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A qui revient le calcul et l'engagement sur la valeur de la contrainte admissible sous une fondation superficielle, et pourquoi ?

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comment_145797
il y a 29 minutes, BELLAMINE a dit :

Quelle modèle peut on alors appliquer dans ce cas ? Sachant bien que celui de la RDM a été écarté par l'EC7 !

Cordialement 

Répartition linéaire de la contrainte (triangulaire ou trapézoidale).

Sinon, après c'est de la modélisation (ISS)

comment_145800
il y a 1 minute, BELLAMINE a dit :

Oui mais l'EC7 en vigueur a écarté le modèle RDM!!! de la répartition linéaire en question 

Extrait NF P94-261 (juin 2013) Justification des ouvrages géotechniques - Normes d'application nationale de l'Eurocode 7 - Fondations superficielles Modifié par : Amendement A1 (février 2017) Indice de classement : P94-261

Annexe G

G.1  Préambule

(1) Cette annexe présente les procédures d'estimation de la réaction du terrain transmise à une fondation superficielle pour le calcul de son ferraillage.

(2) Différentes méthodes de calcul des valeurs de contraintes transmises par le terrain à une fondation superficielle peuvent être mises en oeuvre (Note 1) :

  • méthode de Meyerhof ;

  • méthode de répartition triangulaire ou trapézoïdale des contraintes ;

  • méthode MISS – lois d'interaction sol-structure locale ;

  • méthode MISS – méthode des éléments finis ou des différences finies.

comment_145801

Méthode linéaire double excentricité. Vous l'avez surement déjà mais au cas où.

144_sem_deviee_0.xls Extrait_Thonier-p202.pdf

il y a 37 minutes, BELLAMINE a dit :

Oui mais l'EC7 en vigueur a écarté le modèle RDM!!! de la répartition linéaire en question 

Vous l'avez lu dans l'EC7 ?

Sinon, vous aviez une autre méthode de calcul "manuelle" en tête ?

Modifié par Invités

comment_145810
il y a 18 minutes, BELLAMINE a dit :

1- Nous ne pouvons pas proscrire les essais de labo pour certains types de sols dont le comportement à court terme peut entraîner une déstabilisation prématurée de certains ouvrages même pendant les travaux. Le court terme nécessite un essai de compression triaxial pour avoir la cohésion non drainée Cu !

2- la notion de court et long terme (non drainée et drainée) on la trouve pas dans les méthodes pressiométre et pénetrometre statistique. En plus comment peut-on prendre en considération l'influence de la variation de la nappe phréatique pour le presio par exemple. Les essais in situ et de laboratoire se complètent. C'est juste là question du délai des études Gèotechnique qui dans certains cas donne la préférence de l'in situ par rapport à ceux du labo. Mais ce n'est pas systématiquement.

3- le génie civil ou l'ingénierie en général une profession de coordination! Nous ne pouvons pas séparer les deux compétences. Elles sont par leur nature d'interaction indissociables !!!

 

C'est un truc de fou. Je pense avoir eu en main environ 500 études de sol étalées sur 20ans. Sur l'ensemble de ces études, l'angle de frottement interne et la cohésion ont dû être fournies 3 fois.

Avez vous un exemple d'étude de sol "minimale" pour pouvoir travailler correctement. Si non, que dois contenir cette étude selon vous ?

Invités
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