posté par abdou

Mes Frères!

Est-ce-qu'on peut validé le coefficient de comportement des structure avec le robot?

et comment?

merci!

posté par tchikou

salut abdou j'ai pas compris votre question es ce que vous pouvez la reformulariser svp

je travail avec robot depuis 3 a 4 ans peut etre que je peut vous aidez

merci

posté par abdou

Merci mon frère!

Comme j'ai deja di ;Le problème qui se pose en étude sismique est qu’il n’est pas réaliste, en dehors des ouvrages à risque spécial, de considérer que le comportement des structures reste dans le domaine elastique. donc generalement, on consedere que la structure va subir des déplacement inélastique avec des dommages limités et sans effondrement, ni perte de stabilité , face à un séisme majeur , plus rare Mais comment faire l'etude sismique dans ce cas?

L’option retenue par PRA est admetre que les déformations réelles (avec comportement non lineaire) sont sensiblement égales à celles que l’on calcule sur un modèle linéaire correspondant à l’état initial (non fissuré) de la structure * R

R : coefficient de comportement global de la structure Sa valeur unique est donnée par le RPA tableau 4.3 en fonction du système de contreventement .

mais le problem ;il faut validé ce choix c-à-d il faut calculer ce R et comparer avec le R choisi de tableau

pour calculer ce R il faut que vous passez par le ferraillage....et puisque le ROBOT calcule le ferraillage je sai pas est ce qu'ils ont ajouté des options pour validé le R

Merci!

posté par bentafat_rachid

oui , l'introduction du coefficient de comportement est faite par robot , sinon l'etude sismique sera erronnée.

tu as un tableau à remplir ; ce coefficient depends du type de l'ouvrage selon le RPA2003 .

VOICI LA BOITE DU DIALOGUE

posté par tchikou

SALUT ABDOU

je crois et j'espére que j'ai compris votre question

et pour que tu valide votre chois du facteur de comportement R malhereusement que c'est pas vraiment évident dans le R P A

mais pour faire ce que tu voudra vous ete obliger de passer par un push - over

la tu peut vraiment voir que votre R est réél ou non .......

et j'espére bien que tu comprendra ......

posté par abdou

merci rachid! mais c pas ça que je cherche! mais merci comeme

chof ya mon frère tchikou! ani far7an quant j'ai vu votre message!vous avez bien compri ma question,c'est ça!

chof! je n sai pas est ce que vous utilisé le sap "etabs"ou pas ,mais c pas un problem

En sap "etabs" je peu faire cette etape mais le problem ça prend bq de temps...ce que je peut dire ,parsque le ferraillage avec ces deux logiciels est movai

donc vous etes obligé de donner le ferraillage de tout les éléments pour passer à cet etape....

et,j'ai vu le ferraillage donné par le robot est tres bon"le robot applique directement la reglementation"...

chof tani mon frère , chez eux"europ..." ,et specialemnt pour les batiments de formes irrégulieres ou bati de grands hauteurs,vous etes obligé de passer au derniere etape de calcul des structures en zone sismique, c_à_d :vous etes obligé de valider le choix de R "calculer le R"

puisque chez eux cet etape est obligatoire,donc normalent ils ont met une option le robot pour permettre la validité de choix de R sur ...donc vous n'etes pas obligé de déssiner le ferraillage

merci mon frère!tchikou kouloulou

posté par tchikou

salut abdou

merci pour tous vos explications

apropos de eux et nous , chez eux le facteur de comportement n'est pas toujours le meme comme si c'est le cas ds notre reglemnt R P A .

mais pour mieux comprendre le principe de validité du facteur de comportement R .

en doit savoir avant tous c'est quoi le constant R est c'est quoi un systéme dissipatif ,rotule plastic , et meme le principe de potaux fort poutre faible .

posté par tchikou

salut ts le monde

svp abdou es ce que veut tu m'expliquer comment valider R ds le sap et etabs je les étulise mais pas souvent de tous petite indication me suffit

merci d'avance A+.

posté par bentafat_rachid

le prochaine reglementation parasismique exclurera indirectement le coefficient de comportement qsui est un paramètre aléatoire basé sur des essais de ductilité .

une nouvelle approche ""ATC40 "" traité meme par robot bat , cette méthode s'intitule "" performance point ""

c'est le point de concour entre deux courbes déssipatives ..........

posté par bentafat_rachid

Un autre élément important de la démarche ATC 40 qui met bien en évidence les niveaux de

« performance » dans le domaine de comportement non linéaire de la

structure. En fait, c’est une démarche nouvelle qui est demandée à l’ingénieur

qui, traditionnellement et pour simplifier, utilise une méthode en forces, réduites artificiellement

avec le fameux coefficient de comportement (R ou q) pour garder la méthode de

calcul dans le domaine élastique.

Si l’on veut effectivement évaluer les

« performances » d’une structure, au-delà du domaine élastique, il

est difficile d’utiliser le paramètre force, compte tenu de la progressivité

des dommages qui sont plus sensibles aux déplacements

imposés.

C’est la raison pour laquelle, l’ATC 40 met l’accent sur

l’intérêt d’utiliser des méthodes d’évaluation du comportement non linéaire statique

des structures, encore appelées PUSH OVER. Ces méthodes conduisent à définir

une courbe dite de capacité

l’enveloppe des chargements hystérétiques qui

peuvent se produire pendant un séisme et peut être considérée comme un bon indicateur des performances postélastiques d’une structure, tout au moins

lorsque celle-ci est suffisamment régulière et donc peu sensible aux phénomènes de torsion, dans les approches actuelles.

posté par bentafat_rachid

La mise en œuvre de cette méthode nécessite qu’à la fois la « Demande », sous la forme d’uneréponse spectrale et la « Capacité », sous la forme d’une courbe de capacité non linéaire, obtenue à partir par exemple de la technique dite « PUSH OVER », soit représentée sur un graphique ayant les mêmes coordonnées.

Ces coordonnées seront les accélérations spectrales Sa et les déplacements spectraux Sd, qui pourront aussi s’appeler A et D. Ce « format » avait été introduit par Mahaney, dès 1993, sous le nom ADRS (Acceleration Displacement Response Spectra).

En fait, il ne faut plus l’appeler ainsi car

les courbes ainsi obtenues ne sont pas à proprement parler des spectres, en particulier la courbe de capacité qui peut alors s’appeler diagramme de

capacité (remarques de Chopra, 1999).