Bonjour je reviens vers vous une fois encore et c'est pas la dernière fois

Jai deux questions qui me travail

-la premiere s'adressent aux charpentier, c'est par rapport a la liaison entre toiture (metal ou bois) avec les murs (beton ou maçonnerie), ya une hypothèse que je pose quand je calcul mes murs comme quoi ils sont bloqués par la charpente, on ma appris a faire comme cela pour eviter que les murs soit en consol au dernier niveau, ma question est comment les charpentier procede til pour assurer se contreventement , cest quoi l'hypothèse qui prennent par rapport aux appuis dans la maçonnerie sans oublier qui faut contrventer la toiture aussi

-La deuxième cest par rapport aux massifs sous poteau metal, le ferraillage de ce dernier est fait suivant les efforts V H M , ma question cest par rapport au ferraillage du massif , moi je fait un pannier armer en bas et en haut quand jai un moment , ma question peut on juste mettre un fut incorporé a la place du ferraillage en partie haute , si oui pourquoi, est quand est que on applique l'une ou l'autre méthode

Si quelqu'un a une idée

merciiiii

Modifié Septembre 25, 201311 a par elninhyo

Bonjour,

 

après des recherches  et un long débat avec un ingénieur charpente , je crois que j'ai enfin cru comprendre les différents hypothèses par rapport aux différents cas , je vous résume le cas par rapport à a la conclusion que j'ai tiré:

 

1) le cas basique de la toiture (charpente) qui repose sur les murs ou poteaux sans assurer les contreventement de se dernier:

 

-les hypothèses prises pour le calcul de la toiture : appuis double - appuis glissant 

 

l'appuis glissant permet à la toiture de se dilater ce qui segnifie éliminer les efforts horizontaux de la toiture si elle a une pente ( on devise notre effort en effort vertical et horizontal), dans le cas d'une toiture sans pente ,pas d'effort horizontal 

 

-les hypothèses prises pour le calcul du poteau ou mur 

 

le poteau est auto stable ,il doit reprendre les efforts horizontaux généré par le vent ou n'importe quelle effort horizontal par lui même, cela induit pour le calcul , le poteau est encastré à sa base et libre en tête,( je parle juste par rapport plan de portique)

 

pas d'efforts horizontal dû à la toiture (appuis glissant qui permet le déplacement et annule tout les efforts horizontaux) juste l'effort vertical

 

2) le cas d'une toiture qui repose sur les poteaux et assure le contreventement :

 

-les hypothèses prises dans le calcul de la toiture: appuis double-appuis double

 

dans ce cas la on empêche la toiture de se dilater , ce qui va engendrer des efforts horizontaux si la toiture est en pente , pour reprendre ces efforts horizontaux, soit que la poutre soit infiniment rigide ( cas rare) soit mettre un arbalétrier qui lui va reprendre les efforts de compression et de traction dû à la pente de la toiture, 

pour les efforts de vent transmis par le poteau ( dans ce cas poteau appuyé en tete) , il faut mettre des contreventement (crois de saint André ) qui eux vont transmettre les charge sur un point donné (pignon par exemple (dans le plan du pignon (pas le même plan étudier )qui va reprendre ces efforts sans problèmes ) 

 

dans le plan perpendiculaire au portique , on doit aussi assurer le contreventement, dans ce cas la on se retrouve avec de contreventement , un dans le sens portique et l'autre dans le plan perpendiculaire au portique 

 

les hypothèses prises pour le calcul des poteaux: en pieds (soit encastré ou appuis double,tout dépends de se qu'on veut ) et en tête ,se sera appuis sur la toiture bloqué horizontalement 

 

voila j’espère que j'ai bien résumé la situation, 

 

salutation!!! et merci 

Salut,

 

Je dirais tout dépend de la pente de la toiture ainsi que de la portée, si vous avez une faible pente et une portée raisonnable alors deux articulations pour une poutre en toiture donnera que des petits efforts horizontaux qui son négligeable pour la structure ( cas de charge du vent ).

 

Pour le cas des treillis ou des poutres avec une pente très importante, il faut un appuis glissant et une articulation, la je suis d'accord avec vous et votre définition est pour moi juste.

 

Pour le cas des portiques, nous somme plutôt soit dans le cas d'une articulation ou d'un pseudo-encastrement ( voir les formules de longueur de flambement fixe ou déplaçable qui prennent en compte les rigidités ainsi que ceux des assemblages boulonnées ou soudées ).

 

Enfin, pour les pieds de poteaux, il faut plutôt prendre en considération la nature du sol, les déplacements admissible, le bilan économique entre le GO et la CM,...

 

Pour finir merci de votre réponse.

 

@+ et bon courage

Bonjour

Quand vous dites portique, vous parlez dans le cas ou la structure est métallique , dans ce cas je suis d'acord sur le système de liaison , si je ne dit pas de betise , pour une articulations en tete faut que les pieds soient encastré, pour avoir l'équilibre (degré d'hyperstasité)

Par contre se que vous dites par rapport au flambement,c'est un autre sujet que je trouve tres intéressant,

Je vous explique actuellement je suis dans un cas d'une toiture (charpente) , sur des poteaux BA autostable qui sont élancés, pour le calcul de ces derniers , je suis bien obligé de prendre en compte les effets du seconds ordre, la je coince au niveau de la verif,

Jai trouvé des sujets tres interssant sur le forum , si vous voulez, je partagerai mon modèle pour essayé de le traiter ensemble

Merci pour votre participation

Modifié Octobre 6, 201311 a par elninhyo

Bonjour,

 

je reviens vers vous par rapport à la deuxième question que j'ai posé par rapport à la disposition du ferraillage(aciers sup et inf)

 

j'ai suivi votre conseil et j'ai consulté le livre de M.thonier tome 1 fondation ; j'ai trouvé rien par rapport à la disposition des aciers haut, même dans le cas d'une flexion déviée (moment), le ferraillage se fait juste suivant la nappe inférieure,

 

le seul cas ou il parle d'aciers haut, c'est le cas d'une semelle souple sous plusieurs poteaux( qui est considéré comme une poutre continu sur sol élastique  ) chose que je trouve logique, 

 

en conclusion c'est qu'on a pas besoin d'acier supérieurs pour une semelle rédige d> (A-a)/2 même dans le cas de moments supplémentaire,

 

salutation!!