salut tous le monde.....

j'ai a étudier un établissement scolaire implanter dans une zone sismique (zone III). le rapport géotechnique ne donne pas grand chose les seules données que j'ai c :

1. contrainte moyenne du sol 1 bars

2. le sol est une marne gonflante et tassante (le rapport ne donne pas les paramètres de gonflement : pression et potentiel de gonflement)

3. présence d'une nappe phréatique (le rapport ne donne pas le niveau de cette nappe)

sachant qu'il ya des blocs en R+1 a R+2. les entre axes des poteaux deux files 3.30 et 6.00 ce que je cherche:

1. comment introduire l'effet du gonflement dans le calcul des fondations?

2. si je prend des semelles filantes esq ca résoud le problème??

3. pour ce type de sol les semelles filantes seront obligatoirement dans les deux directions ????

:hurt1: :hurt1: :hurt1:

ATZAGATT 3AALIK :mrgreen: :mrgreen: TU ES EN FACE D UN GRAND DEFI A SURMONTER EFFICASSEMENT .... DEMANDES OFFICIELLEMENT LES S PARAMETRE GEOTECHNIQUES IN SITU ET AU LABORATOIRE AFIN DE CERNER LES HYPOTHESES .

DEMANDES SURTOUR LA HAUTEUR MAX DE LA REMONTEE DES EAUX QUI ONR UN EFFET DECLENCHEUR DU GONFLEMENT ET DE REDUCTION DE LA CAPACITE PORTANTE DU SOL "" effouillerment des fondations "" .

:inlove: rak khawaftni rachid .... et concernant les questions que j'ai posé esq ta des reponses pour m'orienter un peu

rachid.... le processus du gonflement est claire pour moi mais comment expliqué la chute de la portance par la remonté de la nappe (c le principe de la contrainte effective ???)

rachid.... le processus du gonflement est claire pour moi mais comment expliqué la chute de la portance par la remonté de la nappe (c le principe de la contrainte effective ???)

la romontée capilaire touche que les sols coherents "" argileux "" il faut bien interpreter les limites d'atterberg ""indice de plasticité , limite de liquidité , teneur en eau initial ............

la romontée capilaire touche que les sols coherents "" argileux "" il faut bien interpreter les limites d'atterberg ""indice de plasticité , limite de liquidité , teneur en eau initial ............

ARGILE GONFLANTE NE SIGNIFIE PAS LA RUINE il faut estimer la pression du gonflement et la comparer avec la pression des charges verticales .....LA PRESSION DU GONFLEMENT SERA CONTREBALANCER PAR LA PRESSION DES CHARGES VERTICALES....

le declenchement du gonflement est lié directement à une teneur en eau qui caractérise l'indice d'activité "" limite d'aterberg "".

le coulage de l'infra en periode d"'été signifie la meilleure parade anti sol gonflant ......apres 06 mois les fondation seront à l'abrit du changement de la teneur en eau , la marne sera si dure , sa capacitéportanteassure l'integrité de l'ensemble .

le plus important il faut gerer le VRD .. evite l'affouillement des fondation .....afin d'eliminer les cause qui touche l'indice du plasticité Ip et l'indice d'activité Ic .......................

Le gonflement et le retrait se limitent à la partie supérieure du sol, là où la teneur en eau des sédiments varie tout au

long de l'année en fonction des précipitations et de la croissance de la végétation. Toutefois, le sol est stable sous

cette « zone active ». Une des solutions techniques à ce problème, proposée par des ingénieurs, est donc de poser

les fondations sur des pilotis qui traversent la zone active jusqu'au sol stable sous-jacent.

A mon avis , le rapport géotechnique doit spécifier le niveau d'assise, le niveau de de la nappe phréatique , le mode de fondations proposé en fonction de la contrainte admissible du sol, et le calcul des tassements..

Si ces éléments, ne sont pas indiqués, à l'ingénieur de demander un rapport complémentaire pour répondre à ces questions..

Pour les argiles gonflantes, ce sont des argiles très sensibles à l'eau à comportement cyclique..Pendant la période pluvieuse , l'argile gonfle , et pendant la période sèche elle perd l'eau intersticielle et perd de volume... C'est pourquoi il ya des mesures protecrtices pour mettre hors de l'eau ces argiles et éviter ce comportement variable .. tel que faire un trottoir périphérique de largeur 2m minimum de largeur , éloigner les arbres à racines profondes au moins à 4m du bâtiment ..

Et normalement, ces mesures doivent être indiquées dans le rapport géotechnique....

le rapprt a donné que ces des fondations superficilles et concernant le rapport complémentaire le maitre de l'ouvrage nous a dis que ces urgent on peu pas attendre (la politique quoi )

A mon avis , le rapport géotechnique doit spécifier le niveau d'assise, le niveau de de la nappe phréatique , le mode de fondations proposé en fonction de la contrainte admissible du sol, et le calcul des tassements..

Si ces éléments, ne sont pas indiqués, à l'ingénieur de demander un rapport complémentaire pour répondre à ces questions..

Pour les argiles gonflantes, ce sont des argiles très sensibles à l'eau à comportement cyclique..Pendant la période pluvieuse , l'argile gonfle , et pendant la période sèche elle perd l'eau intersticielle et perd de volume... C'est pourquoi il ya des mesures protecrtices pour mettre hors de l'eau ces argiles et éviter ce comportement variable .. tel que faire un trottoir périphérique de largeur 2m minimum de largeur , éloigner les arbres à racines profondes au moins à 4m du bâtiment ..

Et normalement, ces mesures doivent être indiquées dans le rapport géotechnique....

le rapprt a donné que ces des fondations superficilles et concernant le rapport complémentaire le maitre de l'ouvrage nous a dis que ces urgent on peu pas attendre (la politique quoi )

pas de politique lorsque le coté technique prime , il faut demander çà officiellement , la bon gestion signifie automatiquement la prise en compte du coté scientifique basé sur les normes et les exigences techiques ,, j'ai pas aimé le terme ""le maitre de l'ouvrage nous a dis que ces urgent on peu pas attendre"

En plus, comme a indiqué Rachid, il faut vaincre la pression de gonflement qui est une contraite ascendante .. C'est pourquoi dans la pratique on met des massifs profonds en gros bétons qui qui par leur poids résistent à la pression de gonflement ..

La mesure de la pression de gonflement, se fait par les essais oedométriques.. les limite d'atterberg, permet de classifier l'argile en argile peu plastique, plastique, ou très plastiques .. juste elle nous fait un rapprochement

je veux savoir dans le cas général comment prendre en compte le gonflement pour le dimensionnement des fondations, et esq un réseau de semelles filantes peu jouer un rol ????