces est nulle. Fellenius a fait une hypothèse qui simplifie

considérablement les calculs, à savoir que la seule force agissant sur l'arc AB

est le poids W, à l'exception des forces internes.

Dans ces conditions, le moment résistant maximal est fourni par la valeur

maximale que peut prendre la composante tangentielle de Rn : (Rn)t

D'après la loi de Coulomb, elle s'écrit (Rn)t = ci.AB+Nn.tan

fi

Classi4.gif

La somme des moments pour toutes les

tranches est :

Classi5.gif

m: nombre total de tranches, R : rayon

du cercle de glissement.

ci & fi : caractéristiques mécaniques de la couche dans laquelle est situé l’arc

de la tranche AB.

Par ailleurs, le moment moteur est dû à Tn et égal à TnxR, d'où:

[iI-U2] 2.

Etude comparative des méthodes de calcul à la rupture

En 1977, Fredlund et Krahn ont entrepris une étude de comparaison en déterminant

le facteur de sécurité pour différentes méthodes de calcul. L’exemple d’un talus

simple a été traité avec plusieurs combinaisons de la géométrie, des propriétés

du sol et des conditions piézométriques. Mis à part la méthode ordinaire

(méthode de Fellenius), les écarts du calcul du facteur de sécurité, avec un

même jeu de données, n’excèdent pas de plus de 4% pour l’ensemble des méthodes

utilisées (Bishop simplifiée, Spencer, Janbu simplifiée, Janbu rigoureuse,

Morgenstern et Price). La sensibilité du facteur de sécurité aux hypothèses

faites sur les forces inter tranches et pour lesquelles les conditions

d’équilibre sont satisfaites, a été examinée. Les facteurs de sécurité dont l’un

est lié à l’équilibre des forces horizontales Fm et l’autre aux moments

d’équilibre Ff ont été déterminés en utilisant une fonction des forces

inter-tranches f(x) constante et sont reportés en fonction du facteur d’échelle

l sur le graphique ci-après. Le

facteur d’échelle se définit par la relation :

Classi7.gif

X : composante verticale de la réaction

inter-tranche ;

E : composante horizontale de la réaction inter-tranche ;

f(x) : fonction définissant la forme de la ligne d’action dans la zone de

rupture potentielle, x étant la coordonnée horizontale.

l : paramètre détermine la position de la ligne d’action des forces inter-tranches.

Deux cas ont été étudiés : une surface

circulaire et une surface non circulaire. Cette figure montre que le facteur de

sécurité du moment Fm déterminé à partir des moments d’équilibre est

relativement insensible aux hypothèses faites sur les forces de cisaillement

inter-tranches.

Classi8.jpg

Dans ces cas là, la différence entre le

facteur de sécurité obtenu par la méthode de Bishop simplifiée et celui obtenu

par les méthodes de Spencer et Morgenstern-Price (avec

l choisi pour satisfaire les

forces et les moments d’équilibre), ne dépasse pas 0.4%. A l’inverse, le facteur

de sécurité de la force Ff déterminé en satisfaisant l’équilibre des forces est

très sensible à l). Par conséquent les méthodes ne satisfaisant que

l’équilibre des forces (exemple Janbu simplifiée sans correction, Lowe et

Karafiath, etc.) sont moins précises que la méthode de Bishop qui satisfait les

moments d’équilibre. Fredlund et Krahn ont aussi démontré que le choix de la

fonction f(x) dans la méthode de Morgenstern et Price a une faible influence sur

la valeur du facteur de sécurité.

De cette étude comparative des méthodes d’analyse, on en déduit les points

suivants:

- Les méthodes qui satisfont toutes les conditions d’équilibre (forces et

moments) telles que celle de Janbu rigoureuse, Spencer, Morgenstern et Price

donnent des résultats précis.

- La méthode de Bishop simplifiée qui satisfait uniquement l’équilibre des

moments donne des résultats aussi précis que celles citées précédemment sauf

dans le cas où la surface de glissement est fortement inclinée au pied du talus.

-Quand la surface de glissement est fortement inclinée au pied du talus, le

choix de la méthode doit se faire de telle sorte qu’elle donne une distribution

correcte des forces inter tranches.

-Les autres méthodes qui ne satisfont pas toutes les conditions d’équilibre

peuvent (méthode ordinaire de tranches) être très imprécises.

- Le facteur de sécurité Ff, déterminé à partir de l’équilibre des forces est

plus sensible aux hypothèses faites sur les forces de cisaillement inter-tranches

que le facteur de sécurité Fm déterminé par les moments d’équilibre. Pour cette

raison, il est préférable d’utiliser une méthode d’analyse où le moment

d’équilibre est satisfait (celle de Bishop par exemple).

- Toutes les méthodes sont imprécises dans le cas où un remblai est sur une

fondation fortement compressible, car dans cette situation la rupture du remblai

ne se fait pas par cisaillement, mais par traction et fissuration.

[iI-U2] 3.

CLARA

Le code de calcul CLARA est un programme d’analyse de la stabilité des pentes

qui permet de calculer un facteur de sécurité en visualisant les résultats

graphiques du volume instable correspondant, développé par «O.Hungr Geotechnical

Research Inc.». Les méthodes de calcul du facteur de sécurité intégrées dans

CLARA sont: la méthode de Bishop simplifiée (2D et 3D), Janbu simplifiée (2D et

3D), Spencer (2D) et Morgenstern-Price (2D). Elles permettent de calculer un

coefficient de sécurité vis à vis d’un type de rupture bien défini.Le modèle

géométrique est subdivisé en un nombre fini de colonnes parallélèpipèdiques (en

3D) ou en tranches verticales (en 2D). Il exécute plusieurs méthodes de

recherches automatiques du centre de rotation de la surface de glissement

potentiel jusqu’à atteindre le plus faible coefficient de sécurité.

Chaque méthode choisie par l’utilisateur,

est limitée en nombre d’opérations par une valeur limite des paramètres

géométriques de la surface de glissement analysée. Ces paramètres, représentés

sur la figure, sont:

-la position du centre de rotation de

l’éllipsoide, défini par les coordonnées Y et Z (grille limitée à 1010 points);

-le plan auquel appartient le centre de rotation de l’éllipsoide (valeur de X);

-la position du plan tangent de la surface de glissement dans la direction Z (4

plans tangents au maximum);

-le rapport d’aspect ou ratios (Rx/Ry) qui définit l’étendue du volume de

glissement dans la direction latérale X et parallèle au sens du glissement Y (4

ratios au maximum).

Dans le cas d’une géométrie

bidimensionnelle, la surface de rupture est circulaire. Cette surface devient

une éllipsoide lorsqu’on a un modèle à 3 dimensions. Plusieurs séries de calculs

sont nécessaires pour fixer les paramètres géométriques de la surface de

glissement donnant le plus petit coefficient de sécurité.

[iI-U2] 3.1. Définition des

paramètres géométriques de surface de rupture

Dans ces calculs, il est supposé que:

-le volume instable est subdivisé en un nombre fini de colonnes actives.

-la surface de rupture est un loup de glissement dont la base est assimilée à un

arc de cercle (en 2D) ou une partie d’éllipsoide (en 3D);

-tous les points situés sur la surface de glissement ont la même coefficient de

sécurité;

le matériau du talus analysé obéit au critère de plasticité de Mohr-Coulomb.

Voici une illustration animée d'une surface de rupture circulaire. C'est

l'hypothèse la plus simple et le mode typique le plus courant de rupture dans un

sol

Classi9.jpg

[iI-U2] 4.

LARIX-4S

LARIX-4S est un programme pour le calcul de la sécurité de la stabilité des

pentes, digues, enceintes de fouilles et murs de soutènement selon la méthode

des lamelles. La sécurité de la stabilité est déterminée par l’étude de

l’équilibre global des efforts agissant sur une tranche verticale de sol en

tenant compte des couches de sol, de la pression d’eau interstitielle, des

surcharges, de la résistance des ouvrages, des ancrages et des sollicitations

sismiques. Les méthodes reconnues de Krey et Janbu sont disponibles.

La sécurité peut être calculée pour des

cercles de glissement, avec ou sans tangentes, ou pour des lignes de glissement

polygonales. Le programme permet aussi bien de travailler avec le concept des

coefficients de sécurité partiels selon les nouvelles normes qu’avec celui des

coefficients de sécurité globaux.

Classi10.gif

[iI-U2]

Activités

1- Project N.1(70 points)

La figure suivante montre un cas d'un

talus affecté par un cercle de rupture pour lequel on demande de calculer, par

les différentes méthodes (Fellenius, Bishop, Spencer, Janbu), le coefficient de

sécurité. Ce talus est premièrement considéré homogène, puis on suppose la

présence d’une couche de sol aux faibles caractéristiques mécaniques. L’effet de

la nappe a été également pris en compte. On a retenu une surface de rupture

circulaire pour que toutes les méthodes puissent être comparées.

Classi4.jpg

  • Auteur
comment_4161

posté par bentafat_rachid

la formule qui determine le coeficient FS

Classi6.gif

le cuvelage du radier général doit tenir compte du phénomène du renard qui risque de generer le basculement du batiment "" poussée d'Archimède ""

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