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comment_32501

Essalamou alaykom,

Je souhaite pour tous les fidèles de ce forum Romdhan mabrouk,

J'ai juste besoin de votre aide pour le calcul des fondations superficielles sollicitées à la tension à cause d'une importante dépression et cela bien sure pour les structures tendues(Ex: TENTES).

w jazakom allah khayran.

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comment_32509

bonjour,

si votre fondation est soumise a la traction,il suffit de calculer les aciers selon l'effort de traction a l'E.L.U,et de comparer par rapport a la condition de non fragilité.D'autre part il ne faut pas que votre fondation,se soulève,il faut vérifier cette condition prépondérante.

cordialement

gérard demeusy

comment_32568

BONJOUR

QUAND TU PARLES DE TENSIONS EST CE QUE TU VEUX DIRE QUE TA SEMELLE EST SOLLICITEE PAR UN EFFORT NORMAL QUI TENDRA A LA SOULEVER ? C'EST CE QUE J'AI COMPRIS ALORS DANS CE CAS IL FAUT DIMENSIONNER TA SEMELLE DE MANIERE A CE QU'ELLE NE SE SOULEVE PAS ET NE SE RENVERSE PAS.

MERCI

comment_32578

bonjour,

lorsque la semelle se soumève,elle entraine un prisme de sol,dont la forme dépend des caractéristiques du terrain.En général on retient un prisme de 60.°Il faut tenir compte de la force de frottement ou de la cohésion:po x tg alpha+c x A. tg alpha= coefficent de frottement,c= cohésion(1a 3tm2 pour les semelles superficielles.A= surface totale verticale au dessus du périmètre de la semelle.

Si N soulèvement doit être égal ou inférieur a: G+po x tg alpha pour les sols pulvérulents,et pour les sols cohérents il faut que N soit égal ou inférieur a G + c x A.Si ces conditions ne sont pas vérifiées,il faut prévoir des tirants verticaux ancrès dans le sol.

cordialement

gérard demeusy

comment_32584

Bonjour,

Pas tout à fait d'accord avec Gérard.

Je prends l'exemple le plus courant d'une semelle isolée en fondation superficielle sous un pied de portique de charpente métallique. C'est généralement le cas ou nous trouvons du soulèvement.

Pour couler la fondation, il a fallu creuser jusqu'au niveau de pose de la fondation. Donc audessus de la fondation, nous allons trouver du remblai. Donc prendre un angle de 60° dans un sol sans cohésion, pas d'accord.

De plus, cela signifie que l'on ne pourra pas creuser au dessus de la fondation plus tard pour passer des réseaux ou autres choses puisque le poid des terres servira de lest au fondation. Or le Maitre d'Ouvrage ne lisant jamais de plans de structures, on ne sait pas ce qu'il adviendra par la suite du bâtiment.

Pour en avoir discuter avec des contrôleurs techniques, ces derniers souhaitaient que le lest correspondent au volume de béton coulé. Comme cela, dans la suite de la vie du bâtiment, trés peu de risque que quelqu'un commence à s'amuser à démolir des blocs de béton. En général, les gens réflechissent pour essayer de trouver une solution moins chère et par la même, on sauvegarde le lest.

comment_32631

Bonjour Mr Demeuzy

Je pense que dans votre phrase vous avez oublié le nom de l'Ingénieur préconisant cette valeur de 60°.

Si vous pouviez nous indiquer dans quelle publication cela a été publié, ce serait gentil de votre part.

Cordialement.

comment_32636

bonjour monsieur Montabone,

excusez moi,je n'ai pas terminer ma phrase,je voulais vous confirmer la valeur de 60°,de l'auteur de moncieur Victor DAVIDOVICI.Pour la littérature,je vous donnerais l'information plus tard,il faut que je consulte ces ouvrages de monsieur Victor DAVIDOVICI.

bien cordialement

gérard demeusy

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