Salut ,

Je voulais savoir le type d'essai ou de sondage à demander pour determiner la contrainte admissible du sol pour une fondation superficielle de2.5mx2.5x h +- m. Qui supporte un potence. Je parle des essais à moindre prix , autres que le pénétromètre, ou un sondage lors des fouilles.

Merci d'avance

 

 

Bonjour à tous 

Merci pour vos réponses. 

Maintenant j' ai l'essai PDL leger qu'on peut faire avant la fouille. Pour la reconnaissance  visuelle lors des fouilles , on prend un échantillon à la profondeur de la fondation ou bien à  profondeur de 5m ? Une fois on a l'échantillon,  il faut l'envoyer au labo ?

Merci d'avance.

Cordialement 

Tu dois tout d'abord  établir une desciption lithologique de votre puits.

Bonjour , ça consiste à quoi cette description ? 

Merci

 

Il y a 20 heures, KARIMTCA a dit :

Bonjour , ça consiste à quoi cette description ? 

Merci

 

coupe géologique en décrivant la nature du sol sur toute la profondeur de la fouille, puis des essais d'identification, physique et chimique, compléter par des penétrodynamiques pour estimer la contrainte admissible et l'ancrage des fondations.

Bonjour

La notion de contrainte admissible fixée à l'avance par un laboratoire est une absurdité géotechnique.

La contrainte admissible telle qu'elle est établie scientifiquement est fonction des dimensions de la semelle. Ces dimensions sont déterminés après la descente de charge faite par un bureau d'étude. C'est donc ce dernier qui a la main sur cette notion de calcul de la contrainte admissible d'un sol.

Cdt

Effectivement le laboratoire doit se tourner vers la fiabilité de ces essais (Pressions limites et modules sous estimées)!

il s'agit d'une seule semelle isolée donc un point de sondage est suffisant. prévoir d'autres méthodes de reconnaissance est envisageable, et est ce que c'est moins profond ? c'est une question des surcharges appliquées au sol d'assise et des exigences du maitre d'ouvrage et le degré de risque associé acceptable pour l'ouvrage.

la proposition faite est le minimum requis , et biensure les missions d'etudes geotechnique peuvent se décliner en plusieurs phases , et le fait de décliner ces études renseignet sur le degré de risque y associer, et à chaque phase l'ingénieur géotechnicien est appelé à ajuster et ou approfondir ces résultats en fonction de l'avancement du BET structure. et chacun participe de son coté pour fixer la contrainte admissible parceque celle-ci dépend de la nature des sols et le choix des paramètres mécaniques de conception relève de la responsabilité du géotechnicien chargé d'étude.

Cordialement.

 

 

Il y a 5 heures, baghat84 a dit :

il s'agit d'une seule semelle isolée donc un point de sondage est suffisant. prévoir d'autres méthodes de reconnaissance est envisageable, et est ce que c'est moins profond ? c'est une question des surcharges appliquées au sol d'assise et des exigences du maitre d'ouvrage et le degré de risque associé acceptable pour l'ouvrage.

la proposition faite est le minimum requis , et biensure les missions d'etudes geotechnique peuvent se décliner en plusieurs phases , et le fait de décliner ces études renseignet sur le degré de risque y associer, et à chaque phase l'ingénieur géotechnicien est appelé à ajuster et ou approfondir ces résultats en fonction de l'avancement du BET structure. et chacun participe de son coté pour fixer la contrainte admissible parceque celle-ci dépend de la nature des sols et le choix des paramètres mécaniques de conception relève de la responsabilité du géotechnicien chargé d'étude.

Cordialement.

 

 

Bonjour

Fixé une contrainte admissible pour un sol est une absurdité scientifique en géotechnique ! La contrainte admissible est variable en fonction de la profondeur d'ancrage et des dimensions de la semelle !

Par contre, nous pouvons très bien fixer une pression limite pour un sol selon la méthode de Ménard.

Cdt

Il y a 2 heures, BELLAMINE a dit :

Bonjour

Fixé une contrainte admissible pour un sol est une absurdité scientifique en géotechnique ! La contrainte admissible est variable en fonction de la profondeur d'ancrage et des dimensions de la semelle !

Par contre, nous pouvons très bien fixer une pression limite pour un sol selon la méthode de Ménard.

Cdt

je ne suis pas d'accord, normalement dans un rapport géotechnique et pour la première étape de l'étude le chargé de l'étude peut faire une série de calcul pour plusieurs dimensions de semelles. 

après et une fois la descente de charge fixé le BET demandera à l'ingénieur de figer la contrainte suivant les surcharges réelles. 

je ne vois aucune absurdité par rapport à ça ! sinon à qui incombe la responsabilité de fixer la profondeur d'ancrage (sol d'assise) avec toutes ces paramètres physiques et hydrauliques.

cordialement. 

 

Il y a 2 heures, baghat84 a dit :

je ne suis pas d'accord, normalement dans un rapport géotechnique et pour la première étape de l'étude le chargé de l'étude peut faire une série de calcul pour plusieurs dimensions de semelles. 

après et une fois la descente de charge fixé le BET demandera à l'ingénieur de figer la contrainte suivant les surcharges réelles. 

je ne vois aucune absurdité par rapport à ça ! sinon à qui incombe la responsabilité de fixer la profondeur d'ancrage (sol d'assise) avec toutes ces paramètres physiques et hydrauliques.

cordialement. 

 

Bonsoir

Le laboratoire donne les caractéristiques physiques et mécaniques des différentes couches de sols rencontrés selon un programme de reconnaissance géotechnique proposé par le BET. Profondeur d'ancrage, contrainte admissible, dimensions de la semelle, type de fondation ... est l'affaire de l'ingénieur géotechnicien en poste de travail dans un BET ! C'est ce dernier qui pilote le programme de reconnaissance géotechnique avec le laboratoire.

Cdt