Posté par Rafik

Q1 –

J’aimerai débattre avec vous ce paragraphe

En général, il est admis d'utiliser un modèle élastique et linéaire, la rigidité des éléments étant évaluée en supposant le béton non fissuré et sans tenir compte des armatures. Ce modèle est cependant insuffisant pour certaines justifications ainsi dans le cas des poutres de bâtiments courants, il est préférable d'effectuer un calcul forfaitaire des moments sur appuis pour mieux tenir compte du comportement réel du béton armé. V. Davidovici, « Formulaire du béton armé – Volume 1 »

Q2-

Dans la pluparts des livres de calcul béton armé on trouve le schéma de la figure ci-dessous, et on dit que les sollicitations sont calculées en appliquant à la structure les combinaisons d'actions définies ci-après.

Dans nos calcul de structure avec logiciels, on a tous tendance à aller au cas de charge (1), où touts les travées sont chargée par la combinaison 1,35G+1,5Q, sous l’hypothèse que c le cas de charge le plus défavorable (la combinaison qui donne le moment max sur appui et en travée)

j’ai fais un petit calcul pour le schéma ci-dessus, et j’ai trouvée un moment max en travée qui n’est pas donnée par le cas de charge (1)

Dans certaines références, on trouve aussi des tableaux comme montré ci-dessous.

La question est :

Faut-il tenir compte de ces schémas de charge (travée chargée & travée déchargée) dans nos calculs automatiques ?

posté par par brahim_

je pense que le tracé de la courbe enveloppe du moment d'une poutre continue sur plusieurs appuis sous differentes cas de chargement et déchargement des travées de la poutre. cette courbe enveloppe passe par les valeurs max des moments négatifs aux niveaux des appuis.

Le calcul des structure avec logiciel donne aussi des effort plus important au niveau des appuis. Il est donc a mon avis util de faire un autre calcul par la méthode forfaitare pour une vérification des moments au niveau des travées donnés faible par le logiciel.

A cette occasion je voulé vous posé une question khouya rafik concernant le calcul des semelles filantes : Esq on peut modéliser la poutre de rigidité de la semelle comme étant une poutre continue de section en T renversée sollisitée par un chargement trapeizoidale ou uniforme (réaction du sol sur la semelle)?

Autre question concernant la modélisation des poutres appuiant sur le voile, j'ai trouvé des examples de structure ou la poutre s'arrete juste au niveau de la jonction avec le voile. en effet j'ai recontré des probléme de réalisation des voiles avec ouverture ( la complexité de réaliser les cadres des liteaux les armatures diagonales et en même temps les cadres de la poutre?

Merci beaucoup Rafik wa baraka allahou fik.

posté par Rafik

Salam mon frère Bahim

Pour la première question

C vari que des qu’on sort des schémas usuels pour la disposition des semelles, (semelle isolée sous poteau ou semelle filante sous mur), a ma connaissance, un calcul manuel devient un peut difficile et on a recoure au calcul EF, et donc l’approche de modélisation que tu as mentionnée

Je vous propose ce lien qui parle justement de la modélisation des poutres sur appuis élastique

http://www.graitec.fr/expert/15_10_2001_fg.asp

pour la deuxième question

J’ai pas compris « j'ai trouvé des exemples de structure ou la poutre s'arrête juste au niveau de la jonction avec le voile », Es-que vous insinuez voiles avec ouverture ou bout de voile ?

Pour la modélisation, es qu’il faut modéliser la « poutre liée au voile », oui il faut la modéliser

Pour la réalisation, je pense qu’on peut toujours étaler les cadres de la poutre (espacement 20cm par exemple) pour faciliter la mise en œuvre des barres diagonales

J’ai remarqué dans certaines références USA, qu’en zone sismique, ils utilisent des voiles d’épaisseur 25cm, 30cm, et plus, et du coup le linteau et « la poutre appuyant sur le voile » devient un seule élément avec des barres longitudinales, des cadres, et des barres diagonales si nécessaires

Dans la pratique algérienne, on utilise surtout des voiles d’épaisseur 15cm ou 20cm (pour les bâtiments standards), et dans ce cas je pense qu’on ne peut délaisser « la poutre appuyant sur le voile »

Merci

posté par titanic

bonjour

pour votre sujet il me semble qu'il est noté quelques parts que pour

utiliser les méthodes de calcul forfaitaires on devra verifier un

certains nombre de points qui sont :

1 l'importance des surcharges

2 le rapport entre les travées successives

.......

dans le cas ou les surcharges sont importantes et que le rapport entre deux travées successives n'est pas compris entre 0.8 et 1.25 il y'a lieu de passer a la methode de chargement et dechargement pour non seulement determiner les moments max sur appuis mes pour determiner les moments max en travées positifs pour les grandes portées et les moments (max ) négatif en tarvées pour les petites travées

je vous donne pour exemple à faire

une poutre à 4 travées

Lt1 = 8 m surch 10 kn/ml

Lt2 = 2 m surch 5 kn/ml

Lt3 = 5 m surch 3 kn/ml

LT4 = 9 m surch 10 kn/ml

essayer de tracer la courbe enveloppe

et déduiser l'éepure d'arrêt de barre et tu verra

posté par Rafik

Salut titanic

J’aimerai bien savoir la référence qui postule que "pour les surcharges importantes, il y a lieu de passer a la méthode de chargement/déchargement des travées", sa fait un bon moment que je cherche ça mais rien trouvé

Merci

posté par Chikh

Normalement la norme NF P 06-001 devrait t'aider à y voir plus clair,malheureusement je ne l'ai pas, il s'agit de l'application des coefficients d'accompagnements des charges

Le cours Ossatures et éléments couranst des techniques de l'ingénieur rédigé par Perchat reprend cette répartition, si tu en as besoin je te l'envoie

Bon courage

posté par taharbba

bonsoir rafik

voir a titre d'exemple le BAEL aux annexes Methodes de calcul

je n'ais pas la nouvelle version des regles BAEL mais je peut te donner celles des années 1983 que j'ai trouve dans la bibliotheque

Annexe E.1

B.6.2.210 domaine d'application

En plus de la condition définie en B.2.1 charge d'exploitation au plus egale a 2 fois la charge permanente ou à 5000 N/m2 la methode ne s'applique qu'à des elements flechis (poutres ou dalles calculées en flexion dans un seul sens ) remplissant les conditions suivantes

- les moments d'inertie des sections transversales sont les memes dans les differentes travees en continuité

- les portées successives sont dans un rapport compris entre 0.8 et 1.25

- de plus la fissuration est considereé comme non prej à la tenue du béton armé ainsi qu'à celle de ses revetements.

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