Impact de l’implantation d’une colonne ballastée sur un sol argileux.
La raréfaction des sols possédant des capacités portantes acceptables disponibles ainsi que l’augmentation des prix des fondations profondes ont entraîné l’utilisation des méthodes de renforcements des sols, dont les colonnes ballastées qui est la plus utilisée aujourd’hui. Elle repose sur des méthodes de dimensionnements empiriques. Lors de son implantation un complexe sol/colonne au comportement obscur, se forme. Ce projet a pour but d’éclaircir ce comportement grâce à des modèles prenant en compte les phénomènes d’anisotropie, de déstructuration, de fluage de l’argile et basés sur le modèle CAM CLAY. La colonne ballastée est modélisée sur Plaxis. L’étude se déroule en 2 phases. La première compare les résultats obtenus par les modèles, lors de la simulation de l’implantation de la colonne ballastée, modélisée comme une expansion cavitaire, (Gibson et Anderson 1961). La deuxième partie consiste à comparer la modélisation de l’implantation par expansion cavitaire et celle de l’implantation par inclusion rigide avec la modélisation du sol non renforcé. Les comparaisons se focalisent sur le coefficient des terres aux repos, sur les contraintes horizontales et les tassements.
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Impact de l’implantation d’une colonne ballastée
Impact de l’implantation d’une colonne ballastée sur un sol argileux.
La raréfaction des sols possédant des capacités portantes acceptables disponibles ainsi que l’augmentation des prix des fondations profondes ont entraîné l’utilisation des méthodes de renforcements des sols, dont les colonnes ballastées qui est la plus utilisée aujourd’hui. Elle repose sur des méthodes de dimensionnements empiriques. Lors de son implantation un complexe sol/colonne au comportement obscur, se forme. Ce projet a pour but d’éclaircir ce comportement grâce à des modèles prenant en compte les phénomènes d’anisotropie, de déstructuration, de fluage de l’argile et basés sur le modèle CAM CLAY. La colonne ballastée est modélisée sur Plaxis. L’étude se déroule en 2 phases. La première compare les résultats obtenus par les modèles, lors de la simulation de l’implantation de la colonne ballastée, modélisée comme une expansion cavitaire, (Gibson et Anderson 1961). La deuxième partie consiste à comparer la modélisation de l’implantation par expansion cavitaire et celle de l’implantation par inclusion rigide avec la modélisation du sol non renforcé. Les comparaisons se focalisent sur le coefficient des terres aux repos, sur les contraintes horizontales et les tassements.
http://eprints2.insa-strasbourg.fr/693/1/rapport_R.Auvray.Juin_2010.pdf.pdf
http://eprints2.insa-strasbourg.fr/693/2/poster_A0._R.Auvray_Juin_2010.pdf
http://eprints2.insa-strasbourg.fr/693/3/présentation_ppt_PFE_R.AUVRAY_Juin_2010.pdf