Bonjour,

 

Le recours au voile dit « mur plaque » pour désolidariser ce dernier de la structure  est couramment

Utilisée en Algérie  lorsque le terrain est en pente l’objectif est d’éviter la torsion.

Je souhaite relancer le débat quant à la pertinence de cette de solution certain ingénieur  du CTC le refuse

 

bonjour,

 

j'ai bien dit qu'il sera calculé comme une console c'est à dire comme un soutènement traditionnel.

indépendamment de la structure du bâtiment . il y'a que la semelle qui sera jumelée donc justifier en conséquence.

et je ne voit pas de difficulté de   réalisation  

 

bonjour,

 

pourquoi donc vous l'appeler voile plaque ;c'est un mur de soutènement.le voile plaque n'est rien d'autre qu'une dalle appuyée sur quatre cote et il est calcule en conséquence ,c'est une confusion dans les appellation.  

bonjour,

 

personnellement, je ne le vois pas comme problème de CTC, mais il s'agit d'un problème technique qu'il faut resourdre

 

un voile plaqué est est écran plan, rigide et indéformable qui prend appui sur la structure et qui transmis les poussées permanente des remblais et de talus.

 

dans ce cas dans les hypothèses de calcul, on considère que le plancher est un diaphragme rigide indéformable, donc dans notre modèle de calcul on trouve un déplacement puisque on prend le niveau de base celui de la base de mur adossé, mais en réalité dans le sens perpendiculaire au voile adossé on a un appui latéral (cad que ce sens est bloqué par le mur se qui vaut un déplacement nul)

 

je pense qu'il y'a pas de concordance entre le modèle de calcul et la réalisation et les hypotheses de calcul

bonjour,

 

pourquoi donc vous l'appeler voile plaque ;c'est un mur de soutènement.le voile plaque n'est rien d'autre qu'une dalle appuyée sur quatre cote et il est calcule en conséquence ,c'est une confusion dans les appellation.  

 

bonjour,

 

bonjour,

je ne parle pas de voile plaque dans ce cas mais d'un mur de soutènement avec semelle commune à la structure 

bonjour,

 

personnellement, je ne le vois pas comme problème de CTC, mais il s'agit d'un problème technique qu'il faut resourdre

 

un voile plaqué est est écran plan, rigide et indéformable qui prend appui sur la structure et qui transmis les poussées permanente des remblais et de talus.

 

dans ce cas dans les hypothèses de calcul, on considère que le plancher est un diaphragme rigide indéformable, donc dans notre modèle de calcul on trouve un déplacement puisque on prend le niveau de base celui de la base de mur adossé, mais en réalité dans le sens perpendiculaire au voile adossé on a un appui latéral (cad que ce sens est bloqué par le mur se qui vaut un déplacement nul)

 

je pense qu'il y'a pas de concordance entre le modèle de calcul et la réalisation et les hypotheses de calcul

bonjour,

quand j'ai cité le CTC c'est pour dire que c'est une solution qui ne fait pas l'unanimité ,donc discutable 

néanmoins,  un organise de contrôle est censé avoir un même son de cloche du moins c'est un pb technique qui revient régulièrement.

Modifié Février 17, 201510 a par djamel 2

Salam tout le monde,

En Algerie on a tendance à dire c'est comme ça et c'est tout. Je ne comprends pas pourquoi. L'ingénierie n'est pas figée, il s'agit de prendre les bonnes hypothèses et de les justifier par un modèle adéquat. Tout ou presque est faisable c'est ça être ingénieur je pense: trouver des solutions et faire avancer les choses.

Le voile plaque bloque le bâtiment ? Ou les terres qui sont derrière peut-être ? Et alors ? Même en l'incorporant à la structure, en supposant qu'on arrive à annuler la torsion, il sera bloqué aussi. Le problème est peut être la possibilité d'entrechoquement du voile et de la structure pendant l'oscillation. Donc pourquoi ne pas trouver une solution à ça plutôt ? Relier le voile à la structure pour les obliger à osciller ensemble dans un sens et se désolidariser dans l'autre peut se faire. Créer des éléments sacrificiels est utilisé dans les études parasismiques comme pour les ponts par exemple. Si un séisme se produit et détruit a liaison (possible mais pas assuré) alors on le reprendra après c'est tout.

Les structures comme calculées en ce moment en Algérie ne sont absolument pas anti-sismiques. Les principes de base de la conception parasismique ne sont pas appliqués. Personne ne comprend le RPA...