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comment_12625

Il existe deux familles de méthodes d’analyse de la vulnérabilité sismique : les méthodes de vulnérabilité observée et de vulnérabilité calculée. Dans les premières, on utilise le retour d’expérience des séismes passés pour estimer la vulnérabilité des bâtiments représentés par leurs caractéristiques structurales. Pour les secondes, la vulnérabilité du bâtiment est calculée sur la base des informations structurales disponibles à l’aide de modèles numériques plus ou moins sophistiqués. Dans les 2 cas se pose le problème de la connaissance du bâti existant qui n’est jamais parfaite. Dans ce qui suit les auteurs proposent une nouvelle méthode d’estimation de la vulnérabilité fondée sur les caractéristiques modales expérimentales.Voici le lien:

http://arxiv.org/ftp/arxiv/papers/0710/0710.1603.pdf

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comment_12644

C’est un sujet qui me tient beaucoup à cœur, l’ancien bâti. J’avoue que c’est l’interaction structure (en BA) maçonnerie qui ma conduit sur cette voie passionnante où intervient toute un monde de spécialiste (archéologie, Architecte, civil, chimistes etc…) vu la diversité des systèmes et matériaux adoptés aux différentes époques de l’humanité et leurs lieux. Enfin, devant les innombrables thèses pour la sauvegarde de ce patrimoine de l’humanité une a attirée mon intention que je trouve assez saine (peut être même écolos), devant le taux de paramètres inconnues qu’on suppose et qu’on fixe empiriquement, logiquement même aléatoirement par des expériences scientifiques ou par des yeux usés celle-ci consiste à reconstruire ce bâti en gardant la même technique et matériaux ce qui relève plutôt de la restauration pure et simple car souvent ce vieux bâti mal traité soufre d’un manque si ce n’est pas d’une absence totale d’entretien mais continu à résister à tout les aléas du temps même dans un état de vestige, il est là.

Cet approche, qu’est plus archéologique à mon sens, devant notre ignorance préfère la restauration identique car pour elle adopter ou faire intervenir des matériaux étranger à la structure pour des raisons de confortement peut s’avérer plus dangereux notamment pour un comportement antisismique et site le cas le plus répandu la restauration des planchers on adoptantes des techniques les rigidifiant constitues l’un des plus grands dangers auxquels elle se trouve exposée. La capacité d’une ville bâtisse à dissiper l’énergie vibratoire est globale est ne peut être simplifié en quelques-uns des ses élément indépendant accomplissant ce rôle car ca engendre d’autres effets ou phénomènes qui ne peuvent qu’être fatale dans le meilleurs des cas.

C’est une approche parmi d’autres. Dans l’absence d’une réglementation (le cas de l’Algérie) à gérer et protéger cette catégorie des constructions je dirai que cette dernière ou celle visuelle sont les seules de mise sur le terrain. Les rares rapports d’expertises (expert Architecte ou de Monsieur CTC, comme préfère le nommé notre cher ami Rafik) versent dans ce sens : détection visuelle des pathologies, un verdict sur la démolition ou non et enfin une proposition de restauration j’allais dire au cas par cas plutôt au coin par coin. Une méthode de calcule scientifique (capacitaire ou autre) on la vira pas de notre vivant, j’ai bien peur, pas parce que elle contiendra la vérité plutôt pour participer et donner un plus, son plus, qui ne peut être que qualitatif.

Thenmirth Hakim pour ce Doc.

:pompom: vous salut

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